On s'était promis de se revoir, je n'allais pas être déçue. T avait tout organisé avec Jérôme et je ne voulais rien savoir. Cette situation m'excitait au plus haut point et je devenais impatiente et même agaçante. Le jour J, T et moi nous dirigions vers le café où la 1ere rencontre avait eu lieu. Nous avons reconnu Jérôme mais…. Il n'était pas seul, une jeune femme était assise en face de lui. Je me suis stoppée net, j'ai regardé T avec des yeux qui disent « Non mais sérieux ! ». Il m'a pris la main, la serrée un peu et m'a tiré vers la table de ce fameux couple.
Après les présentations, nous avons échangé autour d'un verre. J’étais assise à côté de Jérôme et T à côté de Camille. Je n'en revenais pas…. Camille nous a expliqué qu'ils s'étaient aussi connus sur le site et que de fil en aiguille, ils se sont rapprochés et que maintenant ils partageaient notre passion. Nous sommes restés un long moment à discuter et j'ai fini par craquer la 1ere.
- On s'en fout royalement sur quoi tu travailles. Dis-je à Jérôme
- Cléa, tu te fous de moi ! Je t'ai demandé d'être correcte et polie aujourd'hui. Me gronde T
- Bah oui, mais c'est ennuyeux, que veux-tu que ça nous fasse les machines qui transportent des luges avec voitures dessus ?
J'avais l'impression d'avoir protesté dans le vide, ils m'ont regardé tous les deux et ont continué leur conversation très ennuyeuse. Je n'ai rien trouvé de mieux à faire que de singer T, je suis partie dans une imitation farfelue, dans laquelle il me grondait parce que j'avais fait une bêtise. Là bizarrement, ils m’entendaient et n'ont pas apprécié du tout cette petite comédie. Camille, elle avait bien ri et surtout elle avait commencé à imiter Jérôme.
T s'est levé et est allé régler l'addition. Quant à Jérôme, il n'a pas ouvert la bouche mais ses yeux en disaient long. T réapparu et Jérôme et lui décidèrent, qu'il était temps de nous montrer les conséquences de notre insolence.
L'endroit n'avait pas changé. T me traîne en plein milieu de la pièce et s'assoit dans le canapé, je suis comme une gamine qui va se prendre un savon. Camille, elle se retrouve plus vite que prévu sur les genoux de Jérôme. Tous les deux nous grondent à tour de rôle, T m'envoie au coin avec les mains sur la tête. Jérôme commence à fesser Camille, elle gémit dès les 1eres claques et pourtant elle a un jean qui fait barrage. J'entends le bruit des claques qui s'accélèrent, je n'ai qu'une envie : me retourner, j'ai envie de voir !! Je lutte contre moi-même et puis zut… Je me retourne. Camille est debout devant Jérôme qui ne parle plus mais il lui baisse le jean et la culotte, il la bascule de nouveau sur ses genoux et reprend de plus belle. Les fesses de Camille sont de plus en plus rouges et elle tente par tous les moyens de se protéger mais son fesseur en avait décidé autrement. Il avait coincé les jambes de Camille entre les siennes et tenait fermement les poignets dans le dos de sa protégée. La fessée a duré assez longtemps pour que ça me mette en émoi et je commençais à me dandiner un peu trop. T n'avait pas encore vu que je n'étais plus contre le mur mais à force de bouger, il se tourna vers moi.
- Tu te fous de moi ? Je ne t'ai pas dit de mettre le nez contre le mur ? Viens ici de suite !!
Je me suis dirigée vers lui, toujours les mains sur la tête. T a baissé mon pantalon et culotte immédiatement et m'a fait signe de venir sur ses genoux. Camille recevait toujours sa fessée et Jérôme continuait de la sermonner pour d'autres bêtises. T a posé sa main sur mes fesses, m'a enlacé autour de la taille, la fessée a commencé. Elle était forte d'entrée, les claques sont très appuyées et T me gronde, il n'a vraiment pas apprécié ma petite plaisanterie. Je ne bougeais pas, en même temps je ne pouvais pas. J'entends soudain Camille pleurer et les claques se sont progressivement arrêtées.
