mercredi 26 septembre 2018

Tout se paye...



Tout se paye un jour…

Depuis 15 jours je travaille d'arrache pied, je suis passée par toutes les émotions mais surtout par le stress. Et moi quand je suis stressée, je ronge mes doigts et pas qu'un peu. Samedi 12h00 enfin fini, je rentre tranquillement à la maison. Le repas se passe bien, jusqu'au moment où T me dit « montre moi tes doigts ? ». Je suis rouge de honte, je lui tends malgré tout mes mains. Son visage passe du blanc au rouge. Il m’ordonne d'aller dans le bureau pour régler nos comptes.

Je suis envoyée au coin directement. Il avait déjà anticipé la chose. Tout était prêt, la cravache, la ceinture et le paddle. Il me fait venir à lui pour que je lui montre de nouveau mes doigts. Il me pointe ses genoux pour que je vienne m'y installer. Pas de préambule sur le pantalon, il est directement à mi-cuisses. Il pose sa main sur mes fesses et me dit que cette fois-ci, je vais être punie comme il se doit et qu’il va me faire passer l'envie de me ronger les doigts. Je baisse la tête, attrape les barreaux de la chaise. Les premières claques tombent, T est méthodique, il n'épargne pas le moindre centimètre de mes fesses. Les claques sont sèches, elles piquent à chaque fois. T me fait lever et telle une petite fille, je me fais déshabiller et me retrouve ainsi nue. La honte m'envahit, le rouge me monte aux joues et j'ai tendance à mettre les mains devant mon intimité, elles finiront sur ma tête.

Debout, nue, les mains sur la tête, je me prends un sermon mémorable, promis je ne toucherai plus à mes doigts. Les mots font aussi mal que les claques, même pire.

Je retourne sur ses genoux pour une longue série au paddle. Je gémis, lâche des noms d'oiseaux, croise les jambes, tente de me protéger. Rien n’y fait il ne lâche rien et le paddle s'abat sur mes fesses, mes cuisses et cette zone hyper sensible entre les cuisses et les fesses. Ça pique, ça chauffe, ça brûle et ça fait mal. Il s'arrête enfin, il me fait mettre à genoux devant lui et me demande la suite du programme. Je la connais mais les mots sont durs à sortir alors pour m'aider il pose la cravache sur ses genoux. Je le fixe dans les yeux, les miens commencent déjà à se remplir de larmes. Je sais que supplier n’arrangerait rien. Alors je me place dans la position voulue.

À genoux, les fesses brûlantes sur mes pieds, bras tendus et paumes de main vers le sol. J'ai obligation de le fixer et de compter le nombre de coups qu'il vient de décider… 20… les larmes coulent par avance.

La douleur est vive, brûlante. Les coups sont crescendo, je me mords les lèvres pour ne pas crier. Mais à 15 je ne peux plus… les coups sont forts, T veut marquer la punition. Je ne veux plus tendre les bras, je ne peux plus encaisser. Je lui demande pardon mais rien y fait. La cravache cesse enfin de tomber.

Je suis envoyée au coin 15 minutes. Pour une fois je ne trouve pas le temps long et j'apprécie ce moment de calme.

La dernière partie de la punition arrive. Toujours en tenue d'Eve, T me fait pencher sur le bureau, les jambes légèrement écartées donnant vue sur mon intimité, humide malgré moi. La poitrine posée sur ce bureau de verre froid. La ceinture tombe sur le milieu de mes fesses pendant 3 ou 4 coups. Elle continue mais descend sur le bas de mes fesses puis sur mes cuisses. Elle laisse des traces, et une chaleur sur ma peau. Je ne compte pas le nombre de coups mais j'encaisse. Les larmes coulent, mes jambes tremblent et mon intimité coule. Cette ceinture me fait un effet qui est indescriptible.

Je finis dans les bras de T lui promettant de faire des efforts. Il me dit qu'il est fier de moi.

mercredi 19 septembre 2018

Marc & Lou (20)



Parfois je me remémore, notre première rencontre avec Lou. Je me souviens encore comment cette petite chipie m’a troublé.

Alors que je sors d’un rendez-vous client qui m’a quelque peu excédé, je m’arrête dans ce petit café à l’apparence fort sympathique. Une jeune femme, la vingtaine, cheveux roux ondulés lui arrivant au-dessous des épaules, les yeux bleus tirant sur le vert, sert des clients attablés. Elle est d’une beauté, je lève le bras pour qu’elle vienne prendre ma commande.

