dimanche 24 octobre 2021

Carnet rouge 3





 Après 1h30 de route, j’arrive enfin chez F. Nous avions convenu de nous voir chez lui pour une journée. Plus besoin d’hôtel.

Je le préviens de mon arrivée, je suis tendue et je me demande ce qui m’attends réellement. F est différent, il est vraiment plus sûr de lui et surtout il est à l’aise. Moi je suis timide et hésitante, je tremble un peu je dois l’avouer. 

Petit passage furtif aux toilettes et je me retrouve dans le salon. F m’informe du programme de la journée. Son attitude a complètement changé, il avance vers moi, pose ses mains sur mon jean. 

« Avant on a une chose à régler tous les deux » (j’ai un peu déconné la veille de notre rendez-vous)

Je m’agrippe, vainement, à ce jean par les poches arrière. Un seul message arrive à mon cerveau quand une bonne claque atterrit sur ma cuisse « lâche le jean ». C’est donc les mains sur la tête que je reçois une fessée debout, immédiatement les fesses nues et bien appuyée. Le ton est donné. Je gesticule, je déteste vraiment ce type de fessées. Une fois mes fesses bien chaudes, F me laisse me rhabiller puis comme si rien ne c’était passé il me propose une boisson chaude. Je bois tranquillement le côté chaud me réconforte. 

Je jette un coup d’œil à l’horloge de la cuisine et me rends compte que les explications sur mon carnet se rapprochent. F me laisse finir ma boisson puis me dit « on y va ? Tu me suis ? » J'hoche simplement la tête et le suit avec une boule au ventre. 

Une fois dans la pièce, les questions fussent, je suis incapable de répondre, enfin si je réponds ça ne sera pas bon pour moi, alors je me tais. Je suis envoyée 5min au coin puis F me rappelle à lui. Il me déculotte et je me retrouve sur ses genoux, il me claque les fesses méthodiquement, il couvre intégralement celles-ci. Mes cuisses prennent aussi une bonne série. La brosse entre dans la danse, je ne fais vraiment pas la fière. Je me mords les lèvres pour ne pas gémir, pleurer. Je me concentre aussi pour ne pas croiser mes chevilles, F déteste ça. La fessée est appuyée et me chauffe très bien les fesses et les cuisses. J’ai mal et je me sens comme une gamine. Après un long moment, F me dit que je peux me relever et me rhabiller.

Nous passons un agréable moment avant la pause repas. Je ne sais pas ce qu’il m’a pris mais j’ai eu la folle envie de taquiner F, qui est entrain de cuisiner. Il s’approche dangereusement de moi à plusieurs reprises et feint même d’ouvrir mon jean. Ce n’est pas ce qui m’arrête. C’est tout logiquement que je finis par être basculée sur ses genoux. Je ris car là c’est la petite maso qui est venue faire son tour. Je dis pardon rapidement mais en me relevant je continue de taquiner. F me rattrape par le bras et me claque plus sèchement les fesses sous son bras. Cela me calme vraiment. Même si en y réfléchissant, cela nous a fait rire tous les deux. 

Le repas se passe donc calmement, je suis devenue toute sage. La pression monte d’un cran. La plus grosse fessée ne va pas tarder à arriver. Celle pour ma santé et F ne va pas rigoler du tout. 

Nous regagnons la pièce où j’ai reçu la fessée le matin même. 

Je respire profondément avant de rejoindre F, j’ai la trouille je sais qu’il va me punir sévèrement. Je me tiens droite devant lui les mains sur la tête. Mon jean et ma culotte sont baissés, F me sermonne, me questionne mais n'hausse jamais la voix. C’est déstabilisant. Un petit tour au coin avant de me retrouver face à un miroir, je dois recevoir 20 coups de spatule en bois sur les fesses et cuisses. Enfin c’est ce que je croyais, j’ai reçu 30 coups de spatule. Cette partie de la punition est horrible, je vois le bras de F se lever, mes grimaces dans le miroir, et en plus je dois compter. Je retourne au coin, je reprends mes esprits. Je n’y resterais pas longtemps, F me rappelle à lui. Il me bascule sur ses genoux, lance sa main qui ne s’arrêtera pas, je gémis, je me plains. J’ai vraiment du mal avec cette fessée, les mots me piquent aussi fort que mes fesses. La main de F n’épargne aucun centimètre carré de mes fesses, mes cuisses et la jointure. Une micro pause, je comprends qu’il a pris la brosse. Je respire profondément et contracte les fesses. F est impitoyable avec moi, je commence à pleurer, à me débattre. Je ne tiendrais pas longtemps, je le signale. F joue avec ma limite. Il stoppe enfin ce balai infernal. Je me relève, mets les mains sur la tête et laisse les larmes couler (tampis pour la fierté). 