Moi, mes fesses me piquaient de plus en plus et je tentais tant bien que mal de me les couvrir, ce qui me valut quelques claques sur les cuisses. J’avais croisé les chevilles pour éviter que mes jambes ne partent dans tous les sens. Dans un moment de répit, j’ai relevé la tête pour regarder Jérôme et Camille. Cette dernière se tenait juste à côté de lui les mains sur la tête et les fesses bien rouges, et lui avait un léger sourire de satisfaction. Je ne pus m’empêcher de lui tirer la langue, je ne sais même pas pourquoi j’ai fait ça mais je l’ai fait. T a repris la fessée et des claques plus fortes se sont abattues sur mon séant, les larmes commençaient à monter mais je me détendais de plus en plus et enfin je lâchais prise. T me releva et Jérôme en profita pour lui rapporter ma petite faute.
- Cléa, tu as une explication pour ce geste ? m’interrogea T
- …
- C’est bien ce qu’il me semblait, tu as donc activé ton mode crocodile. Jérôme que penses-tu d’une seconde fessée immédiate pour cette jeune insolente ?
- Oh mais je suis entièrement d’accord avec toi, une jeune femme n’a pas le droit de tirer la langue et surtout pendant une fessée.
Moi qui pensais retourner sur les genoux de T après cette longue fessée, je fus surprise quand il me poussa gentiment vers ce qui allait être mon second fesseur. Je n’ai pas eu le temps de dire ouf, que Jérôme m’a mise en travers de ses genoux, prenant bien soin de me bloquer les jambes et les poignets. Mes fesses étaient déjà bien chaudes et il n’a pas pris de gants, les claques ont été fortes d’entrée, il avait la main beaucoup plus lourdes que mon homme. Il me gronda tout en continuant son œuvre. Je ne voulais pas pleurer mais là ç’en était trop, les larmes se sont mises à couler et je lui demandais pardon à tour de bras enfin de claques. Il s’est arrêté aussi vite qu’il avait commencé, cette seconde fessée était courte mais intense. Il m’a relevé et je lui ai promis que je ne tirerai plus la langue. T m’envoya au coin et nos deux acolytes se sont reposés après tant d’efforts.
Au bout d’un long moment nous avons eu le droit de nous présenter devant eux, et ils exigeaient une chose : nos excuses
- Jérôme, Chéri, je vous prie de bien vouloir m’excuser, mon comportement n’était pas digne et vous avez eu raison de me remettre dans le droit chemin.
Ces mots, je détestais les prononcer mais dans mon intérêt il valait mieux capituler. Camille, qui n’avait pas l’habitude des excuses, me copia grossièrement. Nos excuses étant acceptées par nos fesseurs, nous avons pu remonter nos culottes et jean.
Nous sommes sortis de l’appartement et nous avons décidé de manger ensemble. La soirée fut bonne et nous (les filles) avons été très sages et dociles, ce qui amusait T et Jérôme.
Merci pour cette histoire qui ne manque pas de piquant!
RépondreSupprimerHé bien hé bien, vous y allez fort les filles lol. Moi je n'oserais pas...
SupprimerCe n'est qu'une fiction avec un soupçon de réalité.
SupprimerJ'ai déjà tiré la langue à Monsieur au moment d'un passage au coin... je l'ai vite regretté ��
M'étonne pas tiens ! Sinon je lis souvent des mélanges fiction/réalité. De mon côté je les différencie, ceci-dit mes fictions, forcément, sont alimentées aussi par un peu de vécu... Forcément lol.
SupprimerTrès stimulant la double fessée. Quant à tirer la langue, que c'est vilain! Mais c'est la mode (avec les grimaces) à l'heure actuelle sur les photos. Que les mains me démangent quand je vois ça!!!! ;)
RépondreSupprimerJe fais partie des filles qui tirent facilement la langue mais ça m'attire souvent des ennuis... (Après tout j'aime ça les ennuis lol)
SupprimerAutre temps autre moeurs, je comprends mieux l intérêt du masque aujourd'hui 😂
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