lundi 16 novembre 2020

Le journal de Charlotte (13)




Je suis de passage dans la ville lumières pour une formation. Après une journée les fesses clouées sur une chaise, je décide d’aller visiter un peu la ville. Je fais du lèche-vitrine sans pour autant acheter. J’ai une idée en tête. Je vais aller faire un tour dans la nouvelle boutique de mon chocolatier préféré. 

J'ai à peine franchi le seuil de la porte que cette douce odeur de chocolat passe au travers de mon masque et vient chatouiller mes narines… je ne pourrais absolument pas faire ce métier. Je tourne dans la boutique, admirant les créations, salivant serait le mot juste. Je me décide enfin et opte pour du chocolat au caramel beurre salé et une plaque au chocolat noir de je ne sais plus où. Les mains chargées de mon péché mignon, j’arrive au comptoir… oh merde enfin non mince, je n’avais pas vu que c’était lui et non sa vendeuse.

Il prend mes paquets, je profite de cet instant pour ôter mon masque et me risquer à un tirage de langue. Il sourit largement et lâche « on ne doit pas retirer son masque ici jeune fille ! »

Il garde le chocolat avec lui et me propose un café que j’accepte. Nous échangeons des banalités, il me fait visiter son laboratoire et le reste de sa boutique. Nous finissons par l’arrière boutique. 

Je le défie et le taquine plusieurs fois, ses mains le démangent, il a envie de remonter ma jupe. L’heure de la fermeture approche. Il me laisse dans son bureau quelques minutes. « sois sage j’arrive », j’ai simplement hoché la tête. 

Mes yeux vont partout, mes pensées les plus diaboliques aussi. Il y a un grand tableau blanc, j’y dessine ma plus belle œuvre : des fesses et une cuillère. Je suis entrain d’achever ce magnifique dessin, qu’une claque rebondit sur mes fesses et me surprend.

C’est gentil mais mon 38ème tirage de langue est de trop. Il me renverse en 2 secondes sous son bras et me claque les fesses par-dessus la jupe puis me relève. Je suis assez étonnée de la rapidité. Je n’ose plus bouger. Mes fesses ne sont absolument pas douloureuses mais la situation a été efficace. 

Ce minuscule recadrage ne me calme pas pour autant. Je sais que ce n’est qu’un aperçu car il m’a promis d’être sévère quand on se verrait, il a touché la corde sensible de la maso. Je reviens donc sur mon dessin pour y ajouter une main rouge. Ça l’amuse de me voir faire des petites bêtises. 

Nous décidons d’aller dîner dans le petit restaurant non loin de sa boutique. Le repas se passe calmement nous discutons de l’actualité qui nous préoccupe tant. Mais au moment de payer l’addition, il me devance et paye l’intégralité. Je fulmine et lui dit devant le serveur.

-Tu me fais chier !

Il change d’attitude et me fusille du regard, pas un mot avant de sortir. 

-Charlotte, tu vas me le payer. Tu ne me parle pas comme ça ! Et surtout pas devant les gens !

-Bah oui mais je voulais payer ! 

J’ai élevé la voix dans la rue et je ne m’en suis rendue compte quand les badauds se sont retournés sur nous.

On arrive devant l’entrée de sa boutique. Il ouvre la porte et me pousse à l’intérieur. Pierre m’attrape par le bras, me conduit directement dans son bureau. Il tire la chaise d’un grand geste, pose un pied dessus et me bascule directement. Cette position relève automatiquement ma jupe, il tire sur ma culotte qui se transforme en string et claque mes fesses à vive allure. Je gigote dans tous les sens, je ne touche plus le sol. Je déteste ça. Je lui dis « non », j'hurle que je veux descendre et qu’il arrête de me claquer comme ça. Il n’écoute rien de ce que je lui dis. Il continue sans dire un mot. C’est glaçant. 

Il se décide enfin à me reposer, me prend par l’oreille et m'emmène au coin. Je reprends mon souffle, tâte la température de mes fesses. Il n’y a plus de bruit dans le bureau à part ma respiration. Je tourne la tête une fraction de seconde. Pierre est justement en train de franchir le seuil de la porte du bureau. 

- Viens ici Charlotte !

Je m’avance timidement devant. Il baisse ma jupe et enlève ma culotte. Je n’ose même pas bouger, il tient dans sa main la spatule que j’ai customisée lors de notre première rencontre.

-Je t’avais dit que ce serait sévère ?

-Oui Pierre

-Et tu sais très bien que c’est mérité ! Tu m’as confessé pas mal de choses et tu dois en payer les conséquences !

-Oui Pierre

C’est bizarre mais la maso a disparu et la petite fille a pris sa place. Cette spatule me fait toujours aussi peur même avec son dessin.

Les mains de Pierre attrapent les miennes et me basculent sur ses genoux. La fessée commence doucement, un paradoxe alors que je viens de me prendre une fessée express et appuyée. 

Cette fessée monte en puissance, mes jambes ne touchent plus le sol, je commence à me débattre de plus en plus lorsque la spatule entre en jeu. Je supplie au premier coup. Je la déteste réellement. Je sens chaque impact s’imprimer sur ma peau. Je suis au bord des larmes. Pierre m’avait prévenu, il n’a rien lâché de la fessée. Je suis en pleurs lorsqu’il m’envoie de nouveau au coin. Je respire plus profondément afin de me calmer. 

Ses mains se posent sur mes fesses, il me retourne et me prend dans ses bras. J’y reste un petit moment, il sent si bon et ses bras sont protecteurs.

Je me rhabille, Pierre me raccompagne jusqu’à l’hôtel. Nous allons nous revoir avant la fin de ma formation.


vendredi 18 septembre 2020

Ôde


 Quand le doute s’installe je n’ai besoin que d’une seule chose, Sa présence. 

Il est La personne en qui j’ai le plus confiance et dont j’ai le plus besoin.

Son regard, Ses gestes, Sa façon d’être avec moi me rassure. 

Ses bras sont si réconfortants et rassurants, je m’y love dès que je peux.

Il me comprend (presque) toujours, Il sait quand ça ne va pas.

Il sait quand j’ai besoin d’avoir mal, quand j’ai besoin de sentir cette douleur enivrante qui me fera décoller sur mon petit nuage.

Parfois je n’ai pas besoin de cette douleur, je veux juste qu’Il me rappelle ma place.

J’aime ça, être Sienne et le savoir. Un regard, un signe et je suis à Ses pieds. 

La soumission m’a fait prendre confiance en moi et c’est grâce à Lui. 

Il me laisse des libertés dans celle-ci et je Lui en suis reconnaissante. 

La confiance qu’il m’apporte est telle que notre complicité en est plus forte.

Il est mon homme, mon Mari, le père de nos babynous et Il est mon Maître. 

Il est mon Tout et je l’aime infiniment. 



mercredi 16 septembre 2020

Retrouvailles ...

 



Des retrouvailles timides, voilà comment je qualifierais ma séance avec J.

Le décor est tout autre, je reçois J chez moi. Je devrais être plus à l’aise mais en fait ce n’est pas le cas. Je suis tout aussi stressée que la 1ère fois. Je peux même ressentir le sien. Je le taquine, ça ça ne change pas, pour détendre un peu l’atmosphère et surtout m’amener sur ses genoux. 

Ses manches de chemises sont relevées, il a le regard taquin, joueur et plein d’envie. J me tend enfin la main pour me mettre sur ses genoux.

Les premières claques timides tombent sur ma jupe en jeans qui fait totalement barrière. 

« C’est bien tu t’es mise en jupe mais sérieusement tu ne sens rien là, tu te fous de moi ! »

Bon j’éclate de rire, ce n’était pas le but rechercher. Je ne sens effectivement rien, il remonte ce tissu épais et se met à claquer mes cuisses et la naissance des fesses. Ce n’est pas les fesses ça !

