vendredi 23 mars 2018

Rencontre

Il fait beau et le soleil commence à chauffer légèrement, T et moi décidons d'aller nous balader dans la fameuse ville aux bêtises. Après une ballade au parc et une bonne heure à flâner le long de vitrines, nous nous arrêtons au premier café que nous rencontrons. Nous nous y attablons en terrasse, je commande un diabolo fraise et T une Leffe Rubie. À côté de nous, un homme au regard très sérieux et penché sur ce qui semble être des plans de machines.

- C'est quand même dommage de devoir travailler par un si beau soleil ! Je lâche cette phrase discrètement.
- Oui c'est sûr mais tout le monde n'est pas en congés comme nous, bébé.

L'homme sourit et lève enfin les yeux de ses plans.

- Vous savez, c'est quand même agréable de travailler dehors, jeune fille.

Oh bin mince alors, cet homme se permet bien des choses. Je baisse les yeux et rougis comme une tomate. T me regarde amusé, je continue de siroter mon diabolo, nous reprenons notre conversation…

- Attention, Cléa, ne me prends pas pour un idiot et fais attention à tes fesses.

Il avait prononcé cette phrase sans retenue, et notre voisin de table avait haussé les sourcils et sourit. Je reste sans voix, il ne me menace que rarement devant d'autres personnes. Je regarde de nouveau cet inconnu qui sourit toujours .

- Quoi !?! Ça vous dérange ?
- Oh non, bien au contraire, jeune fille
- Alors, arrêtez de sourire bêtement
- Cléa !!! Ton vocabulaire ! Intervient T.

Je ne dis plus rien et les hommes engagent la conversation, mais il y a 2 ou 3 phrases qui me mettent la puce à l'oreille.

- Mince !!!! Jérôme !
- Il t'en aura fallu du temps !?

Je soupçonne fortement ces deux là de s'être mis en contact et d’avoir planifié ce petit échange. Je suis rouge de honte, non seulement T avait fait ça en douce mais Jérôme y prenait un malin plaisir. De fil en aiguille, les deux compères décident que notre conversation devrait continuer dans un endroit un peu plus isolé.

- Je connais un endroit où nous pourrons montrer à cette jeune fille ce qui se passe quand on parle mal aux adultes. Lance Jérôme tout fier de lui
- Très bien, on te suit.

T me tend la main et nous le suivons. Il nous emmène dans un quartier pavé à quelques rues de l'endroit où nous étions. Nous montons dans un appartement, le lieu est sommairement décoré : un bureau et une chaise à droite et au centre de la pièce un canapé, une petite table basse, sur la droite une porte donne sur une kitchenette et un couloir.

T s’installe sur le canapé, Jérôme s'assied derrière le bureau et moi je reste plantée là, terrifiée. J'ai tellement taquiné Jérôme sur le site que je suis sûre qu'il va me le faire payer.

- Alors, tu crois que ton comportement est digne d'une jeune femme de 28ans ? Brise, ce silence insoutenable, T
- ……
- Je veux que tu répondes Cléa quand je te parle !
- Non, ce n'est pas un comportement exemplaire.
- Notre hôte, en a été témoin et je ne saurai rester sans te punir
- Non, s'il te plait
- Alors petit crocodile, on se défile maintenant, plaisante Jérôme

J'aurais voulu répondre mais rien ne sort. T me tend les mains, j'inspire profondément et je les prends. Sans pouvoir dire ouf, je suis sur ses genoux, T me sermonne mais je ne comprends rien du tout, mon esprit est ailleurs. Les premières claques tombent, elles ne sont pas fortes mais me surprennent quand même. Après une vingtaine de claques, T relève ma jupe et laisse apparaitre ma culotte en satin bleue. Il reprend la fessée tout en augmentant l'intensité. Je commence à gesticuler et j'oublie totalement la présence de notre voisin de table, jusqu'au moment où T décide de passer sa main sur le haut de ma culotte.

- Non pas ça ! Laisse-moi ma culotte. Ai-je protesté en m’y agrippant fermement.
- Alors là, ce n'est pas négociable, une fessée se donne déculottée. Me dit T tout en me claquant la main et la cuisse
- S'il te plait pas devant Jérôme.

