Il est un peu moins de 9h00 et je réveille ma douce. Ses gémissements et son regard honteux de ce qui s’est passé la veille m’attendrissent.
- Coucou ma belle, bien dormi ? Prête pour une nouvelle journée ?
- Bonjour Monsieur, j’ai bien dormi mais j’ai mal aux fesses, me dit-elle à voix basse, je ris
- Allez lève-toi et vas te laver, je prépare tes vêtements.
Elle saute du lit sans dire un mot et sans que je n’ai besoin de le répéter. Quelques minutes plus tard, elle réapparait dans la chambre, nue. Je lui prépare sa jupe et un petit top rouge, elle enfile son soutien-gorge et cherche après sa petite culotte.
- Ne cherches pas, il n’y en a pas.
- Bien Monsieur !
Je crois que la punition d’hier soir fait ses preuves. Elle finit de s’habiller. Je lui ouvre la porte et la suis dans le couloir. On distingue encore sur ses cuisses les lanières du fouet et sur la naissance de ses fesses les stries de la branche. Nous arrivons dans la salle du petit déjeuner, il y a déjà 4 couples. Nous nous asseyons à une table non loin d’un autre couple et je fais signe à Lou d’aller me chercher mon petit-déj’. Elle me ramène un café avec des viennoiseries et un jus d’orange. Elle déjeune la même chose que moi sauf qu’elle finit par un yaourt. Elle se tient à carreaux, ce qui éveille la curiosité de notre voisin de table. Sa femme est aussi calme que Lou mais elle a l’air plus âgée. Nous entamons la discussion donc avec Philippe et Agnès, ils nous confient qu’ils font partie de notre monde. Nous échangeons nos anecdotes et habitudes, et décidons de passer la journée ensemble, ça nous changera un peu. Philippe nous emmène sur une plage à l’écart de la foule et me précise que beaucoup de couples « comme nous » viennent ici. Je jette un coup d’œil aux alentours et constate que c’est une plage naturiste, nos nouveaux amis sont déjà dévêtus. Je ne tarde pas à mon tour à me trouver nu, je me sens à l’aise en tenue d’Adam. Lou met un certain temps, ne serait-ce, qu’à retirer son top.
- Ne fais pas ta timide ma belle, retire tout.
- Oui mais euh… enfin hier… euh, elle balbutie.
Philippe l’interrompt
- Bah ne t’inquiète pas, on sait que tu t’es pris une dérouillée hier soir, on voit les traces de canne et de martinet. Dit-il en riant.
Elle me lance un regard noir
- Hop hop jeune fille, baisse les yeux tout de suite. Lui dis-je en prenant ma voix la plus dure possible.
- Déshabilles-toi ne fais pas l’enfant.
Elle s’exécute, je crois qu’elle a peur de se prendre une fessée devant tout le monde.
-Agnès aussi a des traces sur les fesses et ce n’est pas pour autant qu’elle en fait un cinéma, lui fis-je remarquer.
La journée se passe sans encombre et Lou est adorable. C’est agréable de la sentir calme et reposée après ces dernières semaines. Nous prenons congé de ce couple et je propose à Lou d’aller faire un tour en ville.
-Monsieur, est-ce que je pourrais avoir une glace s’il vous plait ? Me demande-t-elle
Elle a eu tellement de facilité à se mettre dans la peau d’une jeune fille bien élevée aujourd’hui, que j’en suis étonné.
- Oui, bien sûr. Après on ira se faire un petit ciné, ça te dit ?
- Oh oui, ça fait longtemps !
Tout en mangeant la glace, nous parcourons les rues piétonnes, elle s’attarde sur des bouquins et finit par en acheter quelques-uns. Nous nous orientons vers le cinéma.
- Le film était vraiment cool, j’ai adoré.
- Il est sympa c’est vrai, tu veux manger un truc ? La questionnais-je
- Non je n’ai pas très faim, mais après si vous avez faim on peut aller dîner, Monsieur.
- Bien il est 20h00 et mon estomac m’appelle.
Elle rit et me sourit, qu’est-ce qu’elle est belle ma douce. Nous continuons de marcher et je m’arrête devant une brasserie, ça fera l’affaire.