Ma jupe finit par être enlevée et je me retrouve en culotte toute fine. Là je sens ses claques, elles me font réellement mal, je mords ma lèvre, sers les barreaux de la chaise. Je ne peux pas lui dire que j’ai trop mal, j’ai une réputation 😂. Ça fait 1 an que mes fesses sont vierges et je le sens bien. J’ai l’impression de repartir de zéro. 

Sa main est toujours aussi ferme et méthodique, il claque sans ménagement. Mes pieds se croisent et se décroisent. J’ai chaud aux joues, aux fesses, je commence à transpirer. Il me dit que mes fesses sont déjà bien rouges et chaudes. Je finis par me décontracter au fur et à mesure. Mon esprit ne demande qu’à décrocher mais je le retiens. Je n’arrive pas à passer côté maso… je décide de ne pas chercher à y aller et de laisser les choses se faire. Les claques me semblent devenir plus lourdes. Le souffle de mon fesseur s’accélère, je crois qu’il faiblit. (Manque de pratique, je le garde pour moi ça)

Il me demande de me relever et de me pencher sur la table. La culotte aux genoux, je pose les coudes sur la table. Il me frôle, caresse mes fesses. Il attrape le triple viper et le fait tomber doucement sur le haut de mes fesses. Ça va c’est supportable. Les lanières s’impriment plusieurs fois sur ma peau. Je gémis, je souffle, je me redresse. J’encaisse mais c’est dur. 

Il prend le martinet en main et me dit 

« Lui tu ne vas rien sentir ! »

Je souris et ris même. C’est vrai que ça ne me fait pas peur. Mais il est assez coriace ce martinet. Je me redresse plus d’une fois. 

J’ai le fessier en ébullition et les sens en effervescences. J’ai du mal à rester sur terre, mon petit nuage m’appelle.

Je pense que J l'a compris, il pose l’instrument, passe sa main autour de mes reins et finit la fessée à la main. Je gesticule un peu plus mais j’apprécie le contact.

Je me redresse, le regarde. J’ai les yeux pleins d’étoiles, le ventre pleins de papillons et l’esprit totalement libre.

Je me blottis contre lui, un dernier contact avant de me rhabiller. 

Des retrouvailles timides mais chaleureuses.


lundi 7 septembre 2020

Premier émoi saphique


Le jour où je vais retrouver ma Sister…

Je sonne à la porte avec une certaine appréhension, je sais qu’en franchisant cette porte tout peut arriver ou rien d’ailleurs. On doit se voir pour un twin devoir mais aussi pour un essayage de corset. Elle a acheté un superbe corset noir avec un lacet dans le dos. Je vais l’aider à le serrer comme il faut. Ça fait du bien de se revoir, 6 mois que l’on attend ça, entre les naissances et la covid, rien ne s’est déroulé comme il faut.

Sister m’ouvre la porte, elle porte un jean slim qui lui moule parfaitement les fesses, un t-shirt qui laisse deviner amplement sa poitrine. Elle a attaché ses cheveux. Elle rayonne comme d'habitude. Je la fixe, lui souris. On se bise. Elle me propose un verre ou un café, je prends un verre d’eau, j’ai la gorge sèche. Nous commençons notre devoir, nous sommes studieuses, les idées fusent, les mots s’enchaînent et le devoir est fait plus vite que prévu. Pour tout avouer je suis hyper excitée. J’avais tellement envie d’être la fille sur la photo. Mon corps appelle à la douleur et à la douceur en même temps, j’ai le sexe qui coule et les papillons dans le ventre. Je rougis rien qu’en imaginant que ça peut être la même chose pour elle. Je ne dis rien… il est 12h, Sister me propose de manger, le repas craquage est un pur délice, tant pis pour la diététicienne… T me réprimandera sûrement mais j’ai bien mangé.

Elle m’invite dans son dressing, son corset est bien suspendu à un cintre. Je la fixe puis fixe le corset. Je dois avoir un sourire diabolique parce qu’elle me dit qu’elle a l’impression d’être mon dessert. Elle ôte son t-shirt et enlève son soutien-gorge, la tension est plus que palpable. Je l’aide à enfiler l’objet du crime. Mes mains frôlent les siennes, glissent sur sa peau, à travers le miroir nos regards se croisent. Je serre, desserre, resserre les lacets, nous trouvons enfin le bon serrage.

Elle se retourne vers moi et me demande comment je la trouve, mes yeux parlent pour moi : ils pétillent.

J’ai envie de l’embrasser, je me souviens de ses mots… rien ici, alors je m’abstiens. Elle s’approche de moi et  dépose un bisou sur la joue. Je frissonne. C’est elle qui lance les hostilités. Elle pose ses mains sur mes bras et m’embrasse, nos lèvres se touchent dans les moindres recoins. Ses seins me frôlent, je les caresses. Mon cerveau va à 100 à l’heure. En un claquement de doigts je décide de me laisser aller.

Je me retrouve en soutien-gorge rapidement, Sister joue avec ma poitrine tout en m’embrassant. Notre flirt est passionnel. Je titille ses tétons qui sont aussi en effervescence que les miens. Nous voilà à présent en culotte. Ma main s’arrête sur son sexe, je sens l’humidité à travers le fin tissu. Je n’ose faire les choses, elle prend ma main et la pose directement sur son abricot trempé. Je caresse délicatement son clitoris gonflé, elle lâche un long soupir. Tout en l’embrassant, je tente de la faire jouir. Elle se retient, je l’interroge du regard, elle soupire et me dit, à peine audible « pas autorisé ». Je m’arrête donc là. Elle prend le relais et est beaucoup plus entreprenante que moi, ça me déstabilise mais je me laisse faire. Elle sait y faire, mon clitoris est aussi gonflé que le sien. Elle insère 2 doigts sans aucun souci, son pouce est posé sur mon clitoris et elle entame des va et vient, tournoie autour de mon bouton. J'explose dans ses mains. Elle se met à genoux et me lèche le sexe. Elle m’avait dit que sa bouche était superbement douée pour la pipe et bien pour le cunni aussi, même si je n'y connais rien. Sa langue me lèche les petites lèvres, elle s’active sur mon clitoris, puis ses doigts rejoignent sa langue. Je perds pied, j’ai le vertige. Je veux, à mon tour, la goûter. Je recule doucement, elle comprend. Je m’agenouille et lui fais la même chose, ma langue effleure ses grandes lèvres, j’embrasse son bouton, un petit coup de langue pour ouvrir ses lèvres puis je suce ses petites lèvres. Je l’entends soupirer, haleter puis se retirer d’un coup. Je comprends qu’elle est à point. Je remonte vers sa bouche, en passant par sa poitrine, je mordille ses tétons, les lèche et les embrasse. Je viens lui faire un dernier baiser langoureux.

Nous reprenons nos esprits doucement autour d'une glace. Nous sommes à moitié nues.

L'heure de se dire au revoir arrive, je lui fais un dernier baiser et la laisse avec cette belle expérience qui je l’espère ne sera pas la dernière.

samedi 4 juillet 2020

J'ai besoin ...


Lovés l’un contre l’autre, ses lèvres embrassent mon cou puis mon épaule, sa main titille mes tétons. Je suis bien, nous sommes bien. Ce matin j’en veux plus, j’ai besoin de plus. Je me retourne, lui souris et murmure

 « J’ai besoin d’avoir mal ».

 Il me rend mon sourire, m’embrasse sur le front. Il ne lui en fallait pas plus, je me retrouve nue, plaquée contre le mur. Il se colle à moi en disant 

« Sens comme tu m’excites ! ». 

Je ferme les yeux tout en inspirant fortement comme pour humer le parfum d’une fleur, sauf que là je sens son odeur à Lui. Ma peau frissonne au contact de ses mains. Il me retourne en un mouvement, mes yeux se plongent dans les siens. J’aime voir son regard changer, le vert de ses yeux devient plus intense. 