- Bonjour jeune demoiselle, est-ce que je pourrais avoir une pression s’il vous plaît ?
- Bonjour Monsieur, mais bien-sûr.

Elle m’a dit ça sur un ton qui ne me plait guère, je me fais peut-être un film, la réunion avec ce client m’a mis les nerfs en pelote. Elle revient quelques minutes plus tard, j’ai eu le temps de la détailler un peu plus. Elle porte une jupe noire qui lui arrive juste au-dessus des genoux, un petit chemisier rose pâle laissant deviner une poitrine opulente, elle a quelques formes mais rien de disgracieux, elle est chaussée de petits talons. Elle pose ma bière sur la table bruyamment et de façon énergique. Elle me semble contrariée.

- C’est ce qu’on appelle prendre soin de ses clients, jeune fille !
- Oh ça va, si vous n’êtes pas content allez-vous plaindre !
- Je ne tolère pas ce langage, jeune fille. Il y a des claques de perdues avec vous !

Ça a été plus fort que moi, il a fallu que mon côté dominant parle. Je la vois rougir et baisser la tête. Elle reprend le verre, le pose délicatement devant moi, le tout avec un « s’il vous plait Monsieur ». Elle s’éclipse. Elle me plait de plus en plus, je l’interpelle de nouveau pour une seconde bière et profite de cette occasion

- A quelle heure finissez-vous ?
- Dans 20 minutes

Je l’attends près de la voiture, je suis adossé au capot, les bras croisés. Elle se dirige vers moi, et fond en excuses pour son attitude. Elle m’explique qu’elle a loupé sa dernière année de fac, qu’elle vient d’avoir les résultats. Elle me confie même qu’elle n’a pas été très sérieuse d’ailleurs. J’ai l’impression que cette jeune fille cherche bien plus qu’une oreille. Je lui propose d’aller manger un bout en ville. Nous prenons nos voitures respectives et nous nous rejoignons devant une pizzeria.

C’est une vraie pipelette, j’en apprends plus sur elle en une heure que sur ma propre mère. Je lui signale même qu’elle se confie à un inconnu et qu’elle devrait se méfier tout de même. Nous finissons notre repas, le courant passe bien. Je n’ai, certes, pas dit grand-chose sur moi mais cette petite ingénue a quelque chose d’attachant. Nous échangeons nos numéros de téléphone, tout va très vite mais c’est elle qui tient les rênes. La bonne humeur l’a gagnée au long de ce repas. Elle finit par me lâcher spontanément que si elle avait été recadrée de temps en temps, elle ne serait pas obligée de refaire une seconde fois son master 2. Là ce n’est plus une perche qui m’est tendue mais carrément un arbre. Je n’en crois absolument pas mes oreilles et ai même du mal à y croire.

- Et bien Jeune fille c’est ce qui s’appelle une demande ça !
- Oui Monsieur, je le sais, et pour être franche je sais qui Vous êtes.
- Pardon ?
- Oui je Vous ai reconnu, je navigue sur un site sur lequel Vous êtes un peu actif !

Oh mon Dieu, là c’est sûr je rêve. Interloqué par ses derniers mots, je lui balance que nous devrions aller chez elle, pour régler ce problème d’assiduité.

- Avant toute chose Jeune fille, comment m’avez-vous reconnu ?
- Alors mon pseudo est Littleclown …

Pas besoin qu’elle m’en dise plus, je me souviens de nos conversations et surtout lui avoir envoyé une photo de moi qui était restée sans réponse. Me voilà face à cette petite chipie qui ne faisait que tirer la langue. Elle ne perd rien pour attendre.

Elle loue un studio dans un endroit très calme avec une jolie vue sur un parc verdoyant. Lou n’est pas organisée, une pile de linge par-là, un mont de papier enfin de cours par ici, quelques bouteilles et autres dans ce coin.

- On ne peut pas dire que vous soyez une pro du ménage Jeune fille !

Pas de réponse, elle devient rouge et se met à ranger la pièce en moins de dix minutes. Voilà qui est mieux, j’en profite pour lui demander son relevé de note. Après tout si je suis ici, c’est qu’elle cherche à l’avoir cette fessée.