-On pourra aller se promener sur la plage Monsieur, s’il vous plait ?
J’hoche la tête tout en finissant mon verre de bière. Je crois qu’elle a une idée en tête, et ça me va. En arrivant sur la plage, nous nous déchaussons et marchons mains dans la main. Un moment très apaisant et agréable. Lou me tire par le bras et m’entraîne derrière une dune à l’abri des regards. Elle m’embrasse avec fougue, nous partons dans un câlin sablonneux mais intense.
Nous restons là quelques instants, histoire de reprendre nos esprits et nous nous dirigeons vers l’hôtel.
C'est notre dernière journée dans ce donjon et je compte bien l’utiliser jusqu’au bout. Lou se réveille doucement, elle saute du lit et court à la salle de bain quand elle ressort je lui ai préparé sa petite robe parme.
- Oh mais ce n’est pas un peu trop habillé, Monsieur ?
- Non, je trouve qu’elle t’assagit en fait ! Et comme hier tu as été docile, elle te va à merveille ce matin, ricanais-je
- J’ai une faim de loup ! S’exprime-t-elle de vive voix.
- Alors descendons, allez hop plus vite jeune fille.
Je lui claque les fesses et nous partons pour la salle du petit-déjeuner. Nous nous attablons côté de nos amis fraîchement rencontrés. Lou dévore le buffet.
Elle saute du lit sans dire un mot et sans que je n’ai besoin de le répéter. Quelques minutes plus tard, elle réapparait dans la chambre, nue. Je lui prépare sa jupe et un petit top rouge, elle enfile son soutien-gorge et cherche après sa petite culotte.
- Ne cherches pas, il n’y en a pas.
- Bien Monsieur !
Je crois que la punition d’hier soir fait ses preuves. Elle finit de s’habiller. Je lui ouvre la porte et la suis dans le couloir. On distingue encore sur ses cuisses les lanières du fouet et sur la naissance de ses fesses les stries de la branche. Nous arrivons dans la salle du petit déjeuner, il y a déjà 4 couples. Nous nous asseyons à une table non loin d’un autre couple et je fais signe à Lou d’aller me chercher mon petit-déj’. Elle me ramène un café avec des viennoiseries et un jus d’orange. Elle déjeune la même chose que moi sauf qu’elle finit par un yaourt. Elle se tient à carreaux, ce qui éveille la curiosité de notre voisin de table. Sa femme est aussi calme que Lou mais elle a l’air plus âgée. Nous entamons la discussion donc avec Philippe et Agnès, ils nous confient qu’ils font partie de notre monde. Nous échangeons nos anecdotes et habitudes, et décidons de passer la journée ensemble, ça nous changera un peu. Philippe nous emmène sur une plage à l’écart de la foule et me précise que beaucoup de couples « comme nous » viennent ici. Je jette un coup d’œil aux alentours et constate que c’est une plage naturiste, nos nouveaux amis sont déjà dévêtus. Je ne tarde pas à mon tour à me trouver nu, je me sens à l’aise en tenue d’Adam. Lou met un certain temps, ne serait-ce, qu’à retirer son top.
- Ne fais pas ta timide ma belle, retire tout.
- Oui mais euh… enfin hier… euh, elle balbutie.
Philippe l’interrompt
- Bah ne t’inquiète pas, on sait que tu t’es pris une dérouillée hier soir, on voit les traces de canne et de martinet. Dit-il en riant.
Elle me lance un regard noir
- Hop hop jeune fille, baisse les yeux tout de suite. Lui dis-je en prenant ma voix la plus dure possible.
- Déshabilles-toi ne fais pas l’enfant.
Elle s’exécute, je crois qu’elle a peur de se prendre une fessée devant tout le monde.
-Agnès aussi a des traces sur les fesses et ce n’est pas pour autant qu’elle en fait un cinéma, lui fis-je remarquer.
La journée se passe sans encombre et Lou est adorable. C’est agréable de la sentir calme et reposée après ces dernières semaines. Nous prenons congé de ce couple et je propose à Lou d’aller faire un tour en ville.
