mardi 14 janvier 2020

Le journal de Charlotte (5)



Une fois de retour à la maison, je propose à Nicolas un café. Il me sourit et accepte. Tous deux attablés j’en profite pour lui présenter mes excuses.

- Je n’aurai pas dû disparaître comme ça, sans te prévenir.
- Oui, même si je ne me suis pas inquiété, je t'ai vu partir.
- Alors pourquoi me fesser ?
- Pour que tu comprennes, jeune fille, que l’on ne disparaît pas comme ça.
- Oh d’accord Nicolas.

Nous finissons notre café, Nicolas me propose de jouer. Je le regarde curieusement et même avec intrigue. Il m’explique ce qu’il a en tête, il veut simplement me fesser plus érotiquement.

Il ne me faut pas longtemps pour me retrouver sur ses jambes. Sa main effleure délicatement mes fesses. Je me cambre instinctivement. Il continue en massant et pinçant mes fesses. Il commence avec des claques douces, j’oscille le bassin. Sa main se pose sur mes cuisses puis d’un doigt il les parcourt. Il défait ensuite ma jupe et retire ma culotte. D’un geste sensuel, il écarte mes jambes. Nicolas reprend doucement la fessée, les claques ne sont pas fortes, elles descendent également sur mes cuisses. 


L'alternance de caresses, claques et griffes légères me font perdre mes repères. Je sens mes fesses rougir sans vraiment ressentir de douleur. Il vient ensuite poser un doigt à l’entrée de mon abricot humide de plaisir. Il joue avec celui-ci, je n’ai qu’une envie qu’il l’introduise en moi. Nicolas se remet à me fesser un peu plus fort cette fois ci. Je ne peux plus, je veux jouir alors je me frotte contre sa cuisse. Mon corps est pris de spasmes, ma voix se fait plus aigüe et je gémis enfin de plaisir. Je continue malgré moi à me frotter à lui. Nicolas continue ses claques sensuelles.

Je peux sentir son excitation. Ayant atteint mon apogée, je me glisse à ses pieds pour poser ma tête sur ses genoux. Il me caresse le dos tout en me laissant atterrir. C’est alors que je lui propose une petite gâterie qu’il accepte volontiers.

Ma bouche encercle son sexe dure, je lui titille le gland avec la langue et m’amuse à frotter mes dents sur sa verge. Je sais qu'aucun homme ne peut résister à ce traitement, il n’est pas une exception. Nicolas atteint lui aussi son apogée.

Une fois remis tous deux de nos émotions. Nous prenons un repas léger. Nicolas me quitte avec un bisou sur le front et me remercie pour cette journée. Je file sous la douche et me blottis nue dans mon lit pour un plaisir solitaire qui me sert de somnifère.

1 commentaire:

  1. Vincent flâneur14 janvier 2020 à 15:45

    Charlotte a beaucoup de chance et Cléa bien du talent 😊

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