Je ne le verrai pas longtemps. Il pose mon collier et me bâillonne. Je regarde à nouveau le mur. Ses mains écartent mes fesses, une légère pression sur mon petit trou

 « Humm tu es une petite chatte maintenant ».

Il prend place sur le lit, me tend la main pour me basculer sur ses genoux. Des claques crescendo comme je les aime : sentir la chaleur m’envahir, un pur délice. Tout se stoppe avant que je ne puisse réellement entrer dans ma bulle. À défaut de la croix de saint André, je me retrouve les chevilles attachées au banc à fessées. Je suis libre de mes mains pour le moment. J’essaie de rester droite. Ses yeux verts viennent faire leur retour, il pose les pinces Japonaises et y fixe des chaînettes pour plus de poids. Je ne connais pas, ça fait mal mais il faut avouer que j’adore ça. Mes tétons en deviennent très sensibles. 

Il me contourne et attrape le martinet rouge. Il chauffe mes fesses, mes cuisses et mon dos, je suis de plus en plus détendue, je souffre de plaisir, c’est bon. Les lanières tombent partout, je me cambre en demandant d’augmenter l’intensité. Mon esprit vagabonde entre ciel et terre. 

Ses mains viennent prendre la température provoquée par l’échauffement du martinet, elles prennent l’humidité de mon sexe trempé. Il titille un peu le plug et le retire sans prévenir…hum j’adore. 
J’ai les yeux fermés quand j’entends CE bruit que je reconnais parmi tant d’autres. Sa ceinture, il fait glisser la boucle sur ma peau rougie, je frissonne encore. 

« Tu la veux ? Tu l’aimes hein ? Demande le moi ! »

Sans me faire prier, je lui demande de me ceinturer. Les coups donnés par celle-ci sont forts et sur un ultime coup je me vois partir dans mes abysses. Je prends peur, pourquoi ? Je ne sais pas.
J'hausse le ton sur Lui, je suis très désinvolte. Sa réaction ne se fait pas attendre, il m’attrape par les cheveux, me bascule en avant et m’attache les mains. Là une déferlante de claques sèches et sans retenue s’abat sur mes fesses. Je gémis, pleure et demande pardon. Il prend ma crinière en main et me dit d’un ton glacial :

« Ne recommence plus parce que ça c’était un aperçu ! ». 

Je baisse la tête en me disant que la séance est finie qu’il va y mettre fin. Non, il s’équipe de notre nouvelle roulette et la plante dans ma chair en commençant par mon dos pour descendre sur mes cuisses. Ça fait horriblement mal. Mais c’est ça qui va me faire lâcher prise. Pour continuer, il me cravache le corps, le cuir est lourd sur moi, je pleure et gémis mais j’aime ça. Mon sexe coule et en redemande. Je bave de plaisir également. Je suis à la limite d’atteindre le but ultime quand il me détache, m’installe sur le lit et m’attache de nouveau en croisant les chaînes, pied droit main gauche, pied gauche main droite. Je suis complètement ouverte et offerte à Lui. Il retire les pinces, ce qui me fait mordre très fort mon bâillon puis il joue avec mes tétons et la roulette. Cette roulette qui finit par passer sur mon clitoris. Je n’attends même pas l’autorisation, je jouis une fois puis deux. Le martinet viendra une dernière fois brûler ma peau avant que je ne lui signale que je ne peux plus avoir mal. Il enlève les chaînes qui croisent mes membres puis se frotte sur moi, son excitation est telle qu’il n’attend pas plus pour me pénétrer. Je voudrais jouir mais il m’en a interdit quelques secondes avant, il a anticipé. 

« Tu aimes ? Alors baise-toi sur moi ! »

Je me retrouve au dessus de lui, faisant ce qu’il m'a ordonné. Nos regards se croisent, son vert intense me transperce. Nous jouissons, cette fois ci,  à l’unisson. 

Bâillon et menottes sont retirés, je me love contre lui, caressant son torse, lui caressant mes fesses et mon dos.
J’ai mal de plaisir, je suis bien. Je n’ai pas envie de descendre maintenant de mon nuage. Un langoureux baiser et je m’endors sur son torse.

lundi 15 juin 2020

Petite promenade



Chataignier | La Forêt Française | laforetfrancaise.fr

Au détour d’un sentier, je me retrouve plaquer contre le tronc d’un arbre. Le murmure de ses feuillages me fait comprendre qu’il perd quelques branchages. 
Je reste silencieuse face à ce vacarme incessant. 

L’ordre m’est donné d’enlacer cet arbre qui s’avère être un châtaignier. 
Je ne me pose aucune questions et obéis mécaniquement. 

Les mains viriles de mon Maître se posent sur mes hanches, remontant la petite robe bleue estivale que je porte. 
Ses mêmes mains tapotent l’intérieur des cuisses pour que je les écarte. Elles appuient sur mes reins pour me faire cambrer le plus possible. 
Maître fait rouler le bout de bois, qu’il a décroché de mon nouvel ami, sur mes fesses, cuisses… de haut en bas et inversement. 

Le contact me fait frissonner, me fait haleter. Je ferme les yeux, je respire rapidement. 
Le premier coup tombe. Surprenant je n’ai pas si mal que cela. J’attends patiemment la suite. 
Les 4 coups suivants sont donnés en crescendo. Je commence à sentir les zébrures à travers ma culotte en satin. 
D’ailleurs cette dernière glisse sous mes fesses avec l’aide de Maître. 
Les 2 coups qui suivent m’arrachent de longs soupirs. Je me déconnecte peu à peu. Je me dandine de plaisir faisant tomber le tissu au sol. 

Tout s’enchaîne, les coups, les marques, les gémissements. 
Ni les fesses, ni les cuisses ne sont épargnées. 
Je sens mes fesses chauffées et marquées. Les larmes coulent, je suis bien. Le plaisir m’envahit entièrement. 

Mon intimité, elle aussi prend du plaisir. 
La badine tombe au sol, les doigts de Maître investissent mon abricot mouillé. Je jouis au premier contact, sans que je ne puisse contrôler quoique ce soit.
Son sexe dur me pénètre sans ménagement. Ses coups de rein sont forts, puissants et à cadence soutenue. Nous ne tardons pas à venir ensemble atteignant non pas la cime du châtaignier mais le 7ème ciel.

mercredi 10 juin 2020

Le journal de Charlotte (12)



La lueur du jour qui traverse le bas de la porte finit par me réveiller. Je m’étire et sors du lit, je descends en pyjama dans la cuisine où je retrouve Philippe en train de lire le journal.

- Bonjour, ma chipie.
- Bonjour Philippe.

Un bisou sur mon front et il me sert mes céréales. La matinée se passe plutôt bien, Philippe m’apprend les différentes positions de soumission. Il corrige chaque position et me les fait mémoriser. Un moment de complicité et tendresse. Le midi, il avait fait un repas plutôt sympa, je n’ai pas forcément aimé les légumes mais j’ai mangé sans protester. J’ai l’autorisation d’aller au salon, je reprends le livre d’hier et m’installe de nouveau au canapé.

Le week-end de découverte touche à sa fin, cela me rend triste mais je sais qu’il y en aura d’autres. Philippe m’appelle de l’étage, je le rejoins rapidement, il est dans sa chambre. Je jette un rapide coup d’œil, il y a pleins de jouets : des menottes, un martinet doux, des vibromasseurs, des pinces…

- Ma chipie, pour clôturer ce week-end, nous allons passer un petit moment sympathique à deux. Je vais déroger à ma règle.
- Oui Monsieur. Dis-je très enthousiaste, limite sautillante.

Cela l’amuse, il a un regard joueur que je ne lui connaissais pas encore. Il s’approche de moi, me fait répéter le mot de sureté et me déshabille. Je suis entièrement nue devant lui, c’est un autre contexte que dans la salle de bain, alors je me cache le sexe et la poitrine.

