dimanche 30 décembre 2018

... Et bien la Cane !!


Depuis le temps que je fantasmais sur elle, depuis le temps que je me disais « il faut que je teste ! ». Je l'ai fait et je n'en suis pas déçue du tout. Mieux que dans mes rêves, mieux que sur le papier.

Mes fesses avaient été bien échauffées par une longue fessée manuelle. Celle qui fait que les chevilles ne peuvent pas rester croisées et qui plus est, les pieds ne touchent jamais le sol.

Après cette mise en bouche cuisante, je vais à la rencontre du bureau comme on me l'a gentiment ordonné. Je m'y accoude confortablement et patiente. Quelque chose vient frôler mes fesses, je ne connais pas du tout cet instrument et lance un « c'est quoi ? » tout en jetant un œil rapide, je ne vois rien. Mon bourreau s'amuse à faire glisser cet objet encore inconnu le long de mes fesses puis le haut de mes cuisses. Un premier coup vient fouetter, ça pique mais c'est supportable. Je sens une longue strie chaude, en plein milieu de mes fesses. La voix de mon fesseur raisonne encore dans la tête « c'est une cane ».

Je vibre de plaisir, je veux que ça continue. Je reste bien en place pour que le second coup arrive. C'est la même sensation ! Une longue strie qui vient chauffer, irradier et rougir mes fesses. Je souffle non de douleur mais de plaisir. Les tapotements sur ma peau ne font qu'accentuer le plaisir que j'éprouve. Le sifflement que la cane fait avant de tomber sèchement est tout aussi enivrant. Trois coups vifs s'enchaînent, je ne sais plus où je suis. Je prends ma tête entre les mains et continue de savourer. Je me cambre plus. Je suis à la merci de cet objet et de la main qui le tient. Aucune zone n'est épargnée. Je ne dis pas que je n'ai pas mal mais la chaleur qui m'envahit est salutaire. Mes fesses chauffent, brûlent, piquent, rougissent… les coups se succèdent les uns après les autres. De temps en temps une main se pose sur mes fesses ou mon dos, elle me ramène sur terre. Je me hisse de temps à autre sur la pointe des pieds, les coups ne sont pas à la même intensité.

Je lâche prise au fur et à mesure que les stries s’impriment. Je déglutis, baisse la tête et me mords les lèvres. Je ne cherche pas à retenir les larmes qui coulent sur mes joues. Je suis aux anges… une sensation de bien-être m’envahit. Je suis transportée par le sifflement, le cinglement, et la douleur.

Voilà, j'ai enfin testé la Cane et waou !! Je dis encooooorrrreeee… oui je sais « gourmande » mais que voulez vous on ne se refait pas...


4 commentaires:

  1. Que cela est délicieusement vécu et délicieusement raconté…

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. Merci beaucoup François-fabien, le vécu a vraiment été délicieux 😊

      Supprimer
  2. Bien, la canne ! Bon, si je voulais chipoter, je demanderais une petite correction: deux n en français pour ne pas confondre avec la maman des canetons (qui est bien gentille au demeurant; moi, je l'aime bien, surtout en magrets...), mais c'est la nouvelle année, donc...
    Bref, pour rester sur le chapitre de la gastronomie, je constate que notre savoureuse Cléa déguste avec délectation ce mets succulent dont la cuisson lui laissera quelques souvenirs...

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. Cher Professeur, c'est mon petit côté English qui resort d'où la "cane".
      C'était une cuisson rosé comme on les aime😉

      Supprimer