vendredi 30 mars 2018

Le pingouin


Monsieur et moi avions prévu de rencontrer quelqu'un du site. Le jour J est arrivé et nous nous dirigeons vers cette galerie marchande que nous connaissons bien.

Petit problème elle ne ressemble pas du tout à mes souvenirs. Bref, passons ce détail.

Nous sommes attablés et un homme nous aborde. La cinquantaine, légèrement dégarni, il porte des lunettes et marche avec une canne. Bon ok, jusque là rien de bien méchant.

Nous discutons un peu avec lui et nous le suivons, il a une démarche de pingouin et couine aussi fort qu'eux (mon dieu!), dans son bar à fessées!!!

Monsieur s'installe dans un coin et là soudain je me retrouve sur les genoux du pingouin à me faire fesser par un paddle avec des dents. Il me baisse mon pantalon et ma culotte à l'aide de ses nageoires et continue la fessée. J'ai les fesses en feu, je commence à me débattre. Nous sommes dans une vitrine et les passants s'arrêtent pour admirer la scène.

Je n'en peux plus et Monsieur rigole, je pleure.

Monsieur me secoue. Et je me réveille enfin...

Drôle de rêve mais il fallait que je le raconte. Promis j'arrête la fumette. Je serais sage (enfin presque)

mardi 27 mars 2018

Défi relevé



Tout est parti d'une simple phrase relevé d'un défi. Elle allait goûter aux délices de chair.

Il lui a simplement demandé ce qu'elle comptait faire demain entre le midi. Elle lui avait répondu, avec un peu de désinvolture, qu’elle allait certainement se toucher pour passer le temps. Un haussement de sourcil, un sourire en coin et il lui dit qu'il veut des photos.

Midi arrive, elle prend sa voiture, se dirige vers un parking, elle n'a qu'une idée en tête : relevé son défi. Elle jette un coup d'œil à droite et à gauche, elle défait sa boucle de ceinture, déboutonne son jean, et passe sa main sous sa culotte. Elle prend son téléphone et se photographie la main dans la culotte. Elle lui envoie et attend sa réponse. Rien ! Elle décide de mener son action jusqu'au bout. Elle se donne du plaisir ainsi pendant de longues minutes. Non loin de là une voiture, un homme la regarde mais ne se doute de rien. C’est tellement excitant, de l'imagination et le risque de se faire prendre l'ont menés à l'orgasme.

Il lui répond enfin, il s'est fait prendre à son propre jeu. Il lui demande des explications et apprend donc qu'elle a atteint l'orgasme. Non content de sa découverte, il lui promet une punition digne de sa bêtise.

Rentrés tous les deux, il l'emmène dans la chambre, la déshabille. Il lui passe un loup sur les yeux, lui pose les menottes aux poignets et aux chevilles. Il l'installe sur le lit . Elle est sur le ventre et attend patiemment et sagement la suite des événements. Elle est maintenant attachée de part et d'autre du lit. Lui, un martinet à la main. Les caresses délicates de cet instrument sont plaisir et jouissance. Elle anticipe les doux coups, les lanières fouettent amoureusement les formes de son corps. Il s'arrête pour vérifier son excitation. Un doigt posé à l'entrée de son vagin, ses lèvres langoureuses lui embrasse les fesses. Soudain, elle sent une résistance sur son œillet, il pousse le plug jusqu'à l'insertion complète. Un long soupir de plaisir sort de sa bouche. La voilà, nue, menottée, masquée et pluguée sur le lit.

Ses mains massent ses fesses et les premières claques tombent, elles sont dosées et justes. Le son résonne dans toute la pièce, la cadence est lente. Il alterne coups, caresses sensuelles, massages. Ses doigts s'attardent de longs moments sur son intimité. Rien n'arrêterai le jeu qui vient de commencer, le plaisir envahit la chambre. Ses baisers langoureux, lui donne la chair de poule, elle veut plus, elle se cambre pour lui en demander encore.

