lundi 30 juillet 2018

X-men

Les mutants aiment utiliser leurs pouvoirs pour notre plus gand plaisir





mardi 24 juillet 2018

Marc & Lou (13)


Le dimanche soir est synonyme, chez nous, de détente alors pour ce faire, je nous fais couler un bon bain chaud et j’y ajoute un petit carré de bain moussant et parfumé. Nous nous y plongeons tous les deux, lui calé dans le fond de la baignoire et moi entre ses jambes, je me blottis contre lui et souvent je finis par fermer les yeux quelques instants. Ce bain, parfois crapuleux, est aussi le moment où l’on discute des projets qui nous tiennent à cœur.

-Alors cette cuisine tu la veux ouverte sur le salon ou pas ? me dit-il en me sortant de mes pensées
-Oh ! Oui j’aimerais une cuisine ouverte avec le plus de rangement possible et surtout un grand espace de travail, pour que je puisse te faire de bons petits plats. Dis-je tout en continuant de lui expliquer ce que je voulais dans notre future habitation.

Quant à lui, il m’exposait ses envies pour le garage, l’aménagement du jardin, j’acquiesce par des « hum » mais sans plus prêter attention.

-Qu’y a t-il mon Ange, ça ne va pas tu n’aimes pas ma façon de voir ?
-Si si mon Chéri, c’est juste que je pense à autre chose !
-Vas y dis moi ? M’encourage-t-il avec son ton si protecteur.

Mais je ne lui donne aucune réponse.

-Alors, j’attends !! S’impatiente-t-il en élevant la voix
-Non rien, ce n’est pas grand-chose, ne t’inquiète pas.
-Bon Lou, dis-moi ce qui ne va pas ?

Et là je comprends qu’il faut que j’avoue et rapidement

-Euh… d’abord ne te fâche pas s’il te plaît.
-C’est déjà mal parti !!
-Tu te souviens le jour où j’ai fini plus tard, je t’ai dit que j’avais pris l’autoroute pour rentrer plus vite
-Oui ?!
-Et c’est ce qui s’est passé
-Oui mais vas droit au but tu m’agaces là Lou !
-Je me suis pris un procès pour excès de vitesse. M’empressais-je de dire
-Tu roulais à combien ?
-139
-Ok donc 144!! Et l’amende et les points ?
-130€ et 1 point en moins
-Ok

Et nous sommes restés dans le bain l’un contre l’autre sans rien dire, il était toujours aussi doux et protecteur mais j’arrivais à sentir sa colère. J’étais très honteuse de ma bêtise et je savais que je l’avais déçu. Nous finîmes par nous laver et sortir du bain. Comme à son habitude Marc enfila simplement son peignoir et moi, je mis une jolie petite culotte noire en dentelle, une nuisette noire en satin et pour ne pas avoir froid mon peignoir. Puis il se dirige vers la chambre, je range la salle de bain avant de le rejoindre. Et là surprise, il est assis sur le bord du lui et il a mis un jean. Je pense que je vais avoir droit à une fessée, je me dirige vers lui. Marc me lance un regard noir.

-Tu te rends compte de la bêtise que tu as faite ?!!
-Hum !
-Pardon, me lance-t-il
-Oui
-Non seulement tu ne me l’as pas dit tout de suite et en plus il a fallu que je te tire les vers du nez.

Je n’ose même plus le regarder, il me relève la tête et continue.

-Tu aurais pu te tuer à cette vitesse, je me fous que tu sois en retard, je préfère que tu sois en vie. Avec cette bêtise tu nous fais perdre de l’argent et tu m’as énervé.
-Pardon je ne le ferai plus, mais s’il te plait pas de fessée.
Je l’implore du mieux que je peux même si c’est peine perdue et qu’il a déjà pris sa décision.

Cette phrase est plutôt mal passée et le met encore plus en colère, il a horreur que je lui dise quoi faire. Il m’attrape par le poignet, m’ôte mon peignoir et me bascule sur ses genoux, il commence la fessée avec des claques fortes qui me laissent échapper quelques plaintes.

