jeudi 31 mai 2018

Dans les petits papiers



- Cléa, viens me voir s'il te plaît !
- Oui, j’arrive chéri, je sauvegarde !

Il est dans le bureau et moi dans le salon en train de jouer à la console.
Quand j’arrive dans le bureau, il me fusille du regard. Il m'a appelé il y a 15 minutes mais je n'avais pas envie de quitter ma partie.

- Quand je t’appelle tu viens de suite. Tu te fous de moi, tu joues à quoi là ?
- A assassin’s creed et je finissais ma quête donc…
- TU TE FOUS DE MOI !
- Bah non, je te réponds
- Ouch, Cléa je vais perdre patience. Bon, tu peux m'expliquer tout ce bordel ?

Il me dit cette phrase en me montrant tout un tas de papiers, mes papiers. Je ne les ai pas rangé, pas envie et surtout je déteste ça. Je viens devant lui, feignant la jeune femme vraiment désolée. Je me place entre ses jambes et commence à jouer avec son torse. J’essaie de l’amadouer, je ne veux pas de fessée, du moins punitive.

Mon tour de passe-passe ne donne rien, il croise les bras et durcit son regard. Il me prend le poignet et m’emmène directement au coin. Je souffle et claque des pieds comme une gamine.

- Tes mains !
- Au bout de mes bras !

Une sacrée claque, elle irradie ma cuisse. Je mets finalement les mains sur la tête. Il quitte le bureau, je l'entends monter 4 à 4 les escaliers, fouiller dans notre placard à jouets et redescendre aussitôt. Il arrive derrière moi et pose sur mes poignets les menottes en cuir. Je crois que ça va chauffer, il ne les met jamais pour rien.

- Viens ici !

Il est appuyé sur le bureau, les bras toujours croisés et est prêt à passer à l'action. Je m'avance vers lui et tente l'ultime espoir : un bisou. Il se laisse faire mais m'attrape le bras pour me plaquer sur sa cuisse. Je suis en jupe donc facile pour lui de la relever et de claquer directement sur la culotte. Il n'est vraiment pas content de moi. Sa main appuie à chaque mot. La cadence est élevée et dure à encaisser, d’autant plus que cette position lui donne tout le loisir de m'humilier. Il me redresse, baisse ma jupe pour de bon, celle-ci est vite rejoint par ma culotte.

- Je vais t'apprendre à ranger tout ce bordel !
- Mais j'ai pas envie, tu le fais si bien toi !
- Cléa ne joue pas au feu, tu vas finir par te brûler !
- Oh ! Et zut, c'est bon, je vaaaiiiissss…

Je n'ai pas eu le temps de finir ma phrase que je suis de nouveau sur ses genoux. Je n'avais pas envie de cette fessée alors je me débats. Il m'attache définitivement les mains, je ne pourrais plus tenter de me protéger. Du coup j'abandonne et subis cette correction qu'il veut exemplaire. Mes fesses chauffent très vite, sa main ne faiblit pas. Il n’alterne pas comme à son habitude mais s'acharne sur la fesse droite puis la gauche. Je bats des jambes, je lui promets (encore) que je vais ranger. Il s'arrête, caresse mes fesses brûlantes.

- Je ne t'ai jamais vu rougir aussi vite, ironise-t-il. Elles sont bien chaudes.
- Hum…
- Vas te calmer 5 minutes.

Je me redresse et me dirige vers mon endroit de pénitence. Les mains menottées sur la tête et les fesses chaudes. 5 minutes ça peut paraître peu mais c'est long quand on est dans cette posture.

- J'ai une seconde chose à te reprocher… on avait bien dit pas de site le weekend ?
- Oui mais…
- Je ne veux pas le savoir, tu me rappelle ce qu'on avait dit si jamais tu enfreignais cette règle ?
- S'il te plaît pas ça
- Cléa, réponds !
- Tu as dit que tu utiliserais ta ceinture
- Très bien, on y va alors.

Je me retourne sans qu'il ne me l'ai demandé, je le supplie du regard. Il reste de marbre et dans son rôle. Il tire sur les menottes pour que je vienne à lui et me penche sur le bureau. Le bruit de sa ceinture résonne encore dans ma tête : ce tintement significatif de la boucle, le passage dans les crans du jean, le claquement quand elle est pliée sur elle-même. Ouf ! Ça me fait plein de papillons dans le bas ventre.

Il caresse sensuellement mes fesses, les malaxe un peu. Puis plus un bruit, plus un mouvement sauf celui de son bras qui se lève. La ceinture est venue cingler mes fesses en un rien de temps. Je sens la bande s'imprimer sur ma peau. Je ne compte pas les coups mais il y en a plus de 10 voire 15. Il n'épargne aucun centimètre de mes fesses et descend même sur les cuisses. Je reste le plus immobile possible, seules mes jambes se soulèvent ou je me mets sur la pointe des pieds. Les mots qu'il choisit sont justes comme d'habitude. L'association des deux me fait perdre le contrôle, les larmes coulent, je pleure en silence. Finalement cette punition me fait du bien.

La ceinture tombe, il me redresse et me place au mur, enlève les menottes. Je me frotte les fesses. Ça fait un bien fou. Il me rappelle gentiment à lui, m'embrasse et me console.

Je devrais tout de même ranger mes papiers mais pour les sites, je négocie encore…

8 commentaires:

  1. Et on promet de ne plus faire la vilaine fille. Jusqu'à la prochaine fois…

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    1. C'est toujours comme ça... chassez le naturel il revient au galop 😁

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  2. La ceinture est vraiment un instrument très spécial à beaucoup d'égards... merci beaucoup pour ce récit

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    1. Pour ma part, la ceinture me fait pas mal d'effets autant psychologique que physique😉.

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  3. Sacrée Cléa, toujours à négocier. La ceinture sur les cuisses aïe aïe aïe.

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    1. Tout se négocie... respectueusement bien-sûr 😉.

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