- Charlotte, aime-toi telle que tu es, sois fière de toi et de ton corps. Retire tes mains et mets-toi en position d’attente !

J’obéis, j’ai tellement voulu ce moment que je ne réfléchis pas, mais ses mots me font un effet. Je devrais les écrire.

Philippe me pose les menottes aux poignets et aux chevilles, il m’installe sur le lit et m’attache en croix. Je ferme les yeux pour savourer chaque geste, il me couvre les yeux d’un loup, je suis totalement à sa merci. Il fait glisser un doigt de ma bouche à mon abricot déjà trempé de plaisir. Il titille mes tétons avec ses doigts, puis sa langue, il joue avec eux pendant de longues minutes, mes tétons durcissent.

A cet instant, je sais que je suis l’objet de ses envies et j’adore cela. Philippe pose les pinces et tapote légèrement. Il descend avec sa langue sur mon nombril, y dépose un baiser. Il glisse un doigt puis deux en moi sans aucun mal. Je suis tellement trempée. Il fait de doux va-et-vient et sans prévenir accélère la cadence, je me contorsionne de spasmes. Je demande l’autorisation de jouir, il me l’accorde en me disant que je pouvais jouir autant de fois que je le souhaite. J’explose sur ses doigts puis je le sens s’éloigner.

Les lanières du martinet tombent partout sur mon corps, elles n’oublient aucune partie, je suis en feu, je jouis sous les lanières. Philippe vient poser le sextoy sur mon clitoris, le même que la veille au matin, et continue à faire courir le martinet sur mon corps. Il en vient à détacher les pinces. Je jouis plus d’une fois, mon corps est sur le lit mais mon esprit est ailleurs, je suis sur un nuage.

Tout s’arrête d’un coup, plus de bruit, je profite pour reprendre ma respiration et un minimum d’esprit. Je sens les mains de Philippe se poser de chaque côté de ma tête. Il dépose de doux baisers dans mon cou, sur mes tétons en effervescence. Il retire le loup, je retrouve doucement la vue. Ses mains, sa bouche et sa langue me caressent. Il me détache mais je sais que je n’ai pas le droit de le toucher pour le moment. Je sens son sexe dur contre mon pubis, j’aimerai le sentir en moi. Je veux qu’il me prenne sauvagement, je veux jouir comme ça.

C’est à croire qu’il m’a entendu, il me pénètre doucement, puis ses coups de reins se font bien plus rapides et appuyés. Philippe m’attrape par les hanches et me retourne, il soulève mon bassin. Philippe se fait vraiment sauvage, il me prend sans ménagement. Il jouit en m’entrainant dans son élan. Il s’écroule sur le côté et me prend dans ses bras.

- Je t’adore ma chipie
- Moi aussi Monsieur. Merci pour ce moment.

Il m’embrasse les cheveux et nous restons un moment l’un contre l’autre. Nous récupérons notre souffle et nos esprits. Philippe s’éclipse dans la salle de bain pour prendre une douche, je l’imiterais quelques minutes plus tard.

Après avoir récupéré mes affaires dans la chambre, je redescends.

- Merci pour tout Philippe.
- Merci de ta confiance, ma chipie.

Un dernier câlin et bisou puis je reprends ma voiture et retourne chez moi, la tête pleine d’images. Sur la route, je reçois un message de Philippe me disant qu’il avait hâte d’être au prochain week-end à deux.

jeudi 4 juin 2020

Le journal de Charlotte (11)



Quand Philippe me signale qu’il me reste 2 minutes j’ai un moment de panique, je recompte mes lignes : 28. Je suis bonne pour la badine et la ceinture, je ne trouve rien à ajouter, ça serait broder pour ne rien dire et je sais pertinemment que cela ne lui plaira pas.

- Charlotte, c’est fini, viens m’apporter ton devoir.

Je lui tends ma rédaction qu’il lit sans dire un mot, il sourit et semble satisfait. Son regard change du tout au tout, je comprends qu’il vient de compter les lignes.

- Charlotte, j’avais dit combien de lignes ?
- 30 lignes, Monsieur.
- Et toi tu en as fait combien ?
- 28 lignes, Monsieur.
- Expliques-toi Charlotte ?
- Je sais que vous n’aimez pas quand c’est brodé, pour moi l’essentiel de ce que je devais écrire est dans ces 28 lignes, Monsieur.
- Très bien, j’apprécie ta franchise et ton honnêteté. Ta rédaction me plaît et je te remercie pour cette confiance. Mais j’avais dit quoi Charlotte ?
- Que j’aurai 2 coups de chaque instrument par ligne manquante Monsieur.

Philippe ôte mon pantalon et ma culotte, qui sont à mes chevilles, me prend par la main. Il me penche sur la table, les coudes posés à plat, le dos bien droit, les jambes tendues et légèrement écartées et la tête relevée. Cette position, il me l’a déjà expliquée plus d’une fois par écrit, la vivre c’est autre chose. Il attrape la ceinture et la fait glisser sur mes fesses toujours aussi douloureuses. Je vais devoir compter les coups. Philippe fait claquer la ceinture sur elle-même et cingle 4 fois mes fesses. Je sursaute à chaque coup, je couine et compte, les larmes coulent en silence. Je sais que ce n’est pas pour me punir alors mon état d’esprit est différent. Mon intimité aussi d’ailleurs, je mouille malgré les coups. Vient ensuite la badine, je dois resserrer les jambes. Il fait rouler ce bout de bois sur mes fesses et mes cuisses, la douleur est vive, je lâche un cri mais je compte. La badine est tombée 4 fois sur mes cuisses, je suis striée de la naissance de mes fesses à mi-cuisses. Philippe repose l’instrument et me prend dans ses bras, il est fier de moi.

Nous montons dans la salle de bain, il me donne une douche puis applique de la crème sur mes fesses, j’enfile mon pyjama. Nous redescendons ensuite dans la cuisine, je demande à Philippe si je peux lui donner un coup de main mais il refuse.

- Les couteaux c’est dangereux, ma chipie.
- Je peux mettre la table, Philippe ?
- Oui ça tu peux.

Je regarde désespérément tous les placards, il me regarde amusé. Je finis par trouver tout ce qu’il faut. Philippe nous a fait une salade de chèvre chaud ; de la laitue, des lardons, des tomates cerise et des toasts au chèvre chaud. Un délice, je me régale et ne m’oppose pas du tout à manger. Une fois le repas fini et la vaisselle rangée, Philippe me propose de regarder un film au salon, chic j’adore. Je file au salon et m’installe en tailleur sur le canapé. Il me suit avec une boite de bonbons, alors cet homme me prend par les sentiments. Je prends sur moi pour ne pas me ruer dessus. Le film commence et je pique des bonbons sans autorisation.

- Charlotte ?
- Je peux prendre des bonbons, Philippe. Dis-je avec autant de sucreries dans la bouche que dans les mains.
- Oui tu peux mais doucement, le sucre ce n’est pas bon pour les dents.
- Oui oui, che chsais.
- Et bien dis donc, ma chipie. Il éclate de rire.

Je finis mes bonbons et pose la tête sur ses genoux, il a posé sa main sur mes hanches. Je ne verrai pas la fin du film, Philippe me réveille doucement et je monte au lit.

jeudi 28 mai 2020

Le journal de Charlotte (10)



Je mange le riz et le poisson sans problème, c’est délicieux, les épinards c’est autre chose. Je joue avec ce légume qui ne m’attire absolument pas. Philippe me signale que tant que je n’aurais pas fini mon assiette, je ne sortirai pas de table. Je boude et reste campée sur ma position, je ne mangerais pas les épinards.

- Je ne suis pas un ruminant pour manger ça !
- Charlotte, ça fait 10 minutes que tu tournes autour, je te préviens que si dans 5 minutes tu en es toujours au même point, je te donne à manger moi-même !
- Non ! J’ai dit que je ne les mangerai pas !
- Tu vas me faire perdre patience !
- M’en fous !