- D’après ce que je constate, vous vous êtes reposée sur vos lauriers Mademoiselle !
- Oui Monsieur, j’ai cru que cette année serait plus facile…
- Je ne veux rien savoir, vos notes sont pitoyables, il vous faut un suivi rigoureux et surtout une bonne mise au point !
- Oui Monsieur

Dans mon souvenir, Lou avait déjà fait appel à un coach mais apparemment rien de satisfaisant. Je prends donc sa main et l’amène vers son lit où je m’installe, remonte ma manche de chemise et tire cette gamine sur mes genoux. Sa jupe remonte automatiquement sur le haut de ses fesses faisant apparaitre sa petite culotte blanche. Je ne prends pas de pincettes et claque sèchement ses deux globes. Elle gémit d’emblée, elle n’a pas encore l’endurance que je lui connais aujourd’hui. Je lui assène une vingtaine de claques et passe ma main sous l’élastique de sa culotte. Elle se cramponne désespérément à celle-ci, une claque sur la main et elle la lâche aussitôt. Je fais glisser ce tissu sur ses fesses rouges et l’arrête à mi cuisses. Elle a des fesses magnifiques, le contraste entre ces dernières et sa culotte les sublime. Je reprends une fessée appuyée, entrecoupée de pauses « massages ». La dernière série est forte, claquante et sèche, elle lui arrache les larmes et les cris. Je stoppe progressivement et masse gentiment. Je l’envoie cinq minutes au coin pour se calmer et la rappelle à moi pour la consoler. Elle se love immédiatement dans mes bras et mon cou… pour ne plus les quitter depuis quelque temps maintenant.

lundi 17 septembre 2018

La douceur de l'après



Après avoir pris la main que tu me tendais pour me retrouver sur tes genoux.
Après avoir entendu pourquoi j'allais être punie sévèrement.
Après que tu aies descendu ma culotte jusqu'aux genoux, caressé mes fesses.
Après une très longue fessée à la main où celle-ci ne faiblit pas mais moi oui.
Après avoir croisé les chevilles, serré les poings et demandé pardon à maintes reprises.
Après avoir senti mes fesses rougir, chauffer, piquer.
Après être passée de la douleur au plaisir et être restée sur le plaisir. Ce plaisir qui me laisse dans un état second.
Après avoir versé les premières larmes et avoir lâché enfin prise.
Me voilà dans tes bras protecteurs, ils m’enveloppent et me réconfortent.
Me voilà pardonnée, tu me dis que tout va bien et que tu es fier de moi.
Me voilà la tête sur ton torse, tes bras toujours autour de moi. Les larmes qui coulent le long de mes joues.
Me voilà prise par le menton pour te regarder. Tu essuies les larmes et tu déposes un bisou sur mon front
Je pars de nouveau dans tes bras. J'ai besoin de cet ultime contact. 
Je pars dans mes pensées et je m'y sens bien.
Tes mains viennent frotter mes fesses rougies.
Tes mains viennent me consoler. 
Dans tes bras, je me sens bien.
Dans tes bras, je veux rester.
Je finis par déposer un bisou sur ta joue.
Je finis par te dire Merci.

samedi 15 septembre 2018

Dualité





Un regard, une main tendue. Ce contact, cette expression sévère que tu as sur le visage, cette voix qui sonne comme le coup de grâce. Tout cela est rassurant.

Je prends ta main et tu m'accompagnes sur tes genoux. Tu veux que j’abandonne toute fierté.


Cet abandon, ce moment où j'oublie tout, où je suis à ta merci. Je sais que je peux te faire confiance et que tu me mèneras dans cet état second. J'ai du mal à me laisser aller. Tes mains viennent à peine de commencer leur chorégraphie. Je suis tendue.


Alors tu trouves cette solution qui va me faire perdre pieds. Un bandeau sur les yeux, je suis dans le noir, l'obscurité la plus totale. Mes sens sont en alerte, ma peau est frémissante, mon corps est tendu, je ne sais où donner de la tête. Je suis sur tes genoux, tu joues avec moi. Ta main caresse, pétrit et tapote mes fesses. Tes doigts s'égarent sur mon sexe humide, ils jouent avec mon clitoris. Je ressers les jambes pour cacher le liquide qui s'en dégage. Il n'en est pas question pour toi et tu écartes mes jambes dans un geste sec. Tu veux me voir.

