Je le préviens de mon arrivée, je suis tendue et je me demande ce qui m’attends réellement. F est différent, il est vraiment plus sûr de lui et surtout il est à l’aise. Moi je suis timide et hésitante, je tremble un peu je dois l’avouer.
Petit passage furtif aux toilettes et je me retrouve dans le salon. F m’informe du programme de la journée. Son attitude a complètement changé, il avance vers moi, pose ses mains sur mon jean.
« Avant on a une chose à régler tous les deux » (j’ai un peu déconné la veille de notre rendez-vous)
Je m’agrippe, vainement, à ce jean par les poches arrière. Un seul message arrive à mon cerveau quand une bonne claque atterrit sur ma cuisse « lâche le jean ». C’est donc les mains sur la tête que je reçois une fessée debout, immédiatement les fesses nues et bien appuyée. Le ton est donné. Je gesticule, je déteste vraiment ce type de fessées. Une fois mes fesses bien chaudes, F me laisse me rhabiller puis comme si rien ne c’était passé il me propose une boisson chaude. Je bois tranquillement le côté chaud me réconforte.
Je jette un coup d’œil à l’horloge de la cuisine et me rends compte que les explications sur mon carnet se rapprochent. F me laisse finir ma boisson puis me dit « on y va ? Tu me suis ? » J'hoche simplement la tête et le suit avec une boule au ventre.
Une fois dans la pièce, les questions fussent, je suis incapable de répondre, enfin si je réponds ça ne sera pas bon pour moi, alors je me tais. Je suis envoyée 5min au coin puis F me rappelle à lui. Il me déculotte et je me retrouve sur ses genoux, il me claque les fesses méthodiquement, il couvre intégralement celles-ci. Mes cuisses prennent aussi une bonne série. La brosse entre dans la danse, je ne fais vraiment pas la fière. Je me mords les lèvres pour ne pas gémir, pleurer. Je me concentre aussi pour ne pas croiser mes chevilles, F déteste ça. La fessée est appuyée et me chauffe très bien les fesses et les cuisses. J’ai mal et je me sens comme une gamine. Après un long moment, F me dit que je peux me relever et me rhabiller.
Nous passons un agréable moment avant la pause repas. Je ne sais pas ce qu’il m’a pris mais j’ai eu la folle envie de taquiner F, qui est entrain de cuisiner. Il s’approche dangereusement de moi à plusieurs reprises et feint même d’ouvrir mon jean. Ce n’est pas ce qui m’arrête. C’est tout logiquement que je finis par être basculée sur ses genoux. Je ris car là c’est la petite maso qui est venue faire son tour. Je dis pardon rapidement mais en me relevant je continue de taquiner. F me rattrape par le bras et me claque plus sèchement les fesses sous son bras. Cela me calme vraiment. Même si en y réfléchissant, cela nous a fait rire tous les deux.
Le repas se passe donc calmement, je suis devenue toute sage. La pression monte d’un cran. La plus grosse fessée ne va pas tarder à arriver. Celle pour ma santé et F ne va pas rigoler du tout.
Nous regagnons la pièce où j’ai reçu la fessée le matin même.
Je respire profondément avant de rejoindre F, j’ai la trouille je sais qu’il va me punir sévèrement. Je me tiens droite devant lui les mains sur la tête. Mon jean et ma culotte sont baissés, F me sermonne, me questionne mais n'hausse jamais la voix. C’est déstabilisant. Un petit tour au coin avant de me retrouver face à un miroir, je dois recevoir 20 coups de spatule en bois sur les fesses et cuisses. Enfin c’est ce que je croyais, j’ai reçu 30 coups de spatule. Cette partie de la punition est horrible, je vois le bras de F se lever, mes grimaces dans le miroir, et en plus je dois compter. Je retourne au coin, je reprends mes esprits. Je n’y resterais pas longtemps, F me rappelle à lui. Il me bascule sur ses genoux, lance sa main qui ne s’arrêtera pas, je gémis, je me plains. J’ai vraiment du mal avec cette fessée, les mots me piquent aussi fort que mes fesses. La main de F n’épargne aucun centimètre carré de mes fesses, mes cuisses et la jointure. Une micro pause, je comprends qu’il a pris la brosse. Je respire profondément et contracte les fesses. F est impitoyable avec moi, je commence à pleurer, à me débattre. Je ne tiendrais pas longtemps, je le signale. F joue avec ma limite. Il stoppe enfin ce balai infernal. Je me relève, mets les mains sur la tête et laisse les larmes couler (tampis pour la fierté).
La ceinture de F sort de ses passants, je lève les yeux. « il est pas sérieux ». J’ai ordre de m’allonger sur le lit. J enfouie la tête dans mes bras. La ceinture s’abat en plein milieu de mon fessier déjà très chaud et meurtri. Une vingtaine de coup balaie du haut de mes cuisses et mes fesses. Tout s’arrête. Je peux me relever et F me prend dans ses bras pour me signifier la fin de cette grosse punition, je me laisse aller.
Avant de repartir, F m’offre un dernier verre que je prends avec plaisir. Nous discutons calmement. La journée fut haute en couleur surtout avec le rouge mais je repars repentie et pleine de bonne résolution.