La ceinture de F sort de ses passants, je lève les yeux. « il est pas sérieux ». J’ai ordre de m’allonger sur le lit. J enfouie la tête dans mes bras. La ceinture s’abat en plein milieu de mon fessier déjà très chaud et meurtri. Une vingtaine de coup balaie du haut de mes cuisses et mes fesses. Tout s’arrête. Je peux me relever et F me prend dans ses bras pour me signifier la fin de cette grosse punition, je me laisse aller. 

Avant de repartir, F m’offre un dernier verre que je prends avec plaisir. Nous discutons calmement. La journée fut haute en couleur surtout avec le rouge mais je repars repentie et pleine de bonne résolution. 


mercredi 20 octobre 2021

Leur premier week-end ...

Ce récit n'est pas de moi, je prête mon blog à une autre plume ;)

Voilà des mois que Thomas et Noémie  partageaient une relation, et pour une fois, ils allaient pouvoir être 3 jours ensemble.

Le vendredi tant attendu arriva, Thomas était content de recevoir Noémie pour le weekend. Il avait prévu une journée et une soirée calme. Il la vit, enfin, arriver devant chez lui.

Il l’accueillit parfaitement calme, Thomas lui annonça qu’ils s’intéresseraient de plus près à son carnet de punition le lendemain. Noémie sourit, elle connaissait très bien le contenu de son carnet et cela l’arrangeait de ne pas avoir à en parler de suite.

La journée fût calme, sympa, avec de nombreuses blagues et fous rires, mais Noémie commençait à être taquine et un peu rebelle.

L’heure de partir au restaurant sonna, un restaurant sympa que Thomas avait spécialement choisi pour elle.

Une fois installés à leur table, Noémie se transforma en un véritable petit monstre. Thomas la regardait, sans comprendre son comportement. Après un moment d’hésitation, il se décida à redevenir le dominant qu’elle connaissait. Il la gronda un peu pour la faire réagir, mais rien ne changea. Il sut que seule une bonne fessée calmerait Noémie.

A contre-cœur, il décida d’écourter la soirée et d'annuler le bar avec concert auquel il prévoyait de l’emmener pour lui faire une surprise. Dans son esprit, le plan était simple : rentrer et enflammer les fesses de Noémie.

Ils reprirent la route pour rentrer chez Thomas mais Noémie continua de le chercher et de le taquiner toujours avec son sourire de peste et ses yeux pleins de malice. Il la regarda et décida de changer ses plans. Cette fois-ci, elle allait comprendre son erreur.

Il connaissait bien cette route et savait qu’avant le prochain virage se trouvait une aire de repos parfaite pour ce qu’il avait en tête. Il la regarda encore une fois, tandis qu’elle continuait de le chercher. Cette fois, sa décision était prise : il allait la calmer très vite.

Il ne lui dit rien de son intention. Noémie, elle, continuait de faire la maline, sûre d’elle, sans se douter de ce que Thomas s’apprêtait à faire.

Enfin ! Elle était là, cette aire de repos. Il la connaissait très bien et savait qu’il y avait une zone à l’abri des regards.

D’un coup, il tourna vers cette aire. Elle le regarda sans comprendre, son sourire s’effaça rapidement. Thomas se gara, puis la regarda droit dans les yeux, sans dire un mot. Noémie devint alors blanche, elle venait de comprendre…. Un seul mot sortit de ses lèvres : « Pardon » mais Thomas ne l’entendit pas, il était déjà sorti de la voiture. La porte côté passager s’ouvrit, il la prit par le bras fermement et la fit sortir de la voiture. Il était en colère contre elle. Elle avait gâché son plaisir, mais elle allait le payer. Noémie répéta le mot « pardon », sans comprendre ce qui lui arrivait, elle sentit jeans et culotte quitter ses fesses.

Thomas la pencha rapidement sous son bras et laissa sa main exprimer toute la déception, sur les fesses de Noémie. Les « pardon » et le bruit des claques étaient les seuls sons que l’on pouvait alors entendre sur l’aire de repos, heureusement déserte à ce moment-là. La main de Thomas était dure tandis qu’elle corrigeait les fesses de Noémie. Il continua à claquer ses fesses et ses cuisses, là, debout, sans dire un mot, exprimant sa désillusion quant à son attitude ce soir.

 Après dix bonnes minutes, il la redressa et lui remit sa culotte et son jean. Il dit seulement : « Montes dans la voiture. Nous rentrons pour une discussion avec le martinet ».

