jeudi 3 mai 2018

Marc & Lou (4)




Ses fesses sont déjà bien rouges, je continue à lui maintenir les jambes mais ma main commence à être douloureuse. J’attrape la brosse que j’avais posée juste à côté. 

-Je veux que tu te calmes !
-Mais j’ai mal. Pleurniche-t-elle
-Je ne veux pas le savoir.

Je sens son corps se détendre, j’ai arrêté les coups pour le moment et je lui masse les fesses. Elle baisse la tête, renifle et pose ses mains attachées sur le sol. J’écarte l’une de ses jambes pour atteindre son intimité, et la rendre un peu plus humiliée. Je passe ma main sur son sexe luisant, elle gémit, j’y mets un doigt et fais quelques allers-retours, je me retire et pose la brosse sur une de ses fesses.

-Non, s’il vous plait Monsieur, pas la brosse, m’implore-t-elle.

Je ne lui réponds pas et continue à passer l’instrument sur ses fesses, je lève la main, Lou se raidit et resserre les fesses mais je ne lui mets pas de coup. Je voulais simplement voir sa réaction, je pose délicatement la brosse sur ses si jolies demi-lunes. Je l’entends souffler de soulagement, et là je lève pour de bon la main et recommence à fesser.

Elle sursaute et couine à chaque coup. J’alterne toujours, ses fesses commencent à changer fortement de couleur et à virer au rouge vif. La brosse fait un bruit sourd, Lou est toujours mains liées et jambes entravées mais elle gigote de plus en plus et j’ai du mal à la maintenir comme il faut.

-Arrête de bouger comme une gamine, dis-je à bout de souffle.
-Oh !!! S’il vous plaît, stop

Ce n’est pas pour autant que j’en ai fini avec elle mais je fais une pause histoire qu’elle reprenne ses esprits. Je relâche ses jambes pour la replacer comme il faut sur mes genoux, je la caresse avec les poils de la brosse ce qui la fait de nouveau gémir. J’en profite pour reprendre un peu d’air, parce qu’elle est coriace cette jeune fille. Elle se détend, je reprends donc la punition mais cette fois-ci en appuyant un peu plus, ce qui lui arrache des cris et des pleurs. Je la maintiens par les hanches et le moment que j’attendais arrive, elle s’abandonne sous mes coups. Son corps se relâche totalement, ses fesses ne se contractent plus, sa tête est baissée, je l’entends pleurer. J’ai enfin obtenu ce que je voulais : l’abandon. Je me stoppe net, la relève et l’entraîne doucement au coin par les cheveux nattés.

-Les mains sur la tête et je ne veux pas t’entendre ! Lui ordonnais-je.

Elle ne bouge plus. Ses fesses sont d’un rouge cramoisi uniforme. Je vais me doucher et lorsque je fais irruption dans la chambre, je viens me coller à elle. Je la retourne, lui ôte son chemisier, tire sur le nœud de son soutien-gorge libérant ainsi ses jolis seins, descends sa jupe, elle lève une jambe puis l’autre pour se défaire de celle-ci. Je la fais mettre à genoux juste devant moi et à hauteur de mon membre en rut.

-Monsieur ?!
-Oui, qu’y a-t-il ?
-Je vous remercie pour cette punition.
-Très bien, mais sache que ta punition n’est pas encore finie, répondis-je en plaçant ma main sur sa tête.

Elle me regarde et prend mon sexe en bouche et commence des vas et viens divins. Elle accélère la cadence et j’ai de plus en plus de mal à me contenir. Je me dégage de sa gorge et la fais mettre debout. Je la fixe tout en regardant la table et lui fais signe de se pencher sur celle-ci. Je la cambre et me pose sur l’entrée de son abricot tout mouillé. Elle est si jolie avec ses fesses rouges maintenues par le porte-jarretelle et les bas. Je lui attrape les cheveux et entre en elle comme un fou, je me déhanche et me défoule sur elle. Lou en jouit après quelques coups, je pose mes deux mains sur ses épaules l’écrasant sur la table et finis par jouir à mon tour. Je m’écroule sur elle. Je la porte pour la mettre dans le lit et viens me blottir contre elle tout en lui massant les fesses. Elle me souffle un « Merci Monsieur ».



Il est 19h00, je lui demande d’enfiler une de ses tenues de soirée ; la robe noire au joli décolleté. Quant à moi, je mets un costume noir avec une chemise grise brillante, celle qu’elle m’a offerte. Elle est magnifique dans sa jolie robe noire, je constate qu’elle a laissé le porte-jarretelle et les bas. J’ai envie de vérifier si elle a mis une culotte, je passe la main sous sa robe.

-Eh bien jeune fille, est-ce une tenue ?
-Pour vous, c’est la meilleure tenue, avoue-t-elle en rougissant.

Le pire c’est qu’elle a raison, elle enfile ses talons, je la prends par la main et nous descendons. Nous passons par le hall où le maître d’hôtel nous fait un signe de tête. Il peut constater que ma protégée est toujours aussi calme qu’à son arrivée. Je lui signale que demain nous petit-déjeunerons dans la chambre et nous sortons.

3 commentaires:

  1. Heu, j'ai un peu chaud là Cléa. Joli récit, encore une fois. Bon, douche.

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