jeudi 26 avril 2018

Marc & Lou (3)


Il s’arrête à ma hauteur. Je me sens toute chose et ne sais plus quoi penser. Je sens et vois son excitation, je commence à sourire. Mais là, son visage change du tout au tout et le dominant prend le dessus sur le mari. Il a l’air sérieux, les yeux colériques et qui verdissent fortement, ses lèvres se pincent légèrement.

-Je ne suis pas là pour rire. Me lance-t-il. Nous avons quelques comptes à régler jeune fille. Je n’apprécie pas le comportement que tu as eu avec moi ces dernières semaines, ta désinvolture et ton agressivité envers moi ! Je n’aime pas non plus que tu remettes tout en question quand je t’ordonne des choses.
-Ah mais Chéri s’il te plaît…
-Tu te tais !!! Je parle, tu n’as rien à dire, et ne changes pas la donne ce n'est plus chéri mais Monsieur.Tu vas apprendre à respecter et à aimer. Insiste-t-il. Je veux que tu m’obéisses sans te poser de questions ! J’en ai assez de ce comportement de gamine, d’où ta tenue. Me dit-il très froidement.
-Oui Monsieur, je vous prie de bien vouloir m’excuser Monsieur, dis-je en baissant la tête.
-Tu sais ce que tu as à me dire ?

Je le regarde toujours les yeux remplis de larmes et j’entrouvre la bouche mais rien ne sort, mes jambes tremblent et son regard se fait insistant. Je sais que la punition va tomber et que je ne pourrais rien y faire mais j’essaie de retarder l’échéance.

-N’essaie pas de gagner du temps.

J’ai l’impression qu’il lit dans mes pensées. Je n’arrive toujours pas à prononcer quoi que ce soit. Une claque tombe sur ma cuisse gauche, ça pique et je sais que sa main va rester imprimée.

-Pardon Monsieur. J’avale ma salive et je continue. Je n’ai pas été très sage ces derniers temps voire même très insupportable, je vous ai manqué de respect à plusieurs reprises et j’ai remis certains de vos souhaits et ordres en questions. Je fais une pause car cet exercice me demande beaucoup et les larmes commencent à couler le long de mes joues.
-En effet ce n’est pas digne mais j’attends la suite.
-Monsieur, je crois que je mérite une punition exemplaire. Je lâche cette phrase avec une petite voix.
-Oui et quelle genre de punition crois-tu qu’il te faudrait ? M’interroge-t-il.
-Une fessée déculottée Monsieur.

Sans que je comprenne, il se lève, m’attrape le poignet et m’entraîne au milieu de la pièce en me faisant mettre les mains sur la tête. Je suis face à la croix de Saint André.  Je ne vois pas ce qu’il fait mais j’entends une chaise traînée. Il vient se poster derrière moi.

- Ton vœu va être exaucé.
-Pardon Monsieur, pardon.

En lui disant ces mots, il me prend par le bras et m’attire vers la chaise, il s’assoit et me fait basculer en travers de ses genoux. Les claques commencent à tomber, il alterne la fesse droite et gauche mais sa main se fait insistante et lourde. Je gesticule, je bats des jambes mais rien y fait, je ne couperai pas à ma punition qui, il faut le dire, est méritée. Je l’implore de s’arrêter et lui dis que je ne recommencerai plus.

-Tu peux dire ce que tu veux, tu mérites cette fessée et tu le sais.

Sur ces dires il me trousse la jupe et me voilà fesses à l’air et prêtes pour la punition. Il me les caresse, un petit moment de répit. Elles me brûlent mais rien de bien méchant. Sa main est si douce, mais mon corps tremble de peur, je suis dans un tel état. Il passe sa main une nouvelle fois sur mes fesses et mes cuisses. La fessée recommence, cette fois-ci  je ne bouge pas et encaisse sans rien dire, les claques pleuvent et mes fesses rougissent. Ça commence à me faire mal, je m’accroche aux barreaux de la chaise, sa main continue et ne cesse d’accélérer. Je ne tiens plus, mes fesses me piquent, je mets ma main pour me protéger.

-Houlà ! Grossière erreur jeune fille

Il sort de sa poche un foulard, me relève et m’attache les mains. Marc me bascule de nouveau sur ses genoux, et avant que je n’ai pu dire quelque chose il reprend la fessée, sa main n’alterne plus. Il s’acharne sur une fesse puis sur l’autre.

-S’il vous plait, stop, j’ai mal
-Mais c’est bien là le but, il fallait faire attention à ton comportement. Me dit-il en continuant de me fesser.

Mes jambes volent et je me cambre de plus en plus, les larmes coulent sous les coups de sa main. Je me débats mais Marc coince mes jambes entre les siennes et pour continuer dans l’humiliation il me tire les cheveux. Mes fesses chauffent de plus en plus et je sens qu’il faiblit, sa main doit certainement lui piquer aussi.

2 commentaires:

  1. Hé bien il me semble que la pauvre Lou n'a pas fini de souffrir...

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