Il se lève brusquement de sa chaise, s’approche très, trop près de moi et se saisit de ma fourchette qu’il met directement dans ma bouche. Je me demande encore pourquoi j’ai fait ça, j’ai recraché ce que j’avais dans celle-ci.

- Là, ç’en est trop, Charlotte !

Il me soulève, me coince sous son bras, se saisit de la spatule qui est juste à côté et me déculotte en un geste. Mes fesses, mes cuisses ne sont pas épargnées. Je me prends la raclée du siècle. Il me tient fermement, je ne peux pas m’échapper. J’essaie tant bien que mal d’éviter la spatule mais c’est impossible, mes fesses me brûlent, elles doivent être cramoisies. Je pleure, je crie, je supplie mais rien n’y fait, Philippe me punit bien plus que les autres fois. Quand il me lâche, je m’écroule au sol en me tenant les fesses. Je pleure à chaudes larmes et renifle comme une gamine. Philippe me remet sur ma chaise, cul nu et m’oblige à finir mon assiette, puis il m’envoie au coin pendant une heure. Je découvre mes fesses quand je suis autorisée à sortir du coin, je suis montée 4 à 4 dans ma chambre pour les voir dans le miroir.

Lorsque je redescends timidement, Philippe m’attend dans le canapé. Apparemment, il faut que l’on discute.

- Charlotte, cela n’a pas été un plaisir de te punir ainsi mais je le devais.
- Oui Monsieur, je m’excuse pour mon comportement. Dis-je avec une petite voix et la tête baissée.
- Regarde-moi quand je te parle, Charlotte. (Je lève les yeux.) J’espère que c’est la seule et unique fois que je devrais être aussi sévère que cela. Ensuite j’aimerais que tu manges ce que je te donne, je ne cuisine pas du poison et j’estime que je me débrouille pas mal.
- Oui Monsieur.
- Charlotte, je ne veux plus te fesser pour te punir du week-end. J’aimerais partager autre chose avec toi, être complice avec toi. J’aimerais ne pas toujours être obligé d’utiliser la manière forte pour te faire obéir.
- Oui Monsieur.

Je fixe Philippe avec les yeux remplis de larmes. Il me tend les bras, je m’y blottis. Il a des gestes tendres, des caresses sur la tête, les joues. En une fraction de seconde, Philippe passe du dominant strict et sévère au dominant doux et tendre. Il m’embrasse dans le cou, sur les joues et nous finissons par nous embrasser tendrement. Je me love contre son torse et m’installe sur ses genoux. Ses mains parcourent mon corps délicatement, elles partent de mes joues, descendent sur mon cou puis ma poitrine. Elles y restent un moment, nous avons repris nos baisers, ses mains finissent leur course sur le haut de mes cuisses. Je commence à haleter, c’est le moment que Philippe choisit pour interrompre ce câlin.

- Pas de sexe, ma chipie, ce week-end.

Je suis déçue mais je ne proteste pas. Je lui fais un dernier baiser et pose ma tête sur son torse, son cœur bat fort, j’aime ce bruit.

- Charlotte, mets­-toi debout, s’il te plait.
- Oui Monsieur. Répondis-je aussitôt, tout en m’exécutant.
- J’ai un devoir pour toi, tu m’as dit que tu acceptais de te soumettre à moi, c’est bien ça ?
- Oui, Monsieur, c’est bien cela.
- Alors, j’aimerais que tu me fasses une rédaction de 30 lignes sur « Pourquoi, j’ai pris la décision de me soumettre à Philippe ? »
- Euh … bah… je …
- Charlotte, tes mots !
- Oui pardon Monsieur.

Je m’installe sur la table de salon, devant le bloc note. Philippe ajoute, en posant sur la table une badine et sa ceinture.

- Si les 30 lignes ne sont pas faites pour dans 2 heures, tu auras 2 coups de chaque par ligne manquante, c’est bien compris ?
- Oui Monsieur, dis-je en déglutissant, mais je croyais que vous ne vouliez plus me punir ?
- Bonne question, ce n’est pas une punition mais un recadrage, ma chipie, il y a une nuance pour moi. La punition est quand tu as commis une bêtise, une faute grave. Un recadrage, c’est pour te permettre d’avancer dans ta soumission.
- D’accord Monsieur.

Sur ces mots, il me laisse seule. Moi qui adore écrire, je reste facilement 25-30 minutes sans savoir quoi écrire. Philippe se penche sur moi et me dit :

- Ça n’avance pas très vite, debout !

Je me lève sans réfléchir, il baisse mon pantalon et ma culotte puis me fait rasseoir, d’après lui l’inspiration vient plus vite avec les fesses nues. Seulement celles-ci sont encore très douloureuses de ma punition de ce matin et rester ainsi est très inconfortable. Franchement l’inspiration ne vient pas mieux mais la honte oui.

mercredi 27 mai 2020

Twin devoir (2)

Voici celui de Sister




Bulle fille au dessus:


Je suis dans ma bulle, la longue préparation m'a aidée, m'habiller me préparer dans la chambre, seule...puis retrouver Maître, ainsi que ma sœur et Monsieur .

Nous dévêtir ensemble, debout, en face à face, se toucher, se caresser, prendre possession du corps de l'autre, en apprécier, les courbes, explorer les réactions...Une sensualité exacerbée, c'est plus facile que je ne le pensais, j'ai envie d'y poser les lèvres, la langue, de la déguster, ses seins, son cou, sa bouche, tout chez elle me fait envie!

J'ai envie de l'embrasser mais je n'ose pas, en ai je le droit? Je regarde Maître mais je ne décèle rien, hélas.
(Avant de commencer, Maître m'a dit que je n'avais pas le droit de jouir sauf sur ordre…)
Mais là, je rêve de la faire jouir elle! Elle me regarde avec son sourire malicieux et ses yeux pétillants. Les maîtres stoppent là notre petit show.

Nous prenons place. Sentir les cordes, leur odeur, leur friction sur ma peau, les liens de serrages, ma position, et la sienne, notre union des corps dans le bondage, notre première expérience entre femmes.

Je suis excitée depuis un moment maintenant, pendant la préparation déjà, et maintenant sentir plusieurs mains sur moi, des souffles chauds, les mots de mon Maître, le corps de ma sœur se coller au miens, réagir à l'unisson ensemble.

A chaque respirations , je sens ses seins, son ventre se coller au miens comme un appel à plus, je suppose qu'elle ressent la même chose que moi. Intimement et secrètement je l’espère.

Nous sommes pareilles, 2 filles pressées, et spontanées, impatientes de découvrir de nouveaux plaisirs, savourer et se délecter du nectar de l'autre, de poursuivre ce que l'on a commencé il y a peu.
Je ferme les yeux, je me concentre.
Je sens son parfum, son excitation, la chaleur de sa peau, elle est douce et tiède. Son sexe est humide, il suffit que je sorte la langue pour le goûter.
Je la désire,mais je n'ai pas encore le droit de la découvrir...

J'entends le clic d'un appareil photo, et encore un, on se déplace autour de nous, mes sens sont en ébullition j'ignore qui parle mais j'entends "lèche" et "jouissance interdite" … alors on commence doucement à se découvrir la chatte, l'une l'autre.

Un twin-cunni!

Je dois bien avouer que je réfléchie à ce que je fais, enfin j'essaie parce que je sens déjà le plaisir d'un orgasme éclair au creux de mon ventre, il faut qu'elle ralentisse ou je vais jouir!!!!
Je souffle sur son entrejambe, comme un code pour lui demander un répit, elle s'exécute, nous sommes une, finalement on se comprend si bien.
Je profite de ce répit pour l'explorer, d'abord les grandes lèvres, avec un gros coup de langue puis je pénètre son intimité, pour mieux la goûter, et avant de toucher le clito je souffle dessus, … encore, je crois l’entendre gémir.
Je la sens faire de même sur moi, put-naise que c'est bon, je vais jouir, je refuse de contenir cette vague de plaisir. J'effleure son clito et je la sens prête à céder aussi.