Il y eu un gros fou rire entre ces deux bourreaux. Je me sentais si bête d'avoir parlé de mes fantasmes mais il faut bien avouer ça m'excitait quand même. J'ai lâché ma culotte et j'ai baissé la tête le plus possible. La fessée a repris de plus belle, mes fesses ont très vite chauffées et mon cœur s'est vite emballé. Je ne contrôlais plus rien, ni mes mouvements, ni mes petits gémissements. Ma culotte s'est vite retrouvée à terre avec ma jupe et mes ballerines, je transpirais et j’avais chaud. T a réajusté ma position, et sa main a repris une cadence infernale, les larmes commençaient à monter mais il était hors de questions que je pleure devant Jérôme. Et puis plus rien, T avait stoppé net, je suis restée figée sur ses genoux, haletante et émue. Il me fit lever et m'emmena vers le bureau où il me pencha. J'ai regardé furtivement Jérôme qui n'en perdait pas une goutte, ce dernier se lève et passe de l'autre côté du bureau. Je me relève pour protester ce qui me vaut deux grosses claques sur les cuisses.

- Alors, dis-moi, il paraît que tu as des jouets que Cléa serait curieuse de tester ? Interroge T.
- Oh oui, un joli martinet en caoutchouc noir et un paddle souple. Dit Jérôme tout enthousiaste.
- Eh bien, je te laisse l'honneur de les tester si tu veux ?!
- Euh non, moi j'ai pas envie de les tester SES jouets ! Je proteste mais je sais que c'est peine perdue
- Alors, jeune fille, quand on fait la maligne devant un écran on assume ! Me lance Jérôme.

Je jette un rapide coup d'œil à T, qui m'interroge du regard. Je ferme les yeux et hoche la tête pour donner mon approbation. J'entends qu'on ouvre un tiroir et que l'on pose deux objets à côté de moi, j'ai toujours les yeux fermés, je respire profondément et les ouvre. Je crois que je n'ai jamais dégluti autant. Ils sont affreux en réalité, les photos étaient plus sympas. T les manipule juste par curiosité et les fait claquer dans le vide.

- Alors, jeune fille, à ton avis, combien de coups de mérites-tu ?
- Elle ne répondra pas, moi je dirais 5 coups de chaque.
- Cela me semble correct...

Notre hôte prend le paddle, je suis en transe, j’ai peur plus que jamais et quand le 1er coup s'abat je sursaute mais il est moins douloureux que je ne l'aurais cru. Je penses que Jérôme a dosé son jouet, les 3 coups suivants sont appuyés et un peu plus douloureux mais supportables. Le 5èmem’arrache un cri et je me redresse immédiatement et pose mes mains sur mes fesses pour masser. Je sens une légère boursouflure mais une onde de chaleur envahit mes deux fesses.

- Ça va, tu n'as pas trop mal ? S'inquiète mon bourreau
- Un peu quand même !

T pose sa main pour tâter la chaleur qui se dégage de mes fesses. Je me tourne vers mes deux acolytes, ils sont tous deux avec un grand sourire, j'ai les yeux humides et brillants. Je me repositionne sur le bureau pour la suite. Je suis vraiment maso moi ! Jérôme fait claquer le martinet à vide et sans crier gare je reçois le 1er coup. Il se diffuse dans tout mon corps et  m’arrache les 1eres larmes. Les 4 coups suivants sont durs à encaisser, d'autant plus que mes fesses sont déjà meurtries par une longue fessée à la main de T et les autres coups de jouets. Je finis en sanglots et avec de jolies marques qui partent du haut de mes cuisses et finissent sur le haut de mes fesses.
T pose à nouveau sa main sur mes fesses et la fait remonter sur mon dos. Il me susurre à l'oreille d'aller au coin pour reprendre mes esprits. Je m'y dirige sans un mot et j'y reste un long moment. Mes bourreaux se félicitent mutuellement. Quand je sens une main dans le dos, T est juste derrière moi et il me tend mes habits. Une fois de nouveau présentable, il me prend dans ses bras et m'embrasse sur le front, comme à son habitude. Je me dirige vers Jérôme et le remercie, lui fait la bise et revient aussi vite vers T.

Nous nous quittons tous 3 avec le sourire, en nous promettant de nous revoir.

4 commentaires:

  1. Merci pour ce récit captivant et très bien écrit. La fin nous promet une suite que je suis impatient de découvrir ... ;)

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    1. Effectivement, il y aura une suite mais patience...

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  2. Excellent, très vivant on s'y croirait :)

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