Au détour d’un sentier, je me retrouve plaquer contre le tronc d’un arbre. Le murmure de ses feuillages me fait comprendre qu’il perd quelques branchages.
Je reste silencieuse face à ce vacarme incessant.
L’ordre m’est donné d’enlacer cet arbre qui s’avère être un châtaignier.
Je ne me pose aucune questions et obéis mécaniquement.
Les mains viriles de mon Maître se posent sur mes hanches, remontant la petite robe bleue estivale que je porte.
Ses mêmes mains tapotent l’intérieur des cuisses pour que je les écarte. Elles appuient sur mes reins pour me faire cambrer le plus possible.
Maître fait rouler le bout de bois, qu’il a décroché de mon nouvel ami, sur mes fesses, cuisses… de haut en bas et inversement.
Le contact me fait frissonner, me fait haleter. Je ferme les yeux, je respire rapidement.
Le premier coup tombe. Surprenant je n’ai pas si mal que cela. J’attends patiemment la suite.
Les 4 coups suivants sont donnés en crescendo. Je commence à sentir les zébrures à travers ma culotte en satin.
D’ailleurs cette dernière glisse sous mes fesses avec l’aide de Maître.
Les 2 coups qui suivent m’arrachent de longs soupirs. Je me déconnecte peu à peu. Je me dandine de plaisir faisant tomber le tissu au sol.
Tout s’enchaîne, les coups, les marques, les gémissements.
Ni les fesses, ni les cuisses ne sont épargnées.
Je sens mes fesses chauffées et marquées. Les larmes coulent, je suis bien. Le plaisir m’envahit entièrement.
Mon intimité, elle aussi prend du plaisir.
La badine tombe au sol, les doigts de Maître investissent mon abricot mouillé. Je jouis au premier contact, sans que je ne puisse contrôler quoique ce soit.
Son sexe dur me pénètre sans ménagement. Ses coups de rein sont forts, puissants et à cadence soutenue. Nous ne tardons pas à venir ensemble atteignant non pas la cime du châtaignier mais le 7ème ciel.
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