Il reprend le martinet et fouette de nouveau ses fesses. Cette fois, elle lâche de petits soupirs, elle en veut tellement plus mais lui non. Il continue le jeu. Ce jeu si érotique, enivrant. La couleur de ses fesses est passée du blanc au rouge uniforme. Il décide de s'arrêter enfin.

Son sexe à l'entrée de son abricot, elle se colle à lui comme elle peut. Il joue, encore, se languit de son corps. Il l'embrasse dans le cou et s'enfouit enfin en elle. L'accélération se fait progressivement et son côté bestial prend le dessus. Il ne la ménage plus et prend totalement le contrôle de son corps. Le moment est venu de mettre fin à cette punition qui n'en est pas une. Leur jouissance se produit en même temps.

Il la détache, la retourne et la câline comme elle le mérite.

vendredi 23 mars 2018

Rencontre

Il fait beau et le soleil commence à chauffer légèrement, T et moi décidons d'aller nous balader dans la fameuse ville aux bêtises. Après une ballade au parc et une bonne heure à flâner le long de vitrines, nous nous arrêtons au premier café que nous rencontrons. Nous nous y attablons en terrasse, je commande un diabolo fraise et T une Leffe Rubie. À côté de nous, un homme au regard très sérieux et penché sur ce qui semble être des plans de machines.

- C'est quand même dommage de devoir travailler par un si beau soleil ! Je lâche cette phrase discrètement.
- Oui c'est sûr mais tout le monde n'est pas en congés comme nous, bébé.

L'homme sourit et lève enfin les yeux de ses plans.

- Vous savez, c'est quand même agréable de travailler dehors, jeune fille.

Oh bin mince alors, cet homme se permet bien des choses. Je baisse les yeux et rougis comme une tomate. T me regarde amusé, je continue de siroter mon diabolo, nous reprenons notre conversation…

- Attention, Cléa, ne me prends pas pour un idiot et fais attention à tes fesses.

Il avait prononcé cette phrase sans retenue, et notre voisin de table avait haussé les sourcils et sourit. Je reste sans voix, il ne me menace que rarement devant d'autres personnes. Je regarde de nouveau cet inconnu qui sourit toujours .

- Quoi !?! Ça vous dérange ?
- Oh non, bien au contraire, jeune fille
- Alors, arrêtez de sourire bêtement
- Cléa !!! Ton vocabulaire ! Intervient T.

Je ne dis plus rien et les hommes engagent la conversation, mais il y a 2 ou 3 phrases qui me mettent la puce à l'oreille.

- Mince !!!! Jérôme !
- Il t'en aura fallu du temps !?

Je soupçonne fortement ces deux là de s'être mis en contact et d’avoir planifié ce petit échange. Je suis rouge de honte, non seulement T avait fait ça en douce mais Jérôme y prenait un malin plaisir. De fil en aiguille, les deux compères décident que notre conversation devrait continuer dans un endroit un peu plus isolé.

- Je connais un endroit où nous pourrons montrer à cette jeune fille ce qui se passe quand on parle mal aux adultes. Lance Jérôme tout fier de lui
- Très bien, on te suit.

T me tend la main et nous le suivons. Il nous emmène dans un quartier pavé à quelques rues de l'endroit où nous étions. Nous montons dans un appartement, le lieu est sommairement décoré : un bureau et une chaise à droite et au centre de la pièce un canapé, une petite table basse, sur la droite une porte donne sur une kitchenette et un couloir.

T s’installe sur le canapé, Jérôme s'assied derrière le bureau et moi je reste plantée là, terrifiée. J'ai tellement taquiné Jérôme sur le site que je suis sûre qu'il va me le faire payer.

