vendredi 8 mai 2020

Le journal de Charlotte (7)

Mobilier de terrasse professionnel pour les restaurants, comment ...
J’ai enfin pris mon courage à deux mains, j’ai dit à Philippe que j’étais enfin prête pour une rencontre. Seulement, ces derniers temps mon comportement avec lui n’a pas été des plus exemplaires et il faut que j’assume. Alors les punitions à distance c’est bien mais le réel c’est mieux. J’avais reçu quelques instructions au fur et à mesure de nos échanges. Nous avions convenus que nous nous verrions pour un week-end complet. 

Philippe m’a donné rendez-vous un vendredi soir, dans un café pas trop loin de chez lui. Je connais sa voix mais le reste c’est le flou total. Il m’a dit qu’il porterait une chemise grise et un jean, bon moi je craque pour ce genre de vêtements sur un homme. J’ai mis une jupe, des bas, un petit pull léger et une veste mi- saison, rien de trop sexy mais une tenue qui fait son petit charme. 

Je suis devant le dit café. Je vois cet homme attablé en train de fumer. Je me fais discrète et fais semblant de ne pas le voir. J’entre et m’installe. Je joue avec mon téléphone, lui envoie un message en lui disant que je suis arrivée puis je patiente. Le voilà, il est grand, le regard strict, son attitude l’est tout autant. 

- Bonjour Charlotte 

Je lève les yeux, reste bouche bée et immobile. Sa main me prend par le bras pour m’aider à me lever pour le saluer. 

- Bonjour Philippe. 

Nous commandons nos boissons tout en entamant une discussion sur les débordements de ces derniers temps. Il est sévère dans ses paroles mais surtout il a un ton sec, il sait exactement les mots qui m’atteignent. Je me sens toute petite. Je suis soudain une soumise docile et calme qui est moins têtue que d’habitude. Philippe reste le même qu’au téléphone. 

Les choses sont dites et annoncées. Je le suis non loin du bar, nous marchons une dizaine de minutes. Bizarrement Philippe me tient par la main telle une enfant, mais je me laisse faire. J’aime sa façon d’être avec moi. Il est protecteur et strict en même temps. Nous arrivons devant une maison, nous entrons, là le ton change. Je suis prise par l’oreille pour être mise au coin ainsi. Philippe me prend les mains et me les pose sur la tête. Je reste au coin un long moment ainsi. 

- Charlotte, viens ici me voir. 

Je ne pipe pas un mot, me retourne et me dirige vers lui toujours avec les mains sur la tête. Philippe est installé dans son canapé, une tasse de café vide posée sur le côté. Je me place devant lui, il se lève, baisse ma jupe d’un trait. Il me gronde tout en me basculant sur ses genoux. Les premières claques ne se font pas attendre. Elles sont grandes et sèches. Sa main alterne bien toutes les parties de mes fesses. J’essaie de rester immobile pour ne pas le contrarier d’avantage. 

- Tu as déjà les fesses bien rouges, jeune fille et ce n’est que le début. 

Il passe sa main sur mes fesses, les masse et les taquine. Je frissonne. Il me relève, entame de nouveau un sermon. Je ne peux pas lever les yeux, je fixe mes pieds sans rien dire. 

- Charlotte réponds-moi ! 

Je suis incapable d’ouvrir la bouche, sa réaction se fait immédiate. Philippe se lève, met un pied sur le canapé et me bascule sur sa jambe. De nouveau de grandes claques s’abattent sur mon fessier. Je ne peux m’empêcher de battre des jambes. 

- Ma question est simple, Charlotte ? Que mérites-tu pour toutes tes bêtises ? 
- Une fessée mais c’est bon vous êtes en train de me la donner ! 
- Change de ton avec moi, tu n’es pas dans une bonne posture. 

Sur mes dires, Philippe m’assène des claques sur les cuisses. Je me débats pour retrouver le sol mais je suis bien maintenue. Une autre série de claques me fait comprendre que je dois arrêter de bouger. 

- Je mérite une fessée Monsieur. 
- Et comment doit être mise cette fessée, Charlotte ? 
- A la main Monsieur 
- Et ensuite Charlotte ? 
- A La brosse Monsieur. 
- Bien Charlotte. 

Philippe me repose sur le sol, se dirige vers un tiroir. Il revient vers moi, me montre l’objet avec un certain sourire et le pose sur l’accoudoir du canapé. 

Il tend ses mains sur mon bassin, fait glisser ma culotte aux genoux. Il me prend la main et me tire à lui. À peine en position, mes fesses sont déjà giflées sans ménagement. Les claques sont réparties entre mes cuisses, mes fesses et la naissance de celles-ci. Je croise, décroise les chevilles, je serre les poings. J'encaisse sans trop rien dire. Philippe marque une pause, joue de nouveau avec mes fesses en les massant et les caressant. Je reste calme et immobile. Son bras passe au dessus de ma tête, je sais ce qu’il vient de prendre ; la brosse, le moment que j’appréhende le plus. Il fait glisser celle-ci sur mes fesses. Avant que je n’aie pu prendre ma respiration, il abat la brosse 3 fois sur chaque demi-lune. La douleur est vive et ne se fait pas attendre. Les coups s’enchaînent à une vitesse soutenue. Je bats des pieds tout en promettant de ne plus recommencer, je lâche les larmes. Cette fessée dure un long moment. Je n’en peux plus, je suis à bout, je pleure à chaudes larmes, mes fesses sont bouillantes. Elles me font très mal. Je suis envoyée au coin les mains sur la tête avec les fesses en feu. Je sens les marques se faire au fur et à mesure. 

Histoire de boucler cette punition, Philippe me signale que je vais recevoir 15 coups de ceinture. Habituellement j’aime cet instrument mais là je ne sais pas si je vais pouvoir supporter. Penchée sur la table, je reçois les 15 coups en hurlant à chaque fois. Le cuir s’imprime sur ma peau déjà meurtrie par cette foutue brosse. 

Philippe pose sa main sur mes fesses me signalant ainsi que la punition est finie. Mon bourreau me prend dans ses bras. Il me calme en me disant que j’ai été courageuse. Il m’embrasse sur le front et me laisse récupérer au coin. Une dernière fois, Philippe me prend dans ses bras pour me consoler tendrement. 

- Tu me promets de te calmer, Charlotte ? 
- Oui Monsieur. 
- Tu vas obéir ? 
- Oui Monsieur. 
- Nous allons donc passer un bon week-end sans nouvelles fessées 
- Oui Monsieur.

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