mercredi 16 septembre 2020

Retrouvailles ...

 



Des retrouvailles timides, voilà comment je qualifierais ma séance avec J.

Le décor est tout autre, je reçois J chez moi. Je devrais être plus à l’aise mais en fait ce n’est pas le cas. Je suis tout aussi stressée que la 1ère fois. Je peux même ressentir le sien. Je le taquine, ça ça ne change pas, pour détendre un peu l’atmosphère et surtout m’amener sur ses genoux. 

Ses manches de chemises sont relevées, il a le regard taquin, joueur et plein d’envie. J me tend enfin la main pour me mettre sur ses genoux.

Les premières claques timides tombent sur ma jupe en jeans qui fait totalement barrière. 

« C’est bien tu t’es mise en jupe mais sérieusement tu ne sens rien là, tu te fous de moi ! »

Bon j’éclate de rire, ce n’était pas le but rechercher. Je ne sens effectivement rien, il remonte ce tissu épais et se met à claquer mes cuisses et la naissance des fesses. Ce n’est pas les fesses ça !

Ma jupe finit par être enlevée et je me retrouve en culotte toute fine. Là je sens ses claques, elles me font réellement mal, je mords ma lèvre, sers les barreaux de la chaise. Je ne peux pas lui dire que j’ai trop mal, j’ai une réputation 😂. Ça fait 1 an que mes fesses sont vierges et je le sens bien. J’ai l’impression de repartir de zéro. 

Sa main est toujours aussi ferme et méthodique, il claque sans ménagement. Mes pieds se croisent et se décroisent. J’ai chaud aux joues, aux fesses, je commence à transpirer. Il me dit que mes fesses sont déjà bien rouges et chaudes. Je finis par me décontracter au fur et à mesure. Mon esprit ne demande qu’à décrocher mais je le retiens. Je n’arrive pas à passer côté maso… je décide de ne pas chercher à y aller et de laisser les choses se faire. Les claques me semblent devenir plus lourdes. Le souffle de mon fesseur s’accélère, je crois qu’il faiblit. (Manque de pratique, je le garde pour moi ça)

Il me demande de me relever et de me pencher sur la table. La culotte aux genoux, je pose les coudes sur la table. Il me frôle, caresse mes fesses. Il attrape le triple viper et le fait tomber doucement sur le haut de mes fesses. Ça va c’est supportable. Les lanières s’impriment plusieurs fois sur ma peau. Je gémis, je souffle, je me redresse. J’encaisse mais c’est dur. 

Il prend le martinet en main et me dit 

« Lui tu ne vas rien sentir ! »

Je souris et ris même. C’est vrai que ça ne me fait pas peur. Mais il est assez coriace ce martinet. Je me redresse plus d’une fois. 

J’ai le fessier en ébullition et les sens en effervescences. J’ai du mal à rester sur terre, mon petit nuage m’appelle.

Je pense que J l'a compris, il pose l’instrument, passe sa main autour de mes reins et finit la fessée à la main. Je gesticule un peu plus mais j’apprécie le contact.

Je me redresse, le regarde. J’ai les yeux pleins d’étoiles, le ventre pleins de papillons et l’esprit totalement libre.

Je me blottis contre lui, un dernier contact avant de me rhabiller. 

Des retrouvailles timides mais chaleureuses.


3 commentaires:

  1. Ah la fameuse jupe en jean, je te pique l idée!
    Comme c est beau D être timides,c est dans doute la raison pour laquelle tu as rougi de partout 😂
    Quand à la pratique, l avantage d être fesses nues nous on ne risque pas le claquage...musculaire.
    Le fesseur si.
    Imagine une ITT pour fessée appuyée sans échauffement
    😂😂😂😂😊

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    1. C'est qu'ils ont les mains fragiles nos petits fesseurs

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  2. Je me permets d'ajouter votre blog à ma liste...quel plaisir de vous lire !

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