-Tu vas te taire ou je te bâillonne. Me dit-il avec une voie très calme.
-Pardon

La fessée continue et il me gronde en même temps ce qui me fait réaliser que j’aurais vraiment pu me tuer. Il s’arrête, me relève et sans un mot il me retire la nuisette, je me retrouve donc en culotte devant lui, les yeux brillants et les joues aussi rouges que mes fesses. Il me fait signe de me remettre sur ses genoux. Et sa main reprend le même rythme, je commence à gesticuler comme une gamine. Il s’arrête de nouveau et passe sa main sous l’élastique et baisse ma dernière barrière jusqu’aux genoux, il me coince les jambes et recommence mais cette fois-ci avec la brosse. Je n’ai même pas vu qu’il la prenait dans la salle de bain. Celle-ci m’arrache des cris de douleur et je sens mes fesses s’enflammer. Les coups sont rapides et vifs, habituellement la brosse me fait mal mais je l'encaisse, là c'est tout autre chose. Je suis tellement mal que je ne supporte pas. Je me mets à trembler et fonds en larmes, il me relâche, me relève.

-Tu as compris la leçon Lou, dit-il essoufflé
-Oui , dis-je en pleurnichant.
-File au coin et réfléchis.

Je m’y dirige, mets les mains sur la tête et je reste là ; la culotte aux genoux et les fesses bien rouges à réfléchir et tout en pleurant sur ma bêtise.

Au bout d’un moment, il m’autorise à venir le rejoindre dans le lit et m’enlace dans ses bras

jeudi 19 juillet 2018

On s'accorde!


Il me sait maso, je le sais sadique…

Debout devant lui, les choses sont différentes. Sa posture, son charisme m'impressionnent, je me sens petite face à lui. Il me domine du regard…

Se tenir droite, les mains dans le dos, tête baissée, autant de choses qu'il m'a demandées et que je m'efforce de faire dignement. Ne pas le décevoir est la seule chose à laquelle je pense.

Je le regarde du coin de l'œil préparer les instruments, les cordes, les menottes, les pinces…

Va-t-il utiliser tout ça sur moi ? Vais-je savoir apprécier le moment qui m’est offert ?

Il s'approche doucement de moi, relève ma tête et m'embrasse sur le front. Ce premier contact est important pour moi. Je me sens en sécurité. Je suis en sous vêtements et lui est tout habillé, cette situation peut paraître étrange mais c'est comme ça.

Un simple regard pour confirmer que je suis prête. Il me juge de haut en bas, réfléchis, attrape ma main et la met dans mon dos. Il y pose un bout de corde et commence son exercice favori. La corde tourne, enlace mes poignets puis mes bras, elle vient faire le tour de ma poitrine. Elle serre mais ne fait pas mal, du moins je n'ai pas mal ! J'avais peur de ne pas supporter et je lui avais confié mes craintes malgré mon envie de tester ce nouveau jeu…

Je le regarde faire, il me fascine, il est concentré, il aime ça. Il a toujours un œil sur moi, ses gestes sont précis. Les cordes se serrent un peu plus, il replace mes bras encordés dans le dos et les lie ensemble. Une position qui paraît inconfortable mais que j'apprécie. Il vient passer la corde de chaque côté de mon cou pour rejoindre les nœuds déjà en place sur ma poitrine.

Son exercice est fini, il me fait mettre à genoux et prend un fouet au manche rouge et lanières noires. Il me demande de fermer les yeux, j'obéis sans poser de question. Le premier coup tombe sur ma poitrine, le geste était doux. Les lanières sont venues caresser mes seins une dizaine de fois, les cinglées ont été crescendo. Il pose sa main sur mon épaule puis descend sur mes mains comme pour tâter la température de mes doigts que je referme sur les siens. J'ai ouvert instinctivement les yeux, il s'en est aperçu, un foulard se pose alors ceux-ci. Mes sens se mettent en alerte et mon ouïe se trouve plus affûtée. J’entends ses pas et sa respiration. Il continue à faire pleuvoir les lanières sur le reste de mon corps.

