mardi 19 juin 2018

Bonne soirée



Ce soir-là rien n’annonçait que j'allais me faire fesser. Nous avions mis babynous au lit et avions profité de la soirée pour nous détendre.

Nous sommes tranquillement installés dans le lit et je suis d'humeur coquine. J'ai voulu attaquer les hostilités seulement Monsieur avait autre chose en tête. Il avait 2 ou 3 choses à me reprocher. Je lui ai juste lâché un « tu fais chier, on peut pas en parler plus tard ! ». Ces mots ont été  de trop. Il s'est levé d'un bon et m'a sortie des draps sans que je n’aie le temps de dire quoi que ce soit. Dans un mouvement brusque je me retrouve sur ses genoux. Il me gronde et me rappelle les faits. Une longue fessée manuelle est entamée, pour une fois il y va crescendo mais ses claques sont sèches. Je ne peux m'en prendre qu'à moi-même. J'ai déjà mal et me débats, je tente de me protéger avec la main droite mais il me la bloque dans le dos. Les claques sont rapides et cuisantes, je gémis un peu. Il s'arrête enfin et me masse les fesses. Je suis en nage et à bout de souffle. Il lâche ma main et m’ordonne d'aller chercher le paddle. J’y vais en me frottant les fesses. Je crois que je ne vais pas supporter longtemps cet instrument. J'évite de m'attirer de nouveaux ennuis, lui tends le paddle et me replace aussitôt sur ses genoux. Sauf qu’il en a décidé autrement. T. me relève et me fait mettre sur le lit avec un coussin sous le ventre. Il me frotte les fesses et abat le paddle sans prévenir. J’étouffe mon cri dans le matelas, je suis au bord des larmes. Il prend un peu plus de temps pour faire tomber le second coup. Je continue de mordre le matelas, il enchaîne les coups sans prononcer un mot. Je me sens mal, je m'excuse pour chaque bêtise faite, je commence à pleurer. Il s'arrête soudainement, me frotte de nouveau les fesses qui sont bien rouges. Je suis envoyée au coin à genoux les mains sur la tête. Je reprends mes esprits mais j’entends pas mal de bruit derrière moi. Je voudrais me retourner mais je sais que je serais punie en plus alors je baisse la tête et décide d'attendre qu’il revienne vers moi. Il me passe les menottes autour des poignets, m'aide à me lever et me place sur le lit, les bras en croix. Je ne peux plus bouger et ne le vois plus. J'ai toujours mes jambes libres, enfin j'avais, il passe les menottes et m'attache à notre barre d’écartement. Je frisonne de la tête aux pieds, les lanières du martinet parcourent sensuellement mon corps. Je sais que la fin de la punition arrive et que je vais devoir assumer. Je ne m'en sens pas capable, c’est d'ailleurs pour ça qu'il m'a attachée. Il me dit que je vais devoir compter jusque 20 ! Je dois en plus le remercier à chaque volée. Il passe une dernière fois sur mon dos, s'arrête, plus un bruit et là il lève son bras. Ouch !! Je veux me protéger mais impossible, je serre les poings, prends une grande inspiration «un merci ». Le deuxième coup tombe plus rapidement «  deux merci ». Il continue sur sa lancée mais attend bien que je le remercie. Enfin le dernier, j’enfouis la tête dans l'oreiller et pleure à chaudes larmes. Il me détache et masse mes fesses pendant un petit moment puis me retourne et me prend dans ses bras. Les câlins et les bisous pleuvent, il me dit que je suis forte et que je l'impressionne.

Finalement, je reprends les choses là où je les avais laissées …

3 commentaires:

  1. Hé bien ! Ca t'apprendra à être polie lol. Lui aussi est fier de toi après t'avoir punie. C'est chouette.

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    1. Je suis toujours polie 😁... oui j'ai toujours un câlin au moins

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