- Alors, tu crois que ton comportement est digne d'une jeune femme de 28ans ? Brise, ce silence insoutenable, T
- ……
- Je veux que tu répondes Cléa quand je te parle !
- Non, ce n'est pas un comportement exemplaire.
- Notre hôte, en a été témoin et je ne saurai rester sans te punir
- Non, s'il te plait
- Alors petit crocodile, on se défile maintenant, plaisante Jérôme

J'aurais voulu répondre mais rien ne sort. T me tend les mains, j'inspire profondément et je les prends. Sans pouvoir dire ouf, je suis sur ses genoux, T me sermonne mais je ne comprends rien du tout, mon esprit est ailleurs. Les premières claques tombent, elles ne sont pas fortes mais me surprennent quand même. Après une vingtaine de claques, T relève ma jupe et laisse apparaitre ma culotte en satin bleue. Il reprend la fessée tout en augmentant l'intensité. Je commence à gesticuler et j'oublie totalement la présence de notre voisin de table, jusqu'au moment où T décide de passer sa main sur le haut de ma culotte.

- Non pas ça ! Laisse-moi ma culotte. Ai-je protesté en m’y agrippant fermement.
- Alors là, ce n'est pas négociable, une fessée se donne déculottée. Me dit T tout en me claquant la main et la cuisse
- S'il te plait pas devant Jérôme.

Il y eu un gros fou rire entre ces deux bourreaux. Je me sentais si bête d'avoir parlé de mes fantasmes mais il faut bien avouer ça m'excitait quand même. J'ai lâché ma culotte et j'ai baissé la tête le plus possible. La fessée a repris de plus belle, mes fesses ont très vite chauffées et mon cœur s'est vite emballé. Je ne contrôlais plus rien, ni mes mouvements, ni mes petits gémissements. Ma culotte s'est vite retrouvée à terre avec ma jupe et mes ballerines, je transpirais et j’avais chaud. T a réajusté ma position, et sa main a repris une cadence infernale, les larmes commençaient à monter mais il était hors de questions que je pleure devant Jérôme. Et puis plus rien, T avait stoppé net, je suis restée figée sur ses genoux, haletante et émue. Il me fit lever et m'emmena vers le bureau où il me pencha. J'ai regardé furtivement Jérôme qui n'en perdait pas une goutte, ce dernier se lève et passe de l'autre côté du bureau. Je me relève pour protester ce qui me vaut deux grosses claques sur les cuisses.

- Alors, dis-moi, il paraît que tu as des jouets que Cléa serait curieuse de tester ? Interroge T.
- Oh oui, un joli martinet en caoutchouc noir et un paddle souple. Dit Jérôme tout enthousiaste.
- Eh bien, je te laisse l'honneur de les tester si tu veux ?!
- Euh non, moi j'ai pas envie de les tester SES jouets ! Je proteste mais je sais que c'est peine perdue
- Alors, jeune fille, quand on fait la maligne devant un écran on assume ! Me lance Jérôme.

Je jette un rapide coup d'œil à T, qui m'interroge du regard. Je ferme les yeux et hoche la tête pour donner mon approbation. J'entends qu'on ouvre un tiroir et que l'on pose deux objets à côté de moi, j'ai toujours les yeux fermés, je respire profondément et les ouvre. Je crois que je n'ai jamais dégluti autant. Ils sont affreux en réalité, les photos étaient plus sympas. T les manipule juste par curiosité et les fait claquer dans le vide.

- Alors, jeune fille, à ton avis, combien de coups de mérites-tu ?
- Elle ne répondra pas, moi je dirais 5 coups de chaque.
- Cela me semble correct...

Notre hôte prend le paddle, je suis en transe, j’ai peur plus que jamais et quand le 1er coup s'abat je sursaute mais il est moins douloureux que je ne l'aurais cru. Je penses que Jérôme a dosé son jouet, les 3 coups suivants sont appuyés et un peu plus douloureux mais supportables. Le 5èmem’arrache un cri et je me redresse immédiatement et pose mes mains sur mes fesses pour masser. Je sens une légère boursouflure mais une onde de chaleur envahit mes deux fesses.