Je suis comme transportée, mon cœur s'accélère, ma respiration est saccadée et mon cerveau commence à se déconnecter. Il vérifie à nouveau que tout va bien et disparaît, je ne l'entends plus. Puis je sens ses mains se placer sur mes chevilles, ce sont des menottes, il me relève et installe la barre. Maintenant dans l'impossibilité de bouger, je suis à sa merci. Le fouet revient me chatouiller le corps. Cette fois-ci je pars totalement dans un autre monde. Les lanières piquent, flagellent, j'en viens même à gémir de plaisir. Il choisit cet instant pour prendre la cravache. Le cuir de celle-ci effleure mes seins, mes cuisses et mes fesses. Il tapote doucement mais une fois à la hauteur de mes demi-lunes, il lâche son geste et la brûlure du cuir se fait sentir. Les coups s'enchaînent et me transportent, la douleur vive m'emmène loin, mon cerveau n’assimile plus, je perds toute notion de temps et d'espace. Il vient ensuite s'attarder sur mon sexe, les sensations sont identiques. Je ne vais pas tarder à perdre pied. Un bruit sourd, il a lâché l'instrument, ses mains prennent le relai. Juste quelques caresses, claques et je pars dans de longs gémissements. Mes jambes ont du mal à me soutenir, je vais m’écrouler. Il me retient et me masse doucement le sexe à travers ma culotte. Je ne tiens plus et j’explose dans ses mains. Il me détache de mes entraves, ôte le cordage et dénoue le foulard. Il m'aide à aller jusqu’au lit où je m'endors.

Je le sais sadique, il me sait maso...

dimanche 15 juillet 2018

Entre 4 yeux




Debout devant eux, pas un mot ne sort de nos bouches, juste des regards.  L'un me transperce de ses yeux verts: Monsieur, et l’autre me glace de ses yeux bleus : lui. Je ne peux pas les fixer ni même regarder dans leurs directions. Je suis là, honteuse, à me demander ce qu'ils ont en tête. Je mordille mes lèvres, joue avec mes doigts et fixe le sol, attendant patiemment que l'un des deux bouge ou parle. La tension est palpable, les deux sont bras croisés devant moi. 

Monsieur bouge le 1er, il se dirige vers une chaise qu'il tire bruyamment. Quant à Lui, il s'appuie sur le bureau. On toussote, naturellement je me dirige vers Monsieur qui me fait un signe de la tête me disant que ce n'était pas vers lui que je devais aller. Je déglutis, me tourne et regarde cet homme qui me tend la main. Je ne sais vraiment pas ce qui m'attend, j'ai peur… un dernier coup d'œil à Monsieur et je prends la main qui m'est tendue. 

Je suis là, entre ses jambes, il me parle mais mon cerveau ne décrypte rien. Je sais juste que les mots font mal. Je suis maintenant sur sa cuisse, les bras posés sur le bureau. Il discute avec Monsieur qui approuve et acquiesce toutes ses remarques. Sa main se pose sur mes fesses qui, pour l'instant, sont protégées par ma jupe. Une première séries de claques retentit et me surprend, une main de fer dans un gant de velours. Les claques sont sèches mais ne font pas mal. J'entends la chaise bouger, je tourne la tête vers Monsieur qui est juste à côté de moi maintenant. Monsieur me connait et sait très bien que je ne sens pas les claques. Il décide donc de me relever la jupe laissant ainsi apparaître ma culotte et dans le même élan retourne s'assoir. Regard de glace reprend la fessée, lente et douce sauf qu'un instant après le voilà qui appuie et durcit la main. Il a pris son temps pour monter en puissance. Le temps de bien chauffer toute la surface de mes fesses. Je mets une main dans le dos, il la saisit directement. Je ne veux pas me protéger mais ça nous permettra de communiquer sans paroles.