Plus rien, pas de gestes, pas de paroles. Je suis tentée d'ouvrir la bouche mais c'est ce moment que tu choisis pour reprendre cette danse. Ta main vient faire rougir mes fesses. La chaleur augmente progressivement. Tes claques sont justes, elles commencent à piquer mais je me sens bien. J'aime cette danse que nous entamons. Mon esprit divague un peu et je prends plaisir à me faire fesser. La cadence augmente mais j'aime ça. Je me sens toute chose. Je me détends enfin, mes épaules tombent. Je vais enfin apprécier ce moment que j'attends. Je gémis non plus de douleur mais de plaisir. Ta main gauche se pose sur ma nuque et ta main droite continue de frapper. Cette emprise que tu as sur moi, je ne la connaissais pas, elle me surprend mais je me laisse guider. Elle me mène vers l'état que je recherche et que tu affectionnes. Mes jambes se resserrent de nouveau et tu insistes encore une fois pour les garder écartées. Maintenant tu ne claques plus mes fesses, ta main vient s'abattre doucement, sensuellement sur mon sexe. J’atteins le nirvana, mon esprit est totalement déconnecté. Tu me laisse monter à mon apogée avant de t'arrêter.

Je recouvre la vue et tu me prends immédiatement dans les bras. Je m'y blottis, colle la tête sur ton torse. Je reprends connaissance doucement mais je reste sur mon petit nuage. Tes bras sont si réconfortant, je me sens si bien.


Merci pour ce moment de sévérité et de douceur.

mercredi 12 septembre 2018

Marc & Lou (19)



Sans prévenir Marc se lève et se dirige vers notre nouvel ami. Ils échangent quelques mots, et chose étrange ils échangent une poignée de main! J'interroge Marc lorsqu'il me rejoint mais pour toute réponse il m'ordonne de me lever et de prendre mes affaires.

Je le suis à l'extérieur à la fois déçue que la soirée s'achève déjà mais aussi intriguée par la conversation qu'il a eu avec Thomas. Je me dis que peut-être Marc envisage de revenir régulièrement et savoure cette idée quand je réalise que nous ne nous dirigeons pas vers le parking souterrain. J'allais ouvrir la bouche lorsqu'une grosse berline noire s'arrête à notre hauteur. Marc m'ouvre la portière arrière et me fait signe de monter.

Interloquée je m'exécute pendant que Marc prend place à l'avant. Le chauffeur redémarre aussitôt sans même un regard vers moi, et soudain je réalise que je ne suis pas seule à l'arrière. Thomas est là, son regard glacé me parcourt de la tête aux pieds sans aucune expression sur le visage. Je suis profondément troublée et détourne la tête.

Nous arrivons alors devant un grand immeuble très imposant. Marc et Thomas sortent aussitôt de la voiture, je ne sais pas trop quoi faire lorsque la portière s'ouvre grand, et que le chauffeur de Thomas me prie de bien vouloir suivre les deux hommes.

Je rejoins Marc rapidement, attrape sa main et m'accroche à lui, il tourne la tête vers moi et me fait signe que tout va bien. Nous entrons dans un riche appartement, un peu sombre mais je devine une décoration soignée.

Thomas nous invite à nous installer dans un grand fauteuil en cuir, extrêmement confortable. Un verre de champagne à la main lui et Marc poursuivent leur conversation commencée plus tôt dans la soirée.

Tout à coup Thomas se lève, se dirige vers moi, me tend la main et me fait lever. Debout face à lui, il me paraît encore plus impressionnant, je m'apprête à tourner la tête vers Marc mais l'homme me saisit par le menton et me force à soutenir son regard.

- Mademoiselle, vous vous êtes montrée insolente et capricieuse tout à l'heure, en présence de nombreux amis de Monsieur, et en présence de mes amis. Ce comportement est inacceptable d'autant plus que Monsieur a soigneusement préparé cette soirée pour vous. Il a jugé bon de vous corriger sur le champ, mais il ne fait de mystère pour personne que cette correction était plus que légère et que vous y avez pris plaisir.

Je suis bouche bée face à cet homme dont la voix et les mots m'ensorcèlent. Et ses dernières paroles me firent rougir de honte tant il avait raison.