A l'unisson dans une chorégraphie parfaite et improvisée, je donne, je reçois, je jouis avec elle!
Le fait que cela soit interdit rend cet orgasme encore meilleur.
Nous étions deux, nous sommes une, dans le corps et l'esprit.
Je perds pied, je ne sais plus où et avec qui je suis hormis elle, ma sœur!

mardi 26 mai 2020

Twin devoir (1)

Récemment le Monsieur de Sister nous a proposé un petit devoir, Maître a été immédiatement d'accord (il aime ce que j'écris). Nous devions, à partir d'une photo (elle est en dessous 😜), écrire ce qu'elle nous évoquait, nos impressions, nos envies etc.
Voici le mien

Bulle fille en dessous:

Ce n’est pas si compliqué pourtant, Maître m’a dit « quoique Monsieur te demande, tu obéis ! ». Il avait ses yeux joueurs. Je veux bien obéir mais être nue déjà ce n’est pas si facile mais en plus allongée sur un matelas « Euh Monsieur, il ne respecte pas les règles d’hygiène lui ». Au vu des regards qui me sont lancés, je comprends instantanément que je dois laisser la chipie dans sa cage, je m’allonge donc sur ce matelas. Monsieur me positionne comme Il le souhaite, les jambes repliées et complètement ouvertes. Ses mains m’ont fait frissonner, un autre homme me touche, une sensation étrange m'envahit. Je suis perdue, mes yeux vont de Maître à ma sœur. Mon Maître qui veille sur moi et qui me protège tout en  appréciant ce qui est entrain de se passer. Ma sœur qui se demande pourquoi cette position et qui est excitée à la fois. Je ferme les yeux pour me concentrer. Je sens des cordes glisser sur toutes les parties de mon corps, qui se tend au fur et à mesure. Des mains viennent faire des nœuds sur ma poitrine tout en effleurant mes tétons, mes chevilles, mes mains. Je suis haletante et tout aussi excitée que pourrait l’être ma sœur. J’ouvre de nouveau les yeux et c’est Monsieur qui se tient auprès de Sa soumise.
Elle ne tarde pas à prendre place au-dessus de moi. Ses mains frôlent mes chevilles, sa poitrine aussi généreuse que la mienne vient frotter mon ventre, ses chevilles rejoignent mes mains. Mon excitation est à son maximum, mes pensées virevoltent, mes envies aussi. Je voudrais la goûter, la toucher, la caresser…
Les cordes se serrent autour de nos poignets, de nos chevilles. Nos Maîtres sont à l’œuvre, je croise aussi bien le regard de Maître que de Monsieur, ils sont concentrés. Mon corps tremble de plaisir, je laisse mon esprit vagabonder. Je rentre dans ma bulle oubliant presque ma nudité et ma posture.
Ce qui me maintient c’est le souffle… Le souffle, qui s’accélère, de ma sœur sur mon abricot de plus en plus humide, elle pourrait presque me toucher du bout de la langue. Des frissons me parcourent, je pourrais presque jouir. Sa poitrine frotte de plus en plus mon ventre. Je contracte mon sexe pour essayer de calmer mon ardeur. Je cale ma respiration sur la sienne. En ouvrant les yeux, je tombe évidemment sur le sexe ruisselant de ma sœur, je n’ai qu’une envie, passer ma langue sur ses lèvres et m’attarder sur son clitoris. Je veux la goûter, la faire jouir. Je n’en ferais rien, je n’ai pas l’autorisation, si je la fais jouir nous serons punies. Je laisse donc échapper mon souffle sur son sexe si juteux et enivrant.
Nous voilà donc maintenues et unies pour une séance de… en fait je ne sais pas ce qui va nous arriver. J'imagine Nos Maîtres avec un martinet aux lanières de cuir souple dans les mains. Celui-ci viendrait fouetter le dos de ma sœur et l’extrémité des lanières piquerait mes flans. Nous serions retournées et je me retrouverais au dessus pour me faire fouetter à mon tour. Une fois bien échauffées nos Maîtres nous autoriseraient à nous lécher et nous faire jouir mutuellement. Mais il pourrait en être tout autre, mon esprit vagabonde encore et encore pour laisser place à d’autres scénarios qui ne laissent pas indifférent mon intimité.
Il y a un moment que j’ai envie de goûter au plaisir charnel féminin. Mon Maître et Monsieur viennent de réaliser ce fantasme qui nous est commun avec ma sœur. 

mercredi 20 mai 2020

Le journal de Charlotte (9)



Ma nuit a été très agitée, j’ai fait des rêves assez surprenants, je me réveille donc avec une certaine envie de me faire plaisir. Je jette un coup d’œil à la porte, elle est bien fermée, je regarde mon téléphone pour voir l’heure ; 8h15. Je glisse ma main dans ma culotte et je commence à me masturber lentement. Enfin, que c’est bon, la tension sexuelle qui règne ici est très forte. Je me donne du plaisir sans ménagement, oubliant même que la porte peut s’ouvrir à n’importe quel moment. J’arrive enfin à mon but, je jouis sans retenue. La porte s’ouvre dans un grand fracas.

- Oh merde !
- Tu as deux secondes pour m’expliquer Charlotte, et j’espère pour toi que ton explication va me convenir !
- Euh... bah… je me faisais plaisir…

Je suis devenue aussi rouge que mes fesses hier. Je savais que Philippe ne voulait pas que je me caresse, du moins sans son autorisation. Il a tiré la couverture, m’a levé en un mouvement, a baissé mon pantalon de pyjama et m’a mise au coin. Philippe a quitté la pièce l’espace d’un instant. Je sens sa main se poser sur les miennes, il m’entraine sur ses genoux. Sa main s’abat sur mes fesses aussi fort et vite qu’il le peut. Il me reproche par la même occasion mon caprice d’hier soir. Je suis surprise par cette fessée.

- Tu veux jouir ? Tu vas jouir Charlotte !

La main de Philippe s’est arrêtée brusquement, le bruit des claques a été remplacé par un vrondement. Je comprends aussitôt que c’est un sextoy, je me débats, je ne veux pas qu’il utilise cela sur moi.

- Je croyais qu’il n’y aurait pas de sexe !!!
- Charlotte, tu changes de ton immédiatement. Tu as changé les règles en peu de temps !

Il pose le sextoy directement sur mon clitoris, les vibrations ne mettent pas longtemps à me faire jouir. Le problème c’est que je n’y prends aucun plaisir et surtout Philippe ne me laisse pas jouir complétement. Je suis haletante et en sueur. Je ne veux plus de cet objet, je tente de m’échapper des genoux de mon bourreau. De plus la position dans laquelle je suis est vraiment humiliante, être ainsi exposée me fait rougir de honte.

- J’ai compris Monsieur
- Tu as compris quoi, Charlotte ?
- J’ai compris que je ne dois pas faire cela sans votre autorisation et que je ne dois pas vous désobéir, Monsieur.

Pour seule réponse, Philippe me redresse et me laisse, le pantalon aux chevilles, au beau milieu de la chambre. Je ne sais pas quoi faire, je suis perdue.

- Remonte ton pantalon et descends avec moi déjeuner
- Oui Monsieur

Je le suis jusque dans la cuisine, il avait tout préparé, mon bol avec des céréales et sa tasse de café avec son pain grillé beurré.

- Je peux avoir du café, Monsieur, s’il vous plait ?
- Non Charlotte

J’allais rétorquer mais son regard m’a fait changer d’avis. Le petit-déjeuner se passe très bien, tout comme la matinée d’ailleurs. Après une bonne douche, nous sommes allés faire quelques courses, Philippe a pris de quoi faire à manger pendant 15 jours, cela m’amuse. Une fois de retour à la maison, je l’aide à ranger puis il m’envoie au salon regarder la télévision. Je me déchausse et m’y dirige quand je vois cette magnifique bibliothèque, je parcours du regard les bouquins. Je m’apprête à en prendre un quand ma conscience me signale le contraire.