Le moment fatidique arrive, il passe la main sous l’élastique de ma culotte. Je proteste et ne me laisse pas faire. Il me redresse et m'ordonne de baisser moi-même jupe et culotte. Je refuse en me cramponnant à mes vêtements. Monsieur arrive derrière moi et me claque les cuisses et dans un geste brusque ma jupe et ma culotte rejoignent le sol. Je suis de nouveau basculée sur sa cuisse et la fessée reprend de plus belle. Le rythme est soutenu, mes fesses chauffent de plus en plus et commencent à devenir douloureuses.  Je bats des jambes et tente cette fois-ci de me protéger. Il me coince avec sa jambe libre et attrape encore ma main. Je n'ai pas d'autre choix que d'accepter la punition. Il alterne méthodiquement, je regrette de lui avoir dit que sa main était en carton. Je suis au bord des larmes, il atteint une puissance qui va me faire basculer. Je gémis comme jamais, j'ai mal et mes fesses sont en feu. Il s'arrête aussi progressivement qu’il a commencé. Je reste immobile sur sa cuisse, reprends mes esprits. 

Je suis envoyée au coin mais pour un court moment. Je sens derrière moi une présence… Monsieur. Je ne bouge pas, il défait sa ceinture, me prend par les hanches et m'amène vers le bureau où il me penche. Il la fait claquer et lance un 1er coup. Je sursaute, tourne la tête et vois les yeux bleus me fixer. Je ne compte pas le nombre de fois où la ceinture est tombée. Je sais juste que mes fesses le sentent et que la chaleur s'est diffusée partout. Je me redresse et masse généreusement. Mes mains caressent les stries laissées par la ceinture… 

Je me suis réveillée dans un état second tant physiquement que psychologiquement. 

mardi 10 juillet 2018

Marc & Lou (12)




J'ouvre les yeux, il est 8h30, ma belle est toujours dans les bras de Morphée. Je la laisse et me dirige vers la cuisine, j'ai besoin d'un café. Après la journée d'hier, je suis bien et j'aimerais que cela continue. Je bois mon café tout en regardant droit devant moi. La colère m'a quittée, je sais qu'elle ne voulait pas prononcer ces mots mais … Je sors de mes pensées, j'entends l’eau de la douche couler. Je finis ma tasse et file la rejoindre dans la salle de bain. Lou me tourne le dos et je peux, en toute discrétion, la contempler. L'eau coule sur son dos et ses fesses blanches pour l’instant. Je la rejoins et me colle à elle, une érection naissante. Elle penche la tête en arrière et nous restons ainsi sous l'eau chaude un petit moment. Elle se retourne, m'embrasse timidement et se décale pour se laver. Le silence entre nous en dit long. Comment voulez-vous la punir en la voyant ainsi ? Mais je ne reviens jamais sur une décision et je dois respecter ma parole.

Elle sort de la douche et me laisse avec mon érection et l'eau chaude. Je me lave à mon tour et sors.
Elle est sèche et commence à s'habiller : un joli petit boxer noir et un soutien-gorge assorti. Elle me jette un coup d'œil et file dans notre chambre. Je saisis l'opportunité.

- Ne t'habille pas plus, vas au coin. J'arrive !
- Oui Monsieur.

Quand je fais irruption dans la pièce, elle est telle que je lui ai demandé.
Je vais vers notre armoire à jouets et sors juste la brosse.
Je m'installe sur le lit et lui demande de venir devant moi.

- On a quelque chose à régler tous les deux, jeune fille !
- …
- Muette ?! Vendredi soir, tu ne l'étais pas. Serais-tu capable de me répéter ?
- Non Monsieur, je vous prie de bien vouloir excuser mon comportement, s'il vous plaît.
- Je ne crois pas. Tu sais ce qui va arriver ?
- Oui Monsieur.

J'attends simplement qu'elle me réponde. Je vais patienter un peu et insister sur le regard. Elle ouvre enfin la bouche.

- Je mérite une fessée Monsieur, pour mauvais comportement et pour paroles déplacées.
- Effectivement, viens ici !