- Ça va, tu n'as pas trop mal ? S'inquiète mon bourreau
- Un peu quand même !

T pose sa main pour tâter la chaleur qui se dégage de mes fesses. Je me tourne vers mes deux acolytes, ils sont tous deux avec un grand sourire, j'ai les yeux humides et brillants. Je me repositionne sur le bureau pour la suite. Je suis vraiment maso moi ! Jérôme fait claquer le martinet à vide et sans crier gare je reçois le 1er coup. Il se diffuse dans tout mon corps et  m’arrache les 1eres larmes. Les 4 coups suivants sont durs à encaisser, d'autant plus que mes fesses sont déjà meurtries par une longue fessée à la main de T et les autres coups de jouets. Je finis en sanglots et avec de jolies marques qui partent du haut de mes cuisses et finissent sur le haut de mes fesses.
T pose à nouveau sa main sur mes fesses et la fait remonter sur mon dos. Il me susurre à l'oreille d'aller au coin pour reprendre mes esprits. Je m'y dirige sans un mot et j'y reste un long moment. Mes bourreaux se félicitent mutuellement. Quand je sens une main dans le dos, T est juste derrière moi et il me tend mes habits. Une fois de nouveau présentable, il me prend dans ses bras et m'embrasse sur le front, comme à son habitude. Je me dirige vers Jérôme et le remercie, lui fait la bise et revient aussi vite vers T.

Nous nous quittons tous 3 avec le sourire, en nous promettant de nous revoir.

Star wars

Si Star Wars était revisité version fessée, ça donnerait quelque chose dans ce style :




Définition (2)

Règle 


Définition générale :

Instrument de forme allongée, rectiligne, à arêtes vives, dont on se sert pour tracer des lignes droites et pour mesurer

Ma définition :

Instrument fort sympathique qui rencontre mes fesses lorsque je dois être punie pour mes fautes d'orthographe. Non je ne le fais pas exprès du tout 😁

mercredi 21 mars 2018

Le bureau



Je suis debout dans le bureau, à attendre que T vienne me rejoindre. Sur le bureau, j'ai déposé une feuille blanche bien noircie par la liste de bêtises. Cette liste est longue, je me suis facilement emportée et j’ai défié plus d'une fois T.

J'entends ses pas et la porte s'ouvre. Je ferme les yeux et respire profondément. Sans un mot et un regard, il se dirige vers cette fameuse liste tout en s'installant sur la chaise. Les minutes passent et elles me semblent considérablement longues. Quand soudain…

- Eh bien, tu te surpasses de jour en jour Cléa. Quelques effronteries, insolences mais surtout tu as vu l'état de tes doigts ?
- …
- J'aimerai que tu me répondes quand je te parle ! Me gronde-t-il
- Oui, je n'ai pas su me contrôler pour mes doigts. Dis-je timidement
- Je me fous de tes raisons, je t'ai assez prévenu sur la punition qui t’attends

Instinctivement je fais un pas en arrière ce qui ne lui échappe pas. Il se lève assez rapidement et se dirige vers moi, et il m'envoie au coin. Je déteste ça, cette session au coin me paraît une éternité. J'entends que la chaise bouge et que T pose des choses sur le bureau.

- Viens ici, devant moi

Je n'hésite pas et je me tiens devant lui les mains dans le dos. La tête baissée, je me tortille et je commence à jouer avec mes mains. Une claque tombe sur mes cuisses nues ; je porte une jupe. Cette première claque me pique et surtout me surprends mais je sais pourquoi elle a été donnée.

T me sermonne comme jamais, il me dit que je suis dans de beaux draps et qu'il va m'apprendre à ne plus me ronger les doigts. Je le regarde avec difficulté, mes yeux le fuient, je suis honteuse d'être là.

