jeudi 1 août 2019

Cet instant où tout bascule...



Je suis devant lui, les mains dans le dos, j’attends sagement. Il m’a fait mettre en culotte et débardeur. Je peux voir dans son regard que je l’ai déçu.

Il est assis sur une chaise, les bras croisés. Je respire profondément. Il ouvre la bouche et commence son sermon en me disant


« Jeune fille, ton comportement est inadmissible ! »

Je lève les yeux, le regarde mais aucune excuse ne sort de ma bouche. J’encaisse ses paroles sans pouvoir dire autre chose que des petits « oui Monsieur ». D'un geste du doigt, je me retrouve entre ses cuisses, il pose ses mains sur le haut de ma culotte. Je sais ce qu’il va faire mais je le supplie du regard. Mes yeux sont déjà embués par ses mots. Il reste impassible et baisse la culotte à mi-cuisses. J’ai honte de cette situation. Il continue son sermon tout en attrapant mes mains pour les mettre sur la tête. Me voilà telle une gamine, les larmes coulent à présent le long de mes joues. Ses mots me font plus mal que les claques, enfin pour le moment. J’ai ordre de le regarder et de lui répondre. Mais sa dernière phrase me laisse sans voix, il me demande de lui répondre mais j’en suis incapable. Une claque sèche sur chaque cuisse me fait sursauter et je finis par lâcher que je dois recevoir une bonne fessée.

Il recule sa chaise, m’attrape par l’oreille et m’emmène vers le canapé. Il s’assoit m'entrainant avec lui, je me retrouve couchée sur ses genoux, les fesses déjà dénudées et prêtes à recevoir cette fessée. Il pose sa main sur mes demi-lunes et continue de me sermonner, j’ose un soupir. Ce qu’il n’apprécie pas du tout. Il part dans une déferlante de claques, ciblant toutes les parties de mes deux globes. J’ai croisé les chevilles comme à mon habitude, mes jambes sont à moitié pliées. Une claque sur les cuisses me fait comprendre que je dois laisser mes pieds au sol et décroiser les chevilles. Il reprend un rythme de fessée soutenu. Je serre les poings pour ne pas me protéger. Je gémis. Sa main est lourde, la cadence est dure, je veux qu'il arrête de parler. Le mélange de ces 3 choses va me faire craquer. Je supplie et demande pardon. Mes fesses sont déjà brûlantes, je sais qu’elles sont très rouges. Je finis par vouloir me protéger, il attrape ma main la bloque dans mon dos, il passe ses jambes au-dessus des miennes.

« Une petite fille de 8ans, qui ne mérite que ça, une bonne fessée déculottée ! »

J’éclate en sanglots mais sa main ne faiblit pas. La fessée dure très longtemps et je finis par l’accepter. Je ne me débats plus mais il ne me lâche pas. Mes fesses sont cramoisies quand il décide de m’envoyer au coin. J’ai la culotte aux chevilles les mains sur la tête et je pleure comme la petite fille que je suis.

Au bout d’un moment il me rappelle à lui, il me reprend par l’oreille, je comprends alors que ce n’est pas fini. Cette fois-ci il me penche sur le dossier du canapé, profite de ma position pour tâter la température et vérifier mon intimité. Je le sens se décaler, un rapide coup d’œil, il a les mains sur sa ceinture. Il la déboucle d’un trait, la claque sur elle-même et sans me prévenir lance son cuir sur mes fesses déjà meurtries par sa main. Je sens la chaleur envahir tout mon corps même si la ceinture ne sévit que sur mes rondeurs. Les bandes s’impriment au fur et à mesure des coups, je tremble. Je reste sur la pointe des pieds à chaque cinglée, lâche des petits cris et pleure encore. Habituellement la ceinture me procure un bien fou mais là, je ne la perçois pas ainsi, elle est punitive. Il fait des séries de 10 coups rapides, ce 5 fois de suite. Je pleure, je supplie, j’hurle, je me redresse à chaque coup sur la dernière série.

Il remet sa ceinture et me laisse dans cette position, je suis haletante, et larmoyante à souhait. Il me dit qu’il a une dernière chose à me dire. Il claque 10 fois chaque jointure de fesses. Ce qui m’arrache les pires plaintes. Je suis de nouveau envoyée au coin. J’y reste une bonne demi-heure.

Je reviens vers lui et lui présente mes plus sincères excuses, promets de faire attention à mon comportement. Il me prend dans ses bras et me câline puis il me murmure à l’oreille qu’il a autre chose en tête. Je le regarde intriguée, il me retourne à nouveau sur le canapé. J’émets une certaine résistance et je comprends mieux quand je le sens passer ses doigts sur mon intimité et mon petit trou. Nous finissons ainsi cette punition recadrante.

5 commentaires:

  1. Vincent flaneur1 août 2019 à 21:43

    Ça c’est une fessée ! Solide, recadrante, cuisante, aimante.

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  2. On est pas loin de la fessée punition parfaite là :)
    Encore un super texte Cléa!

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    1. Merci beaucoup Luna, reste plus qu'à la vivre😁

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  3. Magnifique texte Clé, bravo. En tant que fesseur débutant, j'apprends auprès d'une maîtresse/soumise?

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