Je lui tends la main et l'amène sur mes genoux. Je la sens déjà soulagée et prête. J'entame un long massage de ses jolies fesses et lui rappelle ses mots. Je l'entends renifler, ma phrase aura un impact plus fort que ma main (elle me l'avouera plus tard). Je veux marquer le coup alors je décide de frapper fort d'entrée. Elle ne se débat pas mais supplie, elle veut que j'arrête. Je descends sa culotte aux genoux, caresse ses demies-lunes déjà bien rouges, et reprends la fessée, alternant fesse droite et gauche. Ma main commence à piquer, il faut que je change d'instrument. Je prends la brosse, caresse les fesses de Lou avec les poils de celle-ci. Elle frisonne et me dit que ça pique alors je l'écoute et décide de donner un 1er coup avec le dos de la brosse. Ses jambes se croisent, je ne lui laisse pas le temps de récupérer et lance une tempête de coups à une cadence folle, insistant parfois sur la même fesse 3 ou 4 coups à la suite. Je ne cesse de lui répéter les mots qu'elle m'a dit et qui m'ont profondément blessé. Elle tente, vainement, de se protéger avec la main, je l'attrape et la bloque dans son dos. Je sème les coups sur toute la surface de ses fesses et même sur le haut de ses cuisses. Elle ne parvient pas à garder les jambes en place alors je l'aide en les bloquant avec les miennes. La voilà prisonnière de mon emprise, Lou pleure maintenant à chaudes larmes. Je repose la brosse, elle a assez servi pour aujourd'hui. Ma main caresse spontanément ses fesses. Je voulais finir par une fessée manuelle mais au vu de l'état de ses fesses, et l'état dans lequel Lou se trouve, je n’insisterai pas plus.

Elle reste sur mes genoux complètement vidée d'énergie. Je la relève et la pose sur le bord du lit. Lou me saute au cou et me demande pardon, elle vient se lover dans mes bras et niche sa tête dans le creux de mon cou. Je ne l'enverrai pas au coin, nous restons dans cette position. Je l'embrasse dans les cheveux, lui dis que je l'aime et surtout qu'elle n'a plus intérêt de me parler comme ça. Je n'ai pour seule réponse qu'un reniflement et un petit hochement de tête. Je la fais mettre debout, vais dans la salle de bain prendre l'arnica et remets Lou sur mes genoux. Je la masse lentement en veillant à étaler la crème partout. Une fois fini, nous terminons de nous habiller et sortons de la chambre. Je m'entends lui dire

- Avance p'tit cul !

Elle se retourne sur moi et me lance un regard plein de malice avec un joli sourire aux lèvres.

Nous profitons du soleil d'été, préparons de quoi pique-niquer et partons en balade. J'emmène Lou en forêt. Le lieu est désert, nous choisissons une table à l'entrée du bois et mangeons tranquillement.

- Je vais remettre ça dans la voiture et on va se balader ?
- Oui, Chéri

Je mets moins de 3 minutes pour revenir à elle. Nous nous enfonçons dans ce lieu paisible. Lou porte un short qui laisse apparaître un peu ses cuisses rougies. Je ne peux m'empêcher de divaguer, je l'attrape par les hanches et la plaque contre un arbre dos à moi. Je passe ma main sur le devant et déboutonne son short pour ensuite le faire glisser le long de ses jambes. Je les écarte un peu, cambre ma belle et glisse deux doigts en elle. Elle se laisse faire tout en gémissant, mon sexe me fait mal… je me glisse entre ses fesses et commencer à bouger lentement. C'est elle qui demande à accélérer, mes doigts sont toujours en elle et mon pouce fait des petits cercles sur son clitoris. Elle ne se contrôle plus et lâche un long, très long râle de plaisir, ce qui par la même occasion me fait venir. J'embrasse son épaule et nous nous rhabillons. Nous finissons notre balade champêtre et rentrons à la maison.