Il me tend sa main que je prends avec confiance et il me couche sur ses genoux. Une main au creux de mes reins et l'autre posée délicatement sur mes fesses. Il me dit que la fessée sera longue et sans que je comprenne quoique ce soit une première volée tombe. Ma jupe fait barrage, alors pour le moment je ne bouge pas trop et surtout je ne sens trop rien. T s'aperçoit que cette jupe le gêne et que ses claques n’ont pas l'effet recherché. Il s'arrête et la relève, s'offrant ainsi la vision de ma petite culotte blanche. Il pose de nouveau sa main comme pour tâter la chaleur et recommence mais cette fois-ci sa main se fait plus lourde, il alterne les claques et les caresses pendant un long moment. Il y met tout son cœur et toute sa voix, les mots sont justes et bien choisis pour m'atteindre. Mes fesses chauffent plus vite que je ne l'aurai cru et je sers les dents et mes mains sur ses chevilles. Il me relève enfin, j’abaisse immédiatement ma jupe…. Erreur…. Ses yeux parlent pour lui, il est furax. Je lui demande pardon et d'un geste il m'envoie méditer à nouveau.

Je le sens derrière moi, il abaisse totalement ma jupe et il me laisse en culotte au coin. Je sais qu'il me toise et qu'il admire son travail. Il finit par me rappeler à lui, brosse à la main, il me bascule à nouveau. Cette fois, il passe la main sous l'élastique de ma culotte et la baisse jusqu'à la naissance de mes fesses. Il masse langoureusement le haut de cuisses et mes fesses, je savoure cette instant le bois au contact me fait toujours autant d'effet. Je me détend un peu plus et c'est à se moment là que T reprend la fessée. Je commence à agiter les jambes, ce qui me faut un coup sur les cuisses.( oh !! Punaise ça fait mal). Les coups sont de plus en plus rapide et le sermon de T se fait de plus en plus piquant. Mes fesses chauffent à une vitesse grand V, je sers les dents et les mains, je ne veux pas pleurer. Et puis il s'arrête, j'ai l'impression que cette séquence brosse à durer une éternité. Je profite de son arrêt pour reprendre mon souffle, ravaler ma salive et les larmes qui commençaient à monter.

Il masse à pleine mains mes fesses rougies

- Est-ce que tu te souviens de ce que je t'ai promis pour tes doigts ?
- S'il te plait, pas ça
- Cléa ne recherche pas les ennuis, tu en as déjà assez je penses ! Me lance-t-il
- 15 coups de cravache sur les doigts, j'ai mâché à moitié les mots

Il m'aide à me relever, enlève définitivement ma culotte et le reste d'ailleurs. Je me retrouve à genoux nue devant lui et les bras tendus, en attendant que le premier coup tombe

- Je veux que tu comptes !

J'hoche juste la tête, les larmes sont déjà prêtes à couler. Ça y est le coup est enfin tombé, ça fait atrocement mal mais je compte et je ne dis rien… les coups se succèdent et les yeux brillants de larmes je lui soutiens son regard. Je ne faiblirai pas. 15 !!! Enfin. Il me relève, embrasse mon front et m'envoie de nouveau au coin avec une claque sur les fesses.

Mes doigts me piquent, j'ai le postérieur qui chauffent et les larmes au bord des yeux. Il pose ses mains dans mon dos, les descend doucement vers mon intimité bien mouillée malgré moi.

Il me prend par la main et m'emmène vers le bureau où il me couche. J'entends le bruit de la ceinture qui se défait et qui glisse dans les passants de son pantalon. Il fait claquer 2 fois la ceinture et ne me prévient pas pour ce premier coup. Je sursaute sans le vouloir. La cadence des coups de ceinture est plus lente, il me laisse reprendre mon souffle entre chaque. Il finit par poser une main sur mes fesses pour sentir la chaleur…..ma chaleur. Et les derniers coups arrivent, j’ai beau serré les dents, les larmes coulent le long de mes joues rouges, elles aussi. Ma ceinture tombe sur le parquet, T se colle à moi, je le sens. Il me retourne et me prend dans ses bras et me susurre

- Tu es pardonnée.

