lundi 16 novembre 2020

Le journal de Charlotte (13)




Je suis de passage dans la ville lumières pour une formation. Après une journée les fesses clouées sur une chaise, je décide d’aller visiter un peu la ville. Je fais du lèche-vitrine sans pour autant acheter. J’ai une idée en tête. Je vais aller faire un tour dans la nouvelle boutique de mon chocolatier préféré. 

J'ai à peine franchi le seuil de la porte que cette douce odeur de chocolat passe au travers de mon masque et vient chatouiller mes narines… je ne pourrais absolument pas faire ce métier. Je tourne dans la boutique, admirant les créations, salivant serait le mot juste. Je me décide enfin et opte pour du chocolat au caramel beurre salé et une plaque au chocolat noir de je ne sais plus où. Les mains chargées de mon péché mignon, j’arrive au comptoir… oh merde enfin non mince, je n’avais pas vu que c’était lui et non sa vendeuse.

Il prend mes paquets, je profite de cet instant pour ôter mon masque et me risquer à un tirage de langue. Il sourit largement et lâche « on ne doit pas retirer son masque ici jeune fille ! »

Il garde le chocolat avec lui et me propose un café que j’accepte. Nous échangeons des banalités, il me fait visiter son laboratoire et le reste de sa boutique. Nous finissons par l’arrière boutique. 

Je le défie et le taquine plusieurs fois, ses mains le démangent, il a envie de remonter ma jupe. L’heure de la fermeture approche. Il me laisse dans son bureau quelques minutes. « sois sage j’arrive », j’ai simplement hoché la tête. 

Mes yeux vont partout, mes pensées les plus diaboliques aussi. Il y a un grand tableau blanc, j’y dessine ma plus belle œuvre : des fesses et une cuillère. Je suis entrain d’achever ce magnifique dessin, qu’une claque rebondit sur mes fesses et me surprend.

C’est gentil mais mon 38ème tirage de langue est de trop. Il me renverse en 2 secondes sous son bras et me claque les fesses par-dessus la jupe puis me relève. Je suis assez étonnée de la rapidité. Je n’ose plus bouger. Mes fesses ne sont absolument pas douloureuses mais la situation a été efficace. 

Ce minuscule recadrage ne me calme pas pour autant. Je sais que ce n’est qu’un aperçu car il m’a promis d’être sévère quand on se verrait, il a touché la corde sensible de la maso. Je reviens donc sur mon dessin pour y ajouter une main rouge. Ça l’amuse de me voir faire des petites bêtises. 

Nous décidons d’aller dîner dans le petit restaurant non loin de sa boutique. Le repas se passe calmement nous discutons de l’actualité qui nous préoccupe tant. Mais au moment de payer l’addition, il me devance et paye l’intégralité. Je fulmine et lui dit devant le serveur.

-Tu me fais chier !

Il change d’attitude et me fusille du regard, pas un mot avant de sortir. 

-Charlotte, tu vas me le payer. Tu ne me parle pas comme ça ! Et surtout pas devant les gens !

-Bah oui mais je voulais payer ! 

J’ai élevé la voix dans la rue et je ne m’en suis rendue compte quand les badauds se sont retournés sur nous.

On arrive devant l’entrée de sa boutique. Il ouvre la porte et me pousse à l’intérieur. Pierre m’attrape par le bras, me conduit directement dans son bureau. Il tire la chaise d’un grand geste, pose un pied dessus et me bascule directement. Cette position relève automatiquement ma jupe, il tire sur ma culotte qui se transforme en string et claque mes fesses à vive allure. Je gigote dans tous les sens, je ne touche plus le sol. Je déteste ça. Je lui dis « non », j'hurle que je veux descendre et qu’il arrête de me claquer comme ça. Il n’écoute rien de ce que je lui dis. Il continue sans dire un mot. C’est glaçant. 

Il se décide enfin à me reposer, me prend par l’oreille et m'emmène au coin. Je reprends mon souffle, tâte la température de mes fesses. Il n’y a plus de bruit dans le bureau à part ma respiration. Je tourne la tête une fraction de seconde. Pierre est justement en train de franchir le seuil de la porte du bureau. 

- Viens ici Charlotte !

Je m’avance timidement devant. Il baisse ma jupe et enlève ma culotte. Je n’ose même pas bouger, il tient dans sa main la spatule que j’ai customisée lors de notre première rencontre.

-Je t’avais dit que ce serait sévère ?

-Oui Pierre

-Et tu sais très bien que c’est mérité ! Tu m’as confessé pas mal de choses et tu dois en payer les conséquences !

-Oui Pierre

C’est bizarre mais la maso a disparu et la petite fille a pris sa place. Cette spatule me fait toujours aussi peur même avec son dessin.

Les mains de Pierre attrapent les miennes et me basculent sur ses genoux. La fessée commence doucement, un paradoxe alors que je viens de me prendre une fessée express et appuyée. 

Cette fessée monte en puissance, mes jambes ne touchent plus le sol, je commence à me débattre de plus en plus lorsque la spatule entre en jeu. Je supplie au premier coup. Je la déteste réellement. Je sens chaque impact s’imprimer sur ma peau. Je suis au bord des larmes. Pierre m’avait prévenu, il n’a rien lâché de la fessée. Je suis en pleurs lorsqu’il m’envoie de nouveau au coin. Je respire plus profondément afin de me calmer. 

Ses mains se posent sur mes fesses, il me retourne et me prend dans ses bras. J’y reste un petit moment, il sent si bon et ses bras sont protecteurs.

Je me rhabille, Pierre me raccompagne jusqu’à l’hôtel. Nous allons nous revoir avant la fin de ma formation.


2 commentaires:

  1. J espère qu' il y a rendu les plaques de chocolat????

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  2. Comme c'est délicieux, on croque un carré pour finalement manger la tablette ;-)

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