Comme nous sommes dimanche soir, Lou nous fait couler un bain. Nous sommes détendus et plus amoureux que jamais. Ce dimanche soir se déroule sans embûche et en toute simplicité. Quand nous nous couchons, Lou m’avoue avoir voulu cette punition mais ne pensait pas les mots prononcés. Je l'embrasse et me tourne. Je suis fâché qu'elle l'ai fait exprès mais je ne lui en tiens pas rigueur car elle a un argument de poids. Elle est passée sous la couverture….

samedi 7 juillet 2018

Musique (2)

En musique, il faut savoir jouer dans toutes les postures, et surtout il faut savoir lire toutes les partitions sinon la baguette du chef peut être sévère. 








mardi 3 juillet 2018

Marc & Lou (11)


Je me réveille doucement et cherche ma jolie Lou, elle n’est pas là, je panique, sors du lit et me dirige vers la cuisine. Ouf elle est ici, ma nuit a été cauchemardesque. 

-Bonjour, je t’ai préparé le petit déjeuner. Me dit-elle avec un petit sourire timide.
-Bonjour Lou, déjà levée ?! Et en plus de ça habillée et coiffée !
-Oui, ma nuit a été un peu agitée et donc j’ai mis à profit les heures où je ne dors pas pour te faire un bon petit déjeuner. 

Lou se tient dans un coin de la cuisine, les mains dans le dos. Elle est vraiment jolie dans sa petite tenue ; une jupe noire qui est courte mais pas vulgaire et un joli chemisier rose très pale. Lorsqu’elle se penche pour sortir quelque chose du four je découvre avec plaisir qu’elle a mis des bas et une culotte blanche. Je passe la main sur le haut de ses cuisses.

-Pardon Chéri, ce n’est pas la position adaptée pour me baisser avec cette tenue, s’empresse-t-elle de s’excuser
-A la maison ce n’est pas grave mais il est vrai qu’en public j’aimerais que tu fasses autrement.

Lou pose les viennoiseries tièdes sur la table, me sert un café et un jus d’orange. Nous commençons à manger, Lou a décidé de se faire pardonner,  il est clair, alors je réfléchis à une punition qui je le sais aura un impact.

-Bon vu que j’ai organisé ce samedi, nous allons le passer comme prévu.
-Mais je ne le mérite pas et tu le sais, me coupe-t-elle
- Lou, je n’ai pas fini de parler.
-Pardon...
-Bien donc nous allons faire exactement ce que j’ai prévu et demain tu seras punie comme tu dois l’être, est-ce que c’est clair Jeune Fille ? Lui dis-je en haussant les sourcils.
-Oui Monsieur c’est bien compris. Me répond-elle tout penaude.

Nous avons passé un agréable samedi et tout a été à merveille avec Lou, je savais qu’en décidant de ne rien changer à mes plans cela la perturberait et qu’elle n’oserait rien remettre en cause. Nous franchissons le seuil de la porte avec les paquets de vêtements et autre, Lou se fige et se tourne vers moi.

-Avant qu’il ne se passe quoi que ce soit, je voulais te dire que j’ai passé une superbe journée et que je suis vraiment heureuse avec toi mais, elle déglutit et là mon sang se glace, je voulais te présenter mes excuses pour la phrase d’hier soir, je sais qu’elle t’a blessée et que je suis vraiment allée trop loin en te disant ça.

Je pose un doigt sur sa bouche et l’embrasse fougueusement. Je n’ai pas besoin de lui dire que j’accepte ses excuses mais je lui avoue.

-Ecoute, moi aussi j’ai passé une excellente journée maintenant tu connais la sanction et je sais que tu  vas m’obéir malgré tout j’accepte tes excuses. Mais tu sais que je ne reviens jamais sur une décision en ce qui concerne ton éducation jeune fille.
-Oui je le sais et je ne te demande en aucun cas de revenir dessus, je suis déjà bien mal à l’aise et très honteuse. Me dit-elle à mi-voix.
- Très bien, alors maintenant on peut rentrer ? lui demandais-je en riant.

Lou entre dans la maison, me lance un regard interrogateur. Je lui fais signe d’aller dans la salle de bain, je pose nos paquets dans le bureau et je file la rejoindre.

-Vu l’heure je pense que nous allons aller au lit, change-toi. Lui ordonnais-je un peu sèchement.

