mercredi 12 septembre 2018

Marc & Lou (19)



Sans prévenir Marc se lève et se dirige vers notre nouvel ami. Ils échangent quelques mots, et chose étrange ils échangent une poignée de main! J'interroge Marc lorsqu'il me rejoint mais pour toute réponse il m'ordonne de me lever et de prendre mes affaires.

Je le suis à l'extérieur à la fois déçue que la soirée s'achève déjà mais aussi intriguée par la conversation qu'il a eu avec Thomas. Je me dis que peut-être Marc envisage de revenir régulièrement et savoure cette idée quand je réalise que nous ne nous dirigeons pas vers le parking souterrain. J'allais ouvrir la bouche lorsqu'une grosse berline noire s'arrête à notre hauteur. Marc m'ouvre la portière arrière et me fait signe de monter.

Interloquée je m'exécute pendant que Marc prend place à l'avant. Le chauffeur redémarre aussitôt sans même un regard vers moi, et soudain je réalise que je ne suis pas seule à l'arrière. Thomas est là, son regard glacé me parcourt de la tête aux pieds sans aucune expression sur le visage. Je suis profondément troublée et détourne la tête.

Nous arrivons alors devant un grand immeuble très imposant. Marc et Thomas sortent aussitôt de la voiture, je ne sais pas trop quoi faire lorsque la portière s'ouvre grand, et que le chauffeur de Thomas me prie de bien vouloir suivre les deux hommes.

Je rejoins Marc rapidement, attrape sa main et m'accroche à lui, il tourne la tête vers moi et me fait signe que tout va bien. Nous entrons dans un riche appartement, un peu sombre mais je devine une décoration soignée.

Thomas nous invite à nous installer dans un grand fauteuil en cuir, extrêmement confortable. Un verre de champagne à la main lui et Marc poursuivent leur conversation commencée plus tôt dans la soirée.

Tout à coup Thomas se lève, se dirige vers moi, me tend la main et me fait lever. Debout face à lui, il me paraît encore plus impressionnant, je m'apprête à tourner la tête vers Marc mais l'homme me saisit par le menton et me force à soutenir son regard.

- Mademoiselle, vous vous êtes montrée insolente et capricieuse tout à l'heure, en présence de nombreux amis de Monsieur, et en présence de mes amis. Ce comportement est inacceptable d'autant plus que Monsieur a soigneusement préparé cette soirée pour vous. Il a jugé bon de vous corriger sur le champ, mais il ne fait de mystère pour personne que cette correction était plus que légère et que vous y avez pris plaisir.

Je suis bouche bée face à cet homme dont la voix et les mots m'ensorcèlent. Et ses dernières paroles me firent rougir de honte tant il avait raison.

- J'ai obtenu de Monsieur de vous punir pour vos dérapages dans MON bar. Vous apprendrez mademoiselle que seules des personnes convenables sont admises dans notre cercle. Vous pouvez donc choisir d'assumer vos fautes et subir la punition qu'il me plaira de vous imposer, ou quitter cet appartement, mon chauffeur vous ramènera à votre voiture.

L'homme relâche son emprise sur mon menton, mais je ne peux pas détourner les yeux de lui. Je commence à sentir des papillons dans le bas ventre, et reste silencieuse, comme hypnotisée.

- Je vois que vous avez perdu votre belle éloquence mademoiselle. Vous n'aurez pas à parler dans ce cas. Si vous acceptez votre punition vous retirerez tous vos vêtements et viendrez vous allonger sur mes genoux. Sinon je vous souhaite une bonne soirée.

A ces mots il se détourne et se dirige vers une sorte de fauteuil sans dossier richement décoré.

J'hésite un long moment, regardant alternativement cet homme assis sur son trône et Marc confortablement installé dans le canapé, son verre à la main. L'un et l'autre me regardent, le premier d'un regard me disant « voyons si tu es à la hauteur de ce que prétend ton propriétaire », le second d'un regard bienveillant me disant « vas-y ».

Lentement je fais glisser ma robe au sol, mes yeux rivés sur ceux de l'homme, répondant à son défi. Aussi lentement je dégrafe mon soutien-gorge, le laissant tomber aux cotés de ma robe. Je fais de même avec ma culotte, la faisant glisser sur mes cuisses en ondulant du bassin. Je m'apprête à retirer mes bas quand l'homme lève la main brusquement pour me faire stopper, cette même main me faisant ensuite signe d'approcher.

J'avance d'un pas un peu tremblant mais terriblement excitée par la situation. Je m'allonge sur ses genoux, et ma première pensée fut « oh mon Dieu qu'il est grand mes pieds ne touchent plus le sol! »

Je me retrouve donc couchée sur les genoux d'un inconnu, nue, la tête en bas et les fesses effrontément rehaussées, et mon intimité indécemment exposée.

Cette pensée ne dura pas longtemps, la première claque me sort de ma rêverie. Quelle force ! Immédiatement je sens de forts picotements sur mes fesses à peine échauffées il y a moins d'une heure. Il me semble que jamais je n'avais reçu fessée si forte, à moins que ce soit le bruit des claques dans cet appartement si particulier qui l'ait rendu plus impressionnante.

Thomas continue d'appliquer sa main avec force sur l'ensemble de mon postérieur, je sens qu'aucune zone n'est épargnée, pas même le haut des cuisses. Mes jambes remuent en tous sens, la fessée devient de plus en plus cuisante, ça chauffe vraiment beaucoup. Je tente de me protéger mais l'homme me saisit la main et la bloque fermement, en prenant soin au passage de me gratifier de 3 claques plus appuyées dont une sur la cuisse.

Je serre les dents mais ne pus empêcher mes larmes de couler. Mes jambes cessent de battre l'air, mon corps commence à abdiquer et à accepter son sort. Cela n'atténue en rien la sévérité avec laquelle Thomas s'applique à me rougir les fesses, il continue et continue sans faiblir, une tempête sauvage et interminable.

Je finis par me mettre à pleurer à chaudes larmes, là encore aucune pitié de la part de mon bourreau, il poursuit son office jusqu'à ce qu'il juge que ma sanction soit complète. Il s'arrête brusquement, relâche ma main, et pose la sienne sur mes fesses brûlantes. Je pleure toujours, je ne veux plus rien retenir et choisis de me laisser aller.

Après quelques minutes l'homme me fait basculer de ses genoux, me fait poser la tête sur sa cuisse et attend que je cesse de pleurer en caressant mes cheveux. Une fois calmée il me fait lever, et avant de sortir de la pièce, nous laissant seuls nous remettre de cette expérience, il me dit :

- Rhabillez-vous mademoiselle… Ou non…

En une seule soirée Marc a réalisé deux de mes fantasmes les plus fous. Je l’aime et sais que c’est réciproque. C’est la plus belle preuve d’amour qu’il m’est fait.

5 commentaires:

  1. Épisode très classe 😊
    On se demande jusqu'où iront ces deux là..

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  2. Ah quelle belle preuve d'amour....cela doit être excitant mais troublant comme expérience ...décidemment j'aime ces 2 héros de la fessée. Je ne m'en lasse pas...Crocodelle

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    1. Héléa, Crocodelle, je vais essayer de faire dde mon mieux... j'avoue que j'ai un peu le syndrome de la page blanche avec ces deux là... mais je vais continuer 😉

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  3. Et dire que j'ai failli rater cet épisode ! Situation particulièrement, terriblement excitante, que celle d'être confiée au tiers offensé et complice pour être châtiée par lui devant notre partenaire, complice, amant... qui se délecte du spectacle sous un angle inhabituel. J'adore 😳

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