Je ne dis rien, je me blotti contre lui et le sers fortement. La seule pensée que j'ai à ce moment : ne me laisse pas.

Papillons


Après quinze jours assez éreintant, nous avions enfin un week-end pour nous. Rien spécial de prévu, juste un week-end cocooning comme on les aime. Prendre soin de notre couple fait du bien
J'étais tranquillement entrain de faire la vaisselle quand des mains viriles sont venues se blottir autour de ma taille. T. Était arrivé sans faire un bruit, comme à son habitude d'ailleurs. Il m'embrasse dans le cou et s'y niche, je colle ma tête contre lui et lui susurre un " je t'aime ". Je sens qu'il sourit mais ne me répond pas, je savoure cet instant.

-  On a quelques trucs à régler, il me semble. Me dit-il

Je sens des papillons dans mon ventre, c'est vrai que je n'ai pas été un ange. Je finis de laver la dernière assiette et ses mains me quittent, je me retourne et le vois prostré au beau milieu du salon.
Je déglutis avec peine, il a ce regard qui dit que je suis dans de beaux draps et que je n'y échapperai pas. Je m'avance avec peine, les mains dans le dos et arrivée à sa hauteur je lève le yeux pour me plonger dans les siens. Il me toise et dit

- Tu n'as pas quelques choses à m'avouer ?
-  ….
- Ne me fais pas attendre, tu ne fais qu'empirer la situation. 
-  Euh… eh bien, je crois que je n’ai pas été très correcte avec toi cette semaine, j'ai à plusieurs reprises montré de l'insolence
- C'est le moins que l’on puisse dire, j'en ai entendu des noms d’oiseaux et surtout tu m'as très mal parlé
 Oui mais j'étais tendu à cause du boulot
 C'est une raison pour te défouler sur moi.

Les larmes me montent aux yeux, je baisse la tête. Il a raison et je le sais. A cette instant, mon corps me trahit, je sens que ma petite culotte se mouille, j’essaie de resserrer les cuisses discrètement. Trop tard, ses yeux se baissent directement sur mon intimité.

Il tire une chaise, s'assoit et me fait signe de la tête de venir m'allonger sur ses genoux. Un moment d’hésitation et j’exécute son ordre. Me voilà les fesses sous son nez, elles sont couvertes par ma jupe en jeans et une petite culotte en soie bleu nuit.

Il commence par me sermonner, il choisit ses mots pour m'atteindre psychologiquement puis les premières claques tombent. Il ne dit rien mais ses claques sont sèches. Il finit par me relever et pose ses mains sur le bouton de ma jupe pour la dégrafer, j'ai le geste le plus bête du monde ; j'ai tenu ma jupe pour ne pas qu'il me la baisse.

- Tu plaisantes là, j'espère. Retire-moi tes mains immédiatement
- Non !
Pardon, répète pour voir

Plus un mot ne sort de ma bouche et je capitule. Il me débarrasse de ma jupe et me fait aller au coin, je m'y dirige et mets automatiquement les mains sur la tête.
Au bout d’un moment qui me semble interminable, j’atterris de nouveaux sur ses genoux. Il recommence la fessée de plus belle, mes fesses chauffent rapidement et je commence à fouetter l'air avec mes jambes. Mes mains se referment sur les chevilles de T., je m’étonne même à lâcher un « oh putain ça fait mal ! ». Je me prends aussitôt deux claques, bien appuyées, sur chaque cuisse. Il s'arrête pour tâter la chaleur de mes fesses, déjà bien rougies, ses mains s'attardent sur mon intimité, je suis déjà bien mouillée.

- Tu vas aller me chercher la brosse
 S'il te….
- Ne recommence pas où ça va aller très mal pour tes fesses.