Elle ne pipe pas un mot, s’exécute et nous sortons de la salle de bain. Arrivés dans la chambre, je sens les yeux de Lou rivés sur moi, elle est toute tendue et son corps parle pour elle. Elle  a une façon bien à elle de me remercier et je vois que c’est ce qu’elle veut faire. J’ai à peine le temps de la regarder de haut en bas que je suis déjà allongé sur le lit et que Mademoiselle est à califourchon sur moi. Elle bascule ses longs cheveux sur le côté, oh punaise j’adore quand elle fait ça, et me fourre sa langue dans la bouche, ses mains parcourent mon corps. Elle s’attarde sur mon torse qu’elle maltraite, griffe, pince… puis le moment tant attendu arrive Lou pose ses mains sur mon sexe et commence des va-et-vient  qui me font perdre la tête. Ses lèvres descendent le long de mon cou et arrivent sur mon torse où elle joue avec mes tétons. Sa langue prend ensuite le relai et roule jusque son jouet préféré comme elle aime me le dire, Lou n’en fait qu’une bouchée. Après une longue et appréciable attention Lou remonte enfin à ma bouche, elle se soulève délicatement et vient me chevaucher, s’enchainent alors des séries d’accélérations et de ralentis. Dans un dernier effort et soupir Lou atteint l’orgasme et par la même occasion elle fait venir le mien. Tout en jouissant je vois des larmes couler le long de ses joues et elle murmure des « désolé », des « je t’aime » et des « je ne te mérite pas ». Elle finit par s’écrouler sur moi à moitié somnolente, je la bascule sur le côté et me blottis contre elle.

lundi 2 juillet 2018

Du virtuel au réel (2)



J'ai récemment publié un article sur un rêve que j'avais fait pour une seconde séance avec Jérôme. Et bien la réalité en a été toute autre (enfin presque) …

Il y a peut-être un mois nous avons plaisanté sur la fabrication d'un nouveau jouet et finalement je l'ai défié de le fabriquer. Ce jouet devait être une réplique d'un london tanner : le teacher's tawse. Ce qui est bien avec les fesseurs c'est qu'ils tiennent leurs promesses et surtout ils sont très joueurs (parfois gamins mais chuuuttt !)

Un lundi matin, je lui envoie un message sur Skype, lui demandant si allait bien... bref les questions habituelles et de courtoisie. Il me répond qu'il a bricolé ce week-end et m'envoie dans la foulée une photo du fameux jouet. J’explose littéralement de rire et montre aussitôt la photo à Monsieur. Celui-ci me répond « tu as encore perdu ton pari ! », je tente l'impensable « je peux aller le tester ? » « ok mais tu connais les conditions ! ». Là c'est Monsieur qui explose de rire en voyant ma tête incrédule. J'annonce la chose à Jérôme, sérieusement je ne sais pas qui est le plus surpris des deux.

Le moment tant attendu arrive, la nuit a été légèrement agitée mais rien de bien méchant. Je vois Jérôme dans son bureau, j'appréhende son jouet, il est en caoutchouc !!!!! Bref maso comme je suis, j'y vais de bon cœur et avec hâte quand même. Il a du retard mais bon… lui il a le droit.

La porte se ferme sur nous. Je m'adosse au mur et croise les bras. Il est là à attendre, j'ai le regard plein de défi. Je taquine encore en le fixant dans les yeux. Il tire une chaise, et me dit « tu sais quoi faire ? » « non quoi ? ». Il s'assoit, j'avance d'un pas, il me dit que je dois baisser mon pantalon… ah oui quand même déjà, pas de préambule sur le jean. Je déboutonne et le baisse, je me retiens de souffler. Je suis sur ses genoux et j'attends patiemment, qu'il daigne enfin commencer. Une première série de claques à même la culotte tombe, d'ailleurs la toute première claque me surprend. C'est un échauffement pour reprendre ses termes. Il baisse ma culotte et enchaîne plusieurs séries entrecoupées de petites pauses. Sa main est vraiment lourde et surtout elle fait vraiment mal, je lui dis même que je regrette d'avoir dit qu'elle était fragile. Je croise les pieds, lâche même un "putain" au quel il me répond de surveiller mon langage et repart pour une nouvelle série. Il me demande si je vais continuer de le traiter de crocodile, je lui réponds que non, il ne me croit pas et continue la fessée… il a raison je vais continuer hihihi. Les claques sont de plus en plus appuyées, je veux réellement me protéger mais je ne connais pas sa réaction… tant pis je lui donne ma main, j'ai besoin qu'il la tienne.