-Monsieur, est-ce que je pourrais avoir une glace s’il vous plait ? Me demande-t-elle
Elle a eu tellement de facilité à se mettre dans la peau d’une jeune fille bien élevée aujourd’hui, que j’en suis étonné.
- Oui, bien sûr. Après on ira se faire un petit ciné, ça te dit ?
- Oh oui, ça fait longtemps !
Tout en mangeant la glace, nous parcourons les rues piétonnes, elle s’attarde sur des bouquins et finit par en acheter quelques-uns. Nous nous orientons vers le cinéma.
- Le film était vraiment cool, j’ai adoré.
- Il est sympa c’est vrai, tu veux manger un truc ? La questionnais-je
- Non je n’ai pas très faim, mais après si vous avez faim on peut aller dîner, Monsieur.
- Bien il est 20h00 et mon estomac m’appelle.
Elle rit et me sourit, qu’est-ce qu’elle est belle ma douce. Nous continuons de marcher et je m’arrête devant une brasserie, ça fera l’affaire.
-On pourra aller se promener sur la plage Monsieur, s’il vous plait ?
J’hoche la tête tout en finissant mon verre de bière. Je crois qu’elle a une idée en tête, et ça me va. En arrivant sur la plage, nous nous déchaussons et marchons mains dans la main. Un moment très apaisant et agréable. Lou me tire par le bras et m’entraîne derrière une dune à l’abri des regards. Elle m’embrasse avec fougue, nous partons dans un câlin sablonneux mais intense.
Nous restons là quelques instants, histoire de reprendre nos esprits et nous nous dirigeons vers l’hôtel.
C'est notre dernière journée dans ce donjon et je compte bien l’utiliser jusqu’au bout. Lou se réveille doucement, elle saute du lit et court à la salle de bain quand elle ressort je lui ai préparé sa petite robe parme.
- Oh mais ce n’est pas un peu trop habillé, Monsieur ?
- Non, je trouve qu’elle t’assagit en fait ! Et comme hier tu as été docile, elle te va à merveille ce matin, ricanais-je
- J’ai une faim de loup ! S’exprime-t-elle de vive voix.
- Alors descendons, allez hop plus vite jeune fille.
Je lui claque les fesses et nous partons pour la salle du petit-déjeuner. Nous nous attablons côté de nos amis fraîchement rencontrés. Lou dévore le buffet.
- Je constate que tu te décides enfin à te nourrir, mais c’est de ta faute si tu as si faim que ça ce matin
- Oui che chais, mais z’avais pas faim. Me dit-elle la bouche pleine.
- Crois-tu que c’est une façon de se tenir en public ?
Elle baisse la tête et finit d’avaler ce qu’elle a en bouche
-Pardon Monsieur, s’excuse-t-elle timidement
-Je vais t’apprendre à parler la bouche pleine ! On va régler ça !
Je sens les regards se tourner vers nous, je me lève et attrape Lou par le bras et nous montons. Un silence s'est installé entre nous. C'est une excuse un peu futile mais ça ira très bien pour profiter une dernière fois de cette chambre.
- Oui che chais, mais z’avais pas faim. Me dit-elle la bouche pleine.
- Crois-tu que c’est une façon de se tenir en public ?
Elle baisse la tête et finit d’avaler ce qu’elle a en bouche
-Pardon Monsieur, s’excuse-t-elle timidement
-Je vais t’apprendre à parler la bouche pleine ! On va régler ça !
Je sens les regards se tourner vers nous, je me lève et attrape Lou par le bras et nous montons. Un silence s'est installé entre nous. C'est une excuse un peu futile mais ça ira très bien pour profiter une dernière fois de cette chambre.
Oh c'est la fin... En tous les cas jolie histoire, merci Cléa
RépondreSupprimerÇa sent la fin de ce week-end oui mais pas la fin de Marc et Lou 😉
SupprimerJ'adore le "oui che chais" c'est trop drôle! Ca sent le vécu 😆
RépondreSupprimerC'est ma petite touche personnelle 😉
SupprimerIl n'y a pas qu'eux qui vont en profiter… L'entourage aussi. ;)
RépondreSupprimerOh oui !!
Supprimer