- Philippe, je peux prendre un bouquin, s’il vous plait ?

Je l’ai fait sursauter, je suis arrivée dans la cuisine sans un bruit. Je pouffe et masque maladroitement un sourire.

- Cela te fait rire, ma chipie ?
- Oui, Philippe.
- Oui vas-y tu peux prendre un livre mais ne l’abîme pas. Me dit-il en déposant un baiser sur mon front.

Je ne perds pas une minute, j’y vais presque en courant et ce qui devait arriver, arriva. Je me suis étalée de tout mon long sur le sol. Mon protecteur s’est empressé de venir me ramasser. Je suis à moitié en train de rire et à moitié honteuse. Il me sourit en secouant la tête.

- On ne court pas dans une maison, jeune fille, sinon voilà ce qui arrive.
- Oui Philippe, je vais faire attention.

J’attrape un livre et me love dans le canapé. Philippe est retourné au fourneau. Ça sent drôlement bon, mon estomac commence à crier famine. Je repose mon livre et me dirige vers cette délicate odeur, cette fois je fais un peu plus de bruit. Sans se retourner.

- J’allais t’appeler, ma chipie, tu te laves les mains et on passe à table.
- Oui Philippe.

Mon enthousiasme se retrouve au plus bas quand je vois mon assiette, ça sentait bon pourtant. Le cuistot du jour nous a préparé du riz, du poisson et des épinards.

- Super, un repas de cantine. Ai-je murmuré
- Pardon ?
- Non rien, bon appétit, Philippe
- A toi aussi.

jeudi 14 mai 2020

Le journal de Charlotte (8)

Bizarre Badewannen-Beichte eines Mannes spaltet das Internet
Cette dernière promesse, je ne suis pas sûre de la tenir. Philippe me demande où est mon sac, je lui réponds qu’il est dans ma voiture garée près du café. Il me prend à nouveau par la main et nous allons le chercher. Entre deux, je signale à Philippe que je commence à avoir faim. 

- Une pizza, ça te dit ? 
- Oh oui super !! 

Nous arrivons enfin à la voiture, il me tend la main. Je comprends en deux secondes qu’il veut conduire. 

- Non ! 
- Pardon Charlotte ? 
- C’est ma voiture, vous n’avez qu’à me guider. 
- Charlotte ? 

Je souffle et finis par lui donner les clés. Je m’installe côté passager. Il n’y a pas un mot entre nous durant les cinq minutes de trajet. Une fois chez lui nous commandons les pizzas. 

- Viens, je vais te montrer ta chambre pour le week-end. 

Je dépose mes affaires et nous descendons manger. 

- Allez ma chipie, on passe à la salle de bain. Je vais te faire couler un petit bain. Va chercher ton pyjama et rejoins-moi. 
- Oui Philippe. 

Je passe par les toilettes, récupère mon pyjama, j’entre dans la salle de bain avec une certaine appréhension. Philippe m’embrasse sur le front et commence à me déshabiller. Je me laisse faire, ses gestes sont doux et remplis d’amour. Je le regarde, lui souris mais quand il arrive à mes sous-vêtements. Je pose mes mains sur les siennes. 

- Que se passe-t-il, ma chipie ? 
- Je peux avoir juste 2 secondes, s’il vous plaît ? 
- Bien sûr. 

De nouveau, un bisou sur le front, c’est un geste affectueux qui me remet en confiance. J’enlève mes mains et le laisse continuer. Il me fait tourner sur moi-même pour m’admirer, il m’aide à entrer dans le bain. L’eau est pile à la bonne température, il y a plein de mousse et un petit canard. Je le regarde en souriant, prends le canard et l’examine puis le jette dans l’eau, déçue. 

- Qu'y a-t-il ? 
- Non rien, dis-je en faisant la moue. 
- Tu ne croyais tout de même pas que j’allais te laisser utiliser un canard vibrant ? 
- J’ai eu de l’espoir en le voyant. Je boude toujours. 
- Charlotte, ce week-end est fait pour que l’on apprenne à se connaître et je t’ai dit comment il allait se dérouler. Sa voix est calme et posée. 
- Oui mais moi j’ai envie ! 
- Charlotte, non pas de cela avec moi ! 

J’ai claqué les mains dans l’eau, ce qui a eu pour effet d’éclabousser Philippe. Il se retrouve avec plein de mousse sur lui, quant à moi, je suis entre la panique et l'amusement. J’ai un fou rire. Philippe me laisse ainsi, j’en profite pour plonger la tête sous l’eau et savourer ce bain. Je m’interroge sur ce moment que je vais passer avec lui, j’en conclus que je dois me laisser guider. Je suis si bien avec lui, il me rassure. Quand je sors la tête de l’eau, Philippe est au dessus de moi, il a changé sa chemise pour un T-shirt. 

- Mets-toi debout Charlotte que je puisse te laver ! 

Il a repris sa voix stricte, ça ne signifie rien de bon. Je crois qu’il n’a pas apprécié mon attitude. Je me lève, je m’attends à recevoir une paire de claques sur les fesses humides mais rien. Il prend son temps pour me savonner tendrement avec une fleur de douche. Il n’oublie aucun recoin mais ne s’attarde pas sur les parties érogènes. Il lâche la fleur et me frictionne les cheveux avec un shampooing qui sent bon la pomme. Sans me prévenir il part, je reste plantée là debout comme une idiote. J’ai froid alors je me remets dans l’eau et me rince. Philippe rentre à nouveau. 

- Allez Charlotte, on sort ! 
- Oui Philippe. 

Tout se passe sans une protestation, une hésitation de ma part. Philippe m’entoure d’une serviette. Il me sèche de la même façon qu’il m’a savonné. Il me fait enfiler mon pyjama et commence à sécher mes cheveux qu’ils nattent en 2 couettes. 

- Au lit maintenant, Charlotte ! 

J’obéis toujours sans dire un mot. La distance qu’il a mis entre nous est pesante, je me demande quand il va me punir. Il n’en fera rien, bien au contraire, il va être très tendre pour me mettre au lit. Il me lit une histoire, cela me fait sourire mais c’est dans l’accord de ce week-end. Il m’a offert une peluche, un petit mouton sur lequel est brodé « Chipie ». Je me sens terriblement coupable de mon caprice dans la baignoire. 

- Philippe ? 
- Oui Charlotte ? 
- Je suis désolée de mon caprice. Je vous demande pardon, s’il vous plaît Monsieur. 
- Nous en rediscuterons demain. Pour le moment, je suis déçu de ton comportement, alors il vaut mieux pour toi que tu dormes et vite. 

Il ferme la porte, je tourne pendant de longues minutes mais je finis par m’endormir.

vendredi 8 mai 2020

Le journal de Charlotte (7)

Mobilier de terrasse professionnel pour les restaurants, comment ...
J’ai enfin pris mon courage à deux mains, j’ai dit à Philippe que j’étais enfin prête pour une rencontre. Seulement, ces derniers temps mon comportement avec lui n’a pas été des plus exemplaires et il faut que j’assume. Alors les punitions à distance c’est bien mais le réel c’est mieux. J’avais reçu quelques instructions au fur et à mesure de nos échanges. Nous avions convenus que nous nous verrions pour un week-end complet. 

Philippe m’a donné rendez-vous un vendredi soir, dans un café pas trop loin de chez lui. Je connais sa voix mais le reste c’est le flou total. Il m’a dit qu’il porterait une chemise grise et un jean, bon moi je craque pour ce genre de vêtements sur un homme. J’ai mis une jupe, des bas, un petit pull léger et une veste mi- saison, rien de trop sexy mais une tenue qui fait son petit charme. 