Il s'arrête enfin et m'envoie au coin. Je mets les mains sur la tête mais j'ai la terrible envie de me frotter les fesses, elles brûlent. Il fait de la place sur le bureau et m'invite à m'installer confortablement. Je me penche, là c'est lui qui me taquine, il a son jouet en main et le positionne sur mes fesses. Il ne s'est pas entraîné alors c'est la découverte totale aussi pour lui. Il est long et se fait attendre, sans mentir il met au moins 2 minutes avant d'enfin faire tomber ce caoutchouc sur mes fesses brûlantes. J'ai envie de lui dire « bon c'est pour aujourd'hui ou pour demain ! » mais il y a la petite voix de la sagesse qui me dit stop pas de bêtises ( oui oui j'ai une voix de la sagesse !). Ahhh enfin le 1er coup, bah j'ai stressé pour rien, c'est tout gentillet son truc. Il pose une main sur mon dos et donne 4 coups supplémentaires, toujours pas de douleur à me faire relever. Je pense qu'il s'en rend compte puisqu'il augmente franchement la force et là ça pique un peu plus. En tant que musicienne, je peux vous dire qu'il a fait un crescendo digne de ce nom. Mes ouch, aie et gémissements ne l'ont pas arrêté, moi qui pensait juste avoir au grand maximum 10 coups, je suis servie. Je me redresse, il me faut une micro pause, j'ai de l'endurance mais là j’atteins une petite limite. Il me laisse faire et ne dit rien, je me repositionne et sa phrase « allez encore 10 et c'est fini ! » a raisonné comme une épreuve.

Bon ok je me replace, coudes sur le bureau et la tête dans les mains. Il a pris de l'assurance avec ce truc, et ce n'est plus du tout gentil, ça mord bien même. Ah oui, j'ai oublié je dois compter… grrr… je déteste. Alors je lui réponds franchement non et devinez quoi ? Sa main est très dissuasive. Donc nous partons pour un décompte mais je mets quelques secondes pour dire le nombre après tout c'est moi qui gère… je sens les zébrures se former sur ma peau qui chauffe beaucoup. Les cinglées de ce bidule piquent atrocement, et c'est horrible, la dernière est hyper douloureuse. Je me promets de ne plus le défier et de ne plus le taquiner pour ne pas rencontrer de nouveau « le jouet ».

Il me laisse récupérer un peu et fait le tour du bureau pour prendre la règle. Ah oui c'est vrai, j'ai encore une dette. Il me regarde avec un sourire d'ange en fait non diabolique. Je comprends vite ce que je dois faire. Il me demande combien il reste de coups de règle je mens un peu mais je ne peux pas le gruger longtemps. Je lui dis le nombre exact ; 45 ! Piouf, vais plus pouvoir m'asseoir. Je ne compterai pas, j'en ai pas envie et il m'écoute mais lui non plus ne comptera pas alors il y aura probablement plus et il y a eu plus. La règle c'est pas trop douloureux mais là si, il s'en donne à cœur joie, mes pieds commencent à quitter le sol, ma main passe du sol à son genou et mes fesses brûlent, je ne tiendrai pas plus longtemps. Je pense qu'il a du le sentir, il s'est arrêté. Je reste un peu sur ses genoux pour souffler.

Je me relève, remets ma culotte et mon pantalon. Nous quittons le bureau, dans l'ascenseur pas un mot juste des regards. Je suis sur mon petit nuage. Il a été à la hauteur et il est toujours aussi prévenant. Juste avant de partir, je lui lâche un merci du bout des lèvres et lui donne son paquet de crocodile 🐊