Les larmes coulèrent sur les joues de Noémie, qui avait fini par comprendre qu’elle avait tout gâché.



 

mercredi 6 octobre 2021

Carnet Rouge 2


 Nous voilà donc à l’hôtel, après avoir bu une eau gazeuse en se baladant dehors, covid oblige. Nous discutons ensemble tranquillement jusqu’à ce que ma vessie se rappelle à moi. Je savais très bien qu’une fois sortie de la salle de bain les choses sérieuses allaient commencer. J’ai donc pris un peu de temps. 

En sortant, je découvre en nouveau F, son regard a changé, ses yeux parlent beaucoup j’aime ça. Il me demande aussitôt mon carnet et entame sa longue lecture. J’ai les mains sur la tête et je ne fais pas la fière.  Je ne connais absolument pas la main de F et je me pose pleins de questions. Je n’aurais pas le temps d’y répondre. 

F pose mon carnet rouge et se dirige vers moi de façon assez déterminée.

- Tu m’expliques un peu là Cléa ?

- ...

- Tu vas me répondre où ça va mal se passer, Cléa !

Bon il a dit 2 fois mon prénom en 2 phrases ça sent pas bon mais je veux lui tenir tête et je sais que de cette façon je connaîtrais sa main plus vite.

En effet sa réponse ne se fait pas attendre, une belle claque sur la cuisse. Malgré le jean je la sens bien. Le ton est donné. 

Nous échangeons sur ce qui est noté sur mon carnet puis les choses sérieuses commencent. Entre temps, il était venu près de moi pour baisser mon jean. Je me retrouve rapidement sur ses genoux, à me faire gronder, les claques ont commencé leur valse, pour le moment ça va, je gère.

F est méthodique, il alterne chaque fesse et les cuisses (je déteste). Ma culotte finit par tomber, je suis debout devant F, j’aurais bien mis les mains pour l’aider à rester sur mes fesses mais ses yeux sont tellement parlant. La fessée reprend donc sur mes fesses nues. J’encaisse assez bien cette fessée. 

Je suis envoyée au coin. J’y reste un petit moment mais je ne suis pas très sage, donc comme une évidence les mains de F atterrissent sur mes fesses joliment colorées. Je découvre donc la fessée debout. Mes hanches sont bien enlacées et la main de mon bourreau s’abat rapidement et sans ménagement. Je ne peux bouger que les pieds et encore. Je n’aime pas du tout cette position, elle viendrait à bout de moi.

Je me retourne quand il me l’ordonne, nous entamons la première grosse discussion : le téléphone au volant. Inutile de dire que les mots de F sont forts et que j’ai du mal à ne pas pleurer, juste ça aurait suffit à me faire comprendre, seulement il ne veut pas se contenter de « si peu ». Il m’ordonne de venir m’installer sur ses genoux, sa jambe coince les miennes. Là, la fessée est bien plus appuyée et rythmée. Je peine un peu à ne pas gémir et pesté. La brosse ( son instrument préféré et que j’ai dû amener moi-même) fait son apparition, je la déteste, je n’arrive pas à me contenir, je supplie. Cette fessée a duré une bonne vingtaine de minutes. F a alterné sa main et MA brosse.

Je peux enfin me relever de ses genoux, je m’attends à aller au coin. Non, je dois copier des lignes bêtement et inutilement. Je rechigne un peu à les faire. Je prends mon temps. F regarde toujours par-dessus mon épaule, ça m'agace, j’ai l’impression qu’il me cherche. Je finis ces foutues lignes et là je me retrouve au coin. Je ne sais plus comment et pourquoi mais je lâche un « c’est bon là ! », évidement ce n’est pas au gout de F. Je suis amenée sur ses genoux en 2secondes et une fessée me tombe sur le coin des fesses. Celle-ci est très douloureuse et pourtant il n’utilise que sa main. 

La seconde grosse discussion a lieu : ma santé. De nouveau des mots qui me marquent et la fessée qui suit est tout aussi marquante. Je prends facilement 20 minutes de brosse sur les fesses, les cuisses et la jointure. Je n’en peux plus. 

- Non mais sérieux, vous pouvez la brûler cette brosse !

Il ne répondra pas à cette remarque. C’est sorti tout seul et à y réfléchir ça a dû le faire au moins sourire. La fessée se termine par des claques surprenantes, ses deux mains en même temps. Je suis en nage, les larmes sont aux bords des yeux. 

Je me relève et il me prend dans ses bras. Voilà la séance est finie. Je repars les fesses chaudes, nous allons nous revoir. 

Je me dis au final que sa main n’est pas si terrible mais ses mots le sont, le combiné des deux pourrait me faire marcher droit.