Je suis devant le dit café. Je vois cet homme attablé en train de fumer. Je me fais discrète et fais semblant de ne pas le voir. J’entre et m’installe. Je joue avec mon téléphone, lui envoie un message en lui disant que je suis arrivée puis je patiente. Le voilà, il est grand, le regard strict, son attitude l’est tout autant. 

- Bonjour Charlotte 

Je lève les yeux, reste bouche bée et immobile. Sa main me prend par le bras pour m’aider à me lever pour le saluer. 

- Bonjour Philippe. 

Nous commandons nos boissons tout en entamant une discussion sur les débordements de ces derniers temps. Il est sévère dans ses paroles mais surtout il a un ton sec, il sait exactement les mots qui m’atteignent. Je me sens toute petite. Je suis soudain une soumise docile et calme qui est moins têtue que d’habitude. Philippe reste le même qu’au téléphone. 

Les choses sont dites et annoncées. Je le suis non loin du bar, nous marchons une dizaine de minutes. Bizarrement Philippe me tient par la main telle une enfant, mais je me laisse faire. J’aime sa façon d’être avec moi. Il est protecteur et strict en même temps. Nous arrivons devant une maison, nous entrons, là le ton change. Je suis prise par l’oreille pour être mise au coin ainsi. Philippe me prend les mains et me les pose sur la tête. Je reste au coin un long moment ainsi. 

- Charlotte, viens ici me voir. 

Je ne pipe pas un mot, me retourne et me dirige vers lui toujours avec les mains sur la tête. Philippe est installé dans son canapé, une tasse de café vide posée sur le côté. Je me place devant lui, il se lève, baisse ma jupe d’un trait. Il me gronde tout en me basculant sur ses genoux. Les premières claques ne se font pas attendre. Elles sont grandes et sèches. Sa main alterne bien toutes les parties de mes fesses. J’essaie de rester immobile pour ne pas le contrarier d’avantage. 

- Tu as déjà les fesses bien rouges, jeune fille et ce n’est que le début. 

Il passe sa main sur mes fesses, les masse et les taquine. Je frissonne. Il me relève, entame de nouveau un sermon. Je ne peux pas lever les yeux, je fixe mes pieds sans rien dire. 

- Charlotte réponds-moi ! 

Je suis incapable d’ouvrir la bouche, sa réaction se fait immédiate. Philippe se lève, met un pied sur le canapé et me bascule sur sa jambe. De nouveau de grandes claques s’abattent sur mon fessier. Je ne peux m’empêcher de battre des jambes. 

- Ma question est simple, Charlotte ? Que mérites-tu pour toutes tes bêtises ? 
- Une fessée mais c’est bon vous êtes en train de me la donner ! 
- Change de ton avec moi, tu n’es pas dans une bonne posture. 

Sur mes dires, Philippe m’assène des claques sur les cuisses. Je me débats pour retrouver le sol mais je suis bien maintenue. Une autre série de claques me fait comprendre que je dois arrêter de bouger. 

- Je mérite une fessée Monsieur. 
- Et comment doit être mise cette fessée, Charlotte ? 
- A la main Monsieur 
- Et ensuite Charlotte ? 
- A La brosse Monsieur. 
- Bien Charlotte. 

Philippe me repose sur le sol, se dirige vers un tiroir. Il revient vers moi, me montre l’objet avec un certain sourire et le pose sur l’accoudoir du canapé. 

Il tend ses mains sur mon bassin, fait glisser ma culotte aux genoux. Il me prend la main et me tire à lui. À peine en position, mes fesses sont déjà giflées sans ménagement. Les claques sont réparties entre mes cuisses, mes fesses et la naissance de celles-ci. Je croise, décroise les chevilles, je serre les poings. J'encaisse sans trop rien dire. Philippe marque une pause, joue de nouveau avec mes fesses en les massant et les caressant. Je reste calme et immobile. Son bras passe au dessus de ma tête, je sais ce qu’il vient de prendre ; la brosse, le moment que j’appréhende le plus. Il fait glisser celle-ci sur mes fesses. Avant que je n’aie pu prendre ma respiration, il abat la brosse 3 fois sur chaque demi-lune. La douleur est vive et ne se fait pas attendre. Les coups s’enchaînent à une vitesse soutenue. Je bats des pieds tout en promettant de ne plus recommencer, je lâche les larmes. Cette fessée dure un long moment. Je n’en peux plus, je suis à bout, je pleure à chaudes larmes, mes fesses sont bouillantes. Elles me font très mal. Je suis envoyée au coin les mains sur la tête avec les fesses en feu. Je sens les marques se faire au fur et à mesure. 

Histoire de boucler cette punition, Philippe me signale que je vais recevoir 15 coups de ceinture. Habituellement j’aime cet instrument mais là je ne sais pas si je vais pouvoir supporter. Penchée sur la table, je reçois les 15 coups en hurlant à chaque fois. Le cuir s’imprime sur ma peau déjà meurtrie par cette foutue brosse. 

Philippe pose sa main sur mes fesses me signalant ainsi que la punition est finie. Mon bourreau me prend dans ses bras. Il me calme en me disant que j’ai été courageuse. Il m’embrasse sur le front et me laisse récupérer au coin. Une dernière fois, Philippe me prend dans ses bras pour me consoler tendrement. 

- Tu me promets de te calmer, Charlotte ? 
- Oui Monsieur. 
- Tu vas obéir ? 
- Oui Monsieur. 
- Nous allons donc passer un bon week-end sans nouvelles fessées 
- Oui Monsieur.

mercredi 6 mai 2020

D'une main de Maître



J’aime imaginer ce que pourrait faire la Main de Maître sur moi.

L’imaginer frôler ma joue :

Du bout des doigts, Maître taquinerait la peau de ma joue, Il laisserait descendre Son index de mes yeux pétillants jusqu’à ma bouche pulpeuse.

L’imaginer effleurer ma bouche :

Son pouce jouerait avec ma lèvre inférieure, la baissant délicatement pour pénétrer ma bouche, me faire sucer et lécher avec ma langue. Ma bouche qui obéirait sans protester tout en se faisant douce.

L’imaginer descendre jusqu’à mes seins :

Du revers de la main, Maître caresserait mon cou qui ne demanderait qu’à être embrassé.

L’imaginer jouer avec ma poitrine :

De son majeur, Il ferait le tour de mes seins passant au-dessus et en-dessous puis Il remonterait sur mes tétons pour les titiller jusqu’à leurs sorties. Ces tétons qui seraient en effervescence et qui souhaiteraient qu’on les maltraite, qu’on les tire.

L’imaginer progresser jusqu’au mont de Vénus :

Son index, majeur et annulaire joueraient une partition de piano sur mon ventre qui se contracterait involontairement. Passant par mon nombril, Il ferait de petits ronds autour de celui-ci pour atteindre son objectif.

L’imaginer atteindre mon sexe :

Des cinq doigts de Sa Main, Il frôlerait, effleurait, jouerait avec mes lèvres, évitant soigneusement de me pénétrer trop rapidement. De son pouce, Il s’attarderait sur mon clitoris qu’Il masserait doucement. De son Index et de son majeur, Il pousserait l’entrée pour glisser lentement en moi, faire de doux va-et-vient. De son annulaire et auriculaire, Il s’amuserait avec mon œillet. 

L’imaginer finir sa course :

Sa Main emprunterait un chemin le long de mes cuisses et de mes jambes, tout en zigzaguant et en faisant des aller et venue. Ses doigts tapoteront ma peau frémissante. Il finira sa course en remontant la plante de mon pied.

L’imaginer sur le revers de ce chemin : 

De Ses deux mains, Maître masserait délicatement mon cou, grifferait passionnément mon dos, pincerait follement mes cuisses et fesserait intensément mes globes charnus.

J’aime imaginer que Sa bouche et Sa langue accompagnent Sa Main pour mon plus grand plaisir … solitaire.