- J'ai obtenu de Monsieur de vous punir pour vos dérapages dans MON bar. Vous apprendrez mademoiselle que seules des personnes convenables sont admises dans notre cercle. Vous pouvez donc choisir d'assumer vos fautes et subir la punition qu'il me plaira de vous imposer, ou quitter cet appartement, mon chauffeur vous ramènera à votre voiture.

L'homme relâche son emprise sur mon menton, mais je ne peux pas détourner les yeux de lui. Je commence à sentir des papillons dans le bas ventre, et reste silencieuse, comme hypnotisée.

- Je vois que vous avez perdu votre belle éloquence mademoiselle. Vous n'aurez pas à parler dans ce cas. Si vous acceptez votre punition vous retirerez tous vos vêtements et viendrez vous allonger sur mes genoux. Sinon je vous souhaite une bonne soirée.

A ces mots il se détourne et se dirige vers une sorte de fauteuil sans dossier richement décoré.

J'hésite un long moment, regardant alternativement cet homme assis sur son trône et Marc confortablement installé dans le canapé, son verre à la main. L'un et l'autre me regardent, le premier d'un regard me disant « voyons si tu es à la hauteur de ce que prétend ton propriétaire », le second d'un regard bienveillant me disant « vas-y ».

Lentement je fais glisser ma robe au sol, mes yeux rivés sur ceux de l'homme, répondant à son défi. Aussi lentement je dégrafe mon soutien-gorge, le laissant tomber aux cotés de ma robe. Je fais de même avec ma culotte, la faisant glisser sur mes cuisses en ondulant du bassin. Je m'apprête à retirer mes bas quand l'homme lève la main brusquement pour me faire stopper, cette même main me faisant ensuite signe d'approcher.

J'avance d'un pas un peu tremblant mais terriblement excitée par la situation. Je m'allonge sur ses genoux, et ma première pensée fut « oh mon Dieu qu'il est grand mes pieds ne touchent plus le sol! »

Je me retrouve donc couchée sur les genoux d'un inconnu, nue, la tête en bas et les fesses effrontément rehaussées, et mon intimité indécemment exposée.

Cette pensée ne dura pas longtemps, la première claque me sort de ma rêverie. Quelle force ! Immédiatement je sens de forts picotements sur mes fesses à peine échauffées il y a moins d'une heure. Il me semble que jamais je n'avais reçu fessée si forte, à moins que ce soit le bruit des claques dans cet appartement si particulier qui l'ait rendu plus impressionnante.

Thomas continue d'appliquer sa main avec force sur l'ensemble de mon postérieur, je sens qu'aucune zone n'est épargnée, pas même le haut des cuisses. Mes jambes remuent en tous sens, la fessée devient de plus en plus cuisante, ça chauffe vraiment beaucoup. Je tente de me protéger mais l'homme me saisit la main et la bloque fermement, en prenant soin au passage de me gratifier de 3 claques plus appuyées dont une sur la cuisse.

Je serre les dents mais ne pus empêcher mes larmes de couler. Mes jambes cessent de battre l'air, mon corps commence à abdiquer et à accepter son sort. Cela n'atténue en rien la sévérité avec laquelle Thomas s'applique à me rougir les fesses, il continue et continue sans faiblir, une tempête sauvage et interminable.

Je finis par me mettre à pleurer à chaudes larmes, là encore aucune pitié de la part de mon bourreau, il poursuit son office jusqu'à ce qu'il juge que ma sanction soit complète. Il s'arrête brusquement, relâche ma main, et pose la sienne sur mes fesses brûlantes. Je pleure toujours, je ne veux plus rien retenir et choisis de me laisser aller.

Après quelques minutes l'homme me fait basculer de ses genoux, me fait poser la tête sur sa cuisse et attend que je cesse de pleurer en caressant mes cheveux. Une fois calmée il me fait lever, et avant de sortir de la pièce, nous laissant seuls nous remettre de cette expérience, il me dit :

- Rhabillez-vous mademoiselle… Ou non…

En une seule soirée Marc a réalisé deux de mes fantasmes les plus fous. Je l’aime et sais que c’est réciproque. C’est la plus belle preuve d’amour qu’il m’est fait.

samedi 8 septembre 2018

Le 8éme Art


Vous connaissez tous la belle liste des Arts? Non ... Bon allez je vais Vous donner un coup de main !!
ART N°1 : L'Architecture




ART N°2 : La Sculpture


ART N°3 : L'art Visuel : dessins, peinture...