Je monte en 4ème vitesse chercher cette fameuse brosse en bois, qui me fait peur et m'excite à la fois. Je redescends, reprends mon souffle et me dirige vers mon bourreau. Je lui tends timidement la brosse et il en profite pour me coucher sur ses genoux, il baisse ma culotte dans un geste vif. Je reçois 10 coups sur chaque fesse avant même que je n'ai pu comprendre quoique ce soit. Il s'arrête, me masse délicatement les fesses sans oublier de passer vers mon petit abricot et sans dire un mot il reprend la fessée. Cette fois-ci les coups sont crescendo, le contact du bois avec mes fesses me trouble. J'ai du mal à savoir si c'est de l'excitation ou de la douleur, mes fesses chauffent, les coups commencent à être plus intenses et mes jambes se mettent à danser à nouveau. Il fait une pause, sa main chaude caresse sensuellement mes cuisses et remonte sur mon bas du dos. Ses caresses ne font qu’accentuer mon excitation. T. écarte doucement mes cuisses et dépose un doigt juste à l'entrée de mon intimité complètement trempée. Il me pénètre ainsi avec son majeur, je lâche un long soupir.

- Mets-toi debout, les mains sur la tête. Me murmure-t-il
Bien, Chéri.

Il me regarde avec ses yeux amoureux, il enlève mon t-shirt et mon soutien-gorge qui tombent à  mes pieds. T. me dirige vers le dos du canapé et m'y penche. Je suis nue et je sais qu'il va utiliser sa ceinture.

- Tu sais ce qui va se passer ?
-  Oui
- Alors, dis-moi ?
 Je vais recevoir ta ceinture.
- Bien. Me dit-il en passant ses mains dans ma chevelure.

Il me caresse à nouveau les fesses. J'entends la boucle se défaire et la ceinture glisse dans les passants de son pantalon. Il fait claquer cette fameuse ceinture.

- Tu vas compter les coups. Tu en recevras 15.
- Oui

Le premier coup tombe, il pique légèrement. Les autres s enchaînent plus vite que je ne l'aurais pensé. Au bout du 8ème les larmes embuent mes yeux, je me relève histoire de récupérer et T. en profite pour passer ses mains sur mes fesses cramoisies et chaudes. Je me remets en position, les coups recommencent à pleuvoir, le coup de grâce arrive les 4 derniers coups m'arrachent des cris et les larmes se sont mises à couler le long de mes joues. La ceinture tombe sur le sol et T. se trouve juste derrière moi et appuie son sexe contre la naissance de mes fesses

- Tu vois ce que tu me fais ?

J'hoche juste la tête, je suis encore sous l'émotion et encore sur mon petit nuage. Je sens son sexe s'insérer dans mon vagin. La suite n'est que pur bonheur, je finis par jouir en même temps que lui. T. me prends dans ses bras et me console. Nous nous installons dans le canapé pour reprendre nos esprits.
Je suis tellement comblée et je reste un long moment sur ce petit nuage.


mardi 20 mars 2018

Définition



Non je ne prétends pas être Prof, ni intellectuelle, mais j'ai juste des définitions différentes pour certains mots et du coup je me suis dit pourquoi pas le partager.




Résultat de recherche d'images pour "crocodile"

Crocodile:
Animal vertébré, reptile de grande taille, à corps allongé couvert d'écailles, à pattes courtes, à très fortes mâchoires, vivant dans l'eau et sur terre. 


Ça c'est la définition que l'on trouve dans le dictionnaire ou sur le net. Maintenant ma version


Jeune femme qui aime fanfaronner devant un écran ou en publique et qui une fois, seule, devant Monsieur perd toutes paroles et n'assume plus du tout ses actes. 

En gros Grande Gue... et petites pattes.

lundi 19 mars 2018

Quand Disney s'en mêle



Notre petit monde attire tellement de personnes que même Disney à eu l'idée de se l’approprier