ART N°4 : La Musique 


ART N°5 : La Littérature


ART N°6 : L'art de la scène
Image tirée de la pièce de théâtre, Permission (USA)


ART N°7 : Le cinéma


ART N°8 (mon art préféré) : La Bêtise
Oui c'est tout un art de savoir faire des bêtises pour que ces gentils Messieurs puissent Nous corriger...





mercredi 5 septembre 2018

Marc & Lou (18)



Marc me prend par la main et nous nous marchons vers un bar. L'endroit est sobre mais très bien décoré. On nous fait signe de nous diriger vers le fond de la salle où se trouve une autre porte. Je fronce les sourcils ce qui n'échappe pas à Marc.

- Fais-moi confiance Lou !

Il pousse la porte et là une autre salle où se trouve quelques fauteuils et mange-debout. C'est une ambiance beaucoup plus cosy et surtout plus intime. Les regards se tournent vers nous, un homme assez grand et un peu plus âgé que Marc vient à notre rencontre. Une conversation s'engage entre eux, j'apprends que cet homme se nomme Thomas et qu'il est à la recherche d'une soumise. Ils se connaissent tous les deux. Je suis invitée à partager leur conversation, enfin il est temps. Cette remarque me vaut un regard noir des deux hommes qui me font face.

La conversation tourne autour de mon éducation, ça ne m'enchante pas du tout. Je le signale à Marc qui me répond que nous sommes là pour échanger nos expériences sur notre monde.

Finalement nous laissons Thomas et nous allons nous asseoir dans des fauteuils en cuir noir. Une fois installés, je regarde plus précisément autour de moi. Je prends réellement conscience de l'endroit où nous sommes.

La décoration de cette pièce est sans appel, des martinets sont suspendus au porte manteau, un échantillon d’instruments divers est installé sur un guéridon. Il y a, un peu en retrait, une croix de Saint André occupée par un couple, il est observé par 3 personnes. Autour de nous les gens discutent sans pour autant nous prêter attention. Marc en a profité pour commander des boissons. Quand le serveur revient il pose la bière de Marc et un diabolo fraise.

- Mais non moi je voulais un mojito !

Le serveur un peu interloqué regarde Marc, celui-ci lui fait signe que c’est bon. Je sens son regard vert me foudroyer, je réagis, à ce moment-là, comme une gamine et je me mets à bouder refusant de boire le diabolo.

- Debout, Jeune fille !

Le ton est sec et froid, tout comme son regard qui ne cesse de durcir. Je ne me lève pas de suite, j’ai peur de la suite, peur de ce qu’il pourrait me faire. En fait non ce n’est pas de la peur mais de l’excitation… nous avons tellement parlé du jour où je me ferais fesser devant quelqu’un que là, mon cerveau cogite à toute vitesse. Marc répète son ordre, cette fois-ci plus fort ce qui attire quelques regards mais sans plus. J’obéis et replace ma robe. Il me tend la main, je pose délicatement la mienne au creux de celle-ci. Une pression, un regard … « oui tout va bien, je te fais confiance ». Je suis rapidement sur ses genoux, une main sur mes reins et l’autre sur mes fesses encore couvertes par ma robe. Marc se penche sur moi et me chuchote :

- On y est Jeune fille, savoure cet instant !

Je lui réponds en baissant la tête, je sens sa main se lever, je mets instinctivement mes mains sur ses chevilles. La première claque tombe, sa main est douce, une série de claques s’enchaine. Je ne sens pas grand-chose avec la robe mais mon intimité elle est plus que sollicitée. Marc relève le tissu qui me protège encore et continue la fessée, les claques sont un peu plus sèches mais ne font pas mal. Je lève légèrement la tête pour voir les gens autour de nous. Ils se sont tous retournés et observent la scène avec attention. Je ferme les yeux et savoure, je suis maintenant les fesses nues devant des inconnus et ça m’excite terriblement. La main de Marc tombe en cadence régulière et devient un peu plus lourde, histoire de faire rougir mes fesses comme il faut. J’entends des chuchotements, juste derrière moi, je jette un œil et vois qu’un couple s’est approché. Marc en profite pour me faire écarter un peu les cuisses, il passe furtivement un doigt sur mon sexe humide de plaisir. Il continue sans dire un mot, alternant méthodiquement fesse droite et gauche, il donne même quelques tapes sur les cuisses.

Il finit par remonter ma culotte et redescendre ma robe pour recouvrir mes fesses. Il m’aide à me redresser et m’autorise à reprendre ma place sur le fauteuil. Tout le monde reprend le fil de sa conversation ou son occupation. Quant à moi, je sirote mon diabolo fraise sous le regard amusé de Marc.

samedi 1 septembre 2018

Doux parfum !



J'étais dans le salon et lui dans le bureau en train de faire des plans pour notre future pièce… je suis allée le rejoindre pour savoir si tout allait bien. Justement il allait m'appeler (quelle coïncidence). Un rapide coup d'œil sur le bureau et je vois la brosse, le paddle, des cordes et … vous ne saurez pas 😁.

Il me demande de lui tirer la langue. Oups ça ne sent pas bon… Je sors un petit bout, forcément la réponse est immédiate.

- Tu la sors mieux que ça d'habitude !

Du coup je tire la langue plus fort. Ce ne sont pas 2 pinces cette fois-ci mais 3. Une pour lui, une pour Jérôme et une pour un Ours. Je suis envoyée au coin mains sur la tête. Aucune idée du temps qui s'écoule (de toute façon je n’ai pas la notion du temps !). Je bave comme ce n’est pas permis et ça fait mal.

Il m'appelle, je dois me mettre à genoux entre ses jambes, mains sur les cuisses et langue bien tirée. Il joue avec en tapotant dessus et les retire une à une très doucement. Je ferme les yeux pour ne pas gémir, les retirer est aussi douloureux que de les poser.

Il me lève et me fait mettre sur ses genoux pour une fessée d’échauffement sur le pantalon. Je ne le garde pas longtemps, T le descend sous mes fesses qu'il caresse. Une seconde fessée un peu plus appuyée sur ma culotte, elle aussi descend sous mes fesses rapidement. La fessée manuelle continue, je sens mes fesses chauffer et rougir. Il s'arrête, masse et se penche. Un coup sec et un bruit sourd… la brosse. Il alterne méthodiquement et cible toutes les zones des mes fesses ainsi que le haut des cuisses. La brosse est douloureuse, mes chevilles se croisent, je mords mes lèvres, serre le barreau de chaise. Je souffle, il s'arrête mais se penche de nouveau pour cette fois prendre le paddle. Les premiers coups ne sont pas si douloureux sauf que T monte en puissance et là je sens et sais que mes fesses rougissent, marquent et chauffent. Ma réaction est identique à celle de la brosse.

Je suis envoyée au coin, T baisse mon pantalon aux chevilles, je baisse la tête instinctivement. La honte m'envahit.

J'entends le bruit significatif de la ceinture. Je ferme les yeux, respire profondément, des papillons parcourent mon ventre enfin mon bas ventre. Il s’amuse avec sa ceinture, il la fait glisser sur mon dos, mes fesses. Piouff, je frisonne, savoure et attends. Les coups pleuvent sur mes fesses, la cadence est régulière. Chaque coup me fait sursauter, la ceinture marque, strie et commence à faire mal. Les premières larmes coulent, ça pique, je me contracte et tente d’échapper aux coups. Erreur le coup suivant est beaucoup plus fort. Je reçois une vingtaine (ptet même plus). Je reprends mes esprits 2 minutes au coin.

Ses mains se posent sur les miennes, il m'amène devant la chaise où il me penche. Il reprend le paddle et me donne 20 coups forts, appuyés et cinglants. Je demande une pause… avant le denier coup.

Pour récupérer, un tour au coin de quelques minutes. Je finis dans ses bras, un bisou sur le front. Je me sais pardonnée.

- Tu as compris ?
- Oui Monsieur
- Tu ne recommenceras plus ?
- Je n’peux pas promettre…
- On y reviendra alors !
- Oui Monsieur

Une douce séance de cordes s'en est suivi… une nouvelle sensation que je découvre et dont je me délecte. Sentir les cordes passer sur mon corps, se serrer doucement puis un peu plus fort. Je